Ces Princes Qui Nous Gouvernent

A la tête de ces subdivisions, l’empereur nomme des membres de la haute aristocratie qu’il peut déplacer et révoquer à sa guise mais au cours du temps de véritable dynastie s’imposent. Ces administrateurs locaux ont le titre de comte. Les comtes gouvernent les territoires qui leurs sont assignés à partir des honores, biens fonciers accordé en salaire pour l’exercice d’une fonction, qui leur sont attribué pour qu’ils aient les moyens d’agir. Un comte est donc représentant du roi dans les régions. Il

des institutions collective ou individuel qui représentent la totalité du peuple : • Les assemblés populaires ou comices : elle vote les lois et élisent les magistrats (titulaire d’une fonction publique) • Les magistrats (élus pour un an) ils gouvernent la ville, il existe six type de magistrat hiérarchisés : les consuls sont titulaires de l’imperium • Le sénat qui rassemble l’élite de la population romaine. Ils donnent leur accord sur tous les projets politique.  poligarchie : gouvernement

basent donc sur la croyance en un monde rationnel, ordonné et compréhensible, exigeant de l’homme l’établissement d’une connaissance également rationnelle et organisée. Cela commence par l’idée que les lois gouvernent, aussi bien les cieux, que les affaires humaines et que le pouvoir du Prince émane de la loi et non l’inverse. La conception de la loi en tant que contrat social théorisée par Jean-Jacques Rousseau comme relation réciproque entre les hommes, plutôt qu’entre les familles ou des groupes

En échange de cela ils peuvent gérer seuls leurs territoires depuis leurs châteaux forts. Tout au long du Moyen Age, les rois cherchent à récupérer le plus de pouvoir et à affaiblir les seigneurs locaux. A la fin du Moyen Age, les rois de France gouvernent un territoire qui est proche de la France actuelle. Une période marquée par les guerres : Le Moyen Age est une période cruelle marquée par des guerres incessantes. Les croisades : Les croisades sont des guerres menées pour la délivrance de

ce que les rois se mettent à philosopher, ou que des philosophes deviennent rois ; ce n'est pas non plus désirable parce que détenir le pouvoir corrompt inévitablement le libre jugement de la raison. Mais que des rois ou des peuples rois (qui se gouvernent eux-mêmes d'après des lois d'égalité) ne permettent pas que la classe des philosophes disparaisse ou devienne muette, et les laissent au contraire s'exprimer librement, voilà qui est aux uns comme aux autres indispensable pour apporter de la lumière

est un temps de trouble. C’est un moment de fragilité pour le pouvoir royal. La régence est le seul moment où le pouvoir est assuré par une femme. Trois difficultés, le réveil des oppositions politiques traditionnelles : * Les Grands, les princes du sang qui réclame le pouvoir, c'est-à-dire qu’ils veulent siéger au conseil royal. Ils en ont été écartés depuis François Ier. La noblesse moyenne demande une monarchie modérée. Héritiers des grands lignages féodaux, ceux qui ont fait les croisades

qu’il s’y passe et n’as pas peur d’établir des critiques sur la manière dont est gouverné la ville et ceux qui détiennent les pouvoirs : « Je sais qu'un citoyen peut être assassiné en plein jour et en pleine rue, selon le caprice de ceux qui la gouvernent ; c'est pourquoi je porte ce stylet à ma ceinture. » Il dénonce ici la corruption et la débauche des gens comme Lorenzo (« une blessure sanglante peut engendre la corruption », « fumier », « terres corrompues »). L’une des phrases de Tébaldéo prétend

basent donc sur la croyance en un monde rationnel, ordonné et compréhensible, exigeant de l’homme l’établissement d’une connaissance également rationnelle et organisée. Cela commence par l’idée que les lois gouvernent, aussi bien les cieux, que les affaires humaines et que le pouvoir du Prince émane de la loi et non l’inverse”. L'influence de la Philosophie des Lumières va dont libérer les sciences et annoncer des changements politiques. 2. Le panafricanisme Le panafricanisme se définit comme

clair de lune est un pur cliché romantique (jardin+ minuit, heure galante). L’atmosphère pourrait se prêter à une scène d’amour sentimentale, comme dans Roméo et Juliette de Shakespeare, mais on a affaire à une situation beaucoup plus triviale. Le prince est en fait une sorte de criminel, un homme grotesque au langage vulgaire, sans morale et sans scrupule ; quant à la Belle est achetée et non séduite. C’est une scène anti-romantique au possible, c’est une scène de rapt, presque de viol, avec le symbole

lui faire honneur; et l’on voit ici l’irénisme de Rabelais disciple de l’humaniste Erasme de Rotterdam(1). C’est une leçon de sagesse que l’écrivain populaire donne aux rois : s’ils gouvernent selon leur intérêt privé et personnel, ce sont des tyrans inhumains et impies qui finiront châtiés par Dieu ; s’ils gouvernent selon la raison et l’intérêt public, ce sont des rois justes et sages. Il faut analyser ici la figure de Grandgousier qui fonctionne en contre-point par rapport à la figure de Picrochole