Certitude

L’évidence vient du latin « evidentia ». L’évidence selon Descartes est le critère le plus parfait de certitude. Descartes ferait donc de l’évidence un critère de vérité: en effet, lorsqu’une idée s’impose de façon immédiate à l’esprit, on lui attribue la plupart du temps le statut de vérité. Aujourd’hui, qui douterait par exemple du fait que deux et deux font quatre ? Leibniz révoque pourtant ce point de vue : d’après lui, l’évidence est un critère trop subjectif de vérité. Ainsi nous demanderons-nous

CITATIONS 1 —> Certitude Aucun bonheur n'est possible dans l'ignorance, la certitude seule fait la vie calme." Emile Zola "Ce n'est pas le doute qui rend fou : c'est la certitude." Friedrich Wilhelm Nietzsche "Ce que les hommes veulent en fait, ce n'est pas la connaissance, c'est la certitude." Bertrand Russell "C'est à ne pas penser que la pensée de l'homme s'use ; et c'est celui qui pense peu qui se prévaut de certitudes." John Steinbeck "C'est la certitude qu'ils tiennent la vérité

cours sur la morale. La personne ne se confond pas avec la notion d’individu. L’homme a conscience de soi, cela fait de lui une personne, c’est-à-dire un individu. Reste à savoir quelle certitude la conscience nous délivre sur nous-même. La conscience peut-elle constituer un modèle de certitude ? 2) La certitude du « Cogito » (Descartes) a) Un projet : la recherche de la vérité Que peut-on savoir de certain ? Descartes cherche à fonder les sciences. « pour bien conduire la raison et chercher

avec certitude que je suis ce que j'ai conscience d'être  et que l'image de moi-même que me renvoie la conscience reflète pleinement ce que je suis ? Le problème que je me pose est donc puis-je me fier entièrement à ma conscience lorsqu'il s'agit de me connaître ou a t-elle des limites sur la connaissance de moi-même ? Pour y répondre, nous procéderons à une argumentation sur trois parties. Pour commencer nous verrons en quoi je suis ce que j'ai conscience d'être en déterminant les certitudes de la

raison, tandis que l’intelligence met en doute les idées préconçues du conservatisme. Ce n’est donc pas une contradiction, mais bien un système de pensée basé sur deux opposés. 2. Expliquez « l’esprit est apte à la liberté, mais il est inapte à la certitude » (p.126, 2e paragraphe). Au fil des siècles, et tout particulièrement au temps de Montaigne, le conservatisme religieux perd du terrain au profit d’un mouvement sceptique sur leurs valeurs. Ainsi, les hommes prennent conscience de la possibilité

la réalité « Jusqu’à maintenant, tout ce que j’ai accepté comme le plus évident et certain, a été basé sur les sens. » 1) les sens sont décevants (=illusions des sens), 2) on ne peut savoir avoir certitude si nous ne sommes pas dans l’illusion (ex : le rêve) 3) on ne peut savoir avoir certitude si nous ne sommes pas victimes d’une illusion (argument du malin génie) Le cogito Je ne peux pas douter qu’il y a une « chose pensante » Je peux douter de tout, méthodiquement (de façon systématique)

Soit je conclus sur la certitude de l'authenticité d'une oeuvre et plus tard, je me met à douter. Je vais pouvoir invoquer l'erreur sur la substance. Un décret de 1981 va permettre de savoir si le contrat a été conclu avec un doute ou pas. Sur la certitude sur l'authenticité d'une oeuvre, si on a la signature de l'artiste, si on a le terme PAR ou DE suivi du nom de l'artiste, le nom de l'artiste immédiatement suivi du titre de l'oeuvre, c'est qu'on a conclu sur la certitude de l'authenticité de

trouver une certitude susceptible de résister aux plus extravagantes objections des sceptiques. Au fond, Descartes veut savoir si le doute généralisé est notre destin ou s’il est possible de fonder certains énoncés dogmatiques. « Qu’est-ce que je peux tenir pour absolument certain ? » se demande-t-il. La méditation cartésienne commence par là. Il ne s’agit pas de nier que mes certitudes immédiates sont bien suffisantes pour la conduite de la vie mais puis-je considérer qu’il s’agit de certitudes absolues 

par sa méthode que Descartes parvient à s’assurer de l’existence de l’âme pensante, distincte du corps matériel avec le cogito et surtout à prouver le plus simplement qu’il soit l’existence de Dieu. Partant de ces deux certitudes, Descartes peut donc prétendre découvrir des certitudes scientifiques. Ainsi, ce discours constitue l’introduction théorique aux trois essais scientifiques de Descartes : la Dioptrique, les Météores et la Géométrie.   Présentation de l’œuvre   Composé de six parties, le

question peut-on être sur d’avoir raison ? La raison est capable de présenter des théories, mais on peut se demander si elles correspondent à la réalité ou pas. Le sujet interroge la possibilité d'être sûr d'avoir raison, ce qui repose donc sur la certitude avec l’expression « être sur de » qui elle-même peut être comprise à différents degrés. Ce qui est donc étonnant, c'est qu'on demande s'il est possible de ne pas douter d'être dans le vrai, alors qu'en fait ce qui nous intéresse, c'est la possibilité