Césure

allitérations en « m » sont au nombre de huit ce qui renforce le sentiment d’amour du poète, et le prénom de la bien –aimée est écrit trois fois, (anaphores), dont une en anagramme, ce qui dans l’antiquité était un présage pour la félicité. Au vers 2 la césure se trouve à l’hémistiche, avec le verbe aimer répété deux fois pour la persuader de l’amour inéluctable qu‘elle doit lui porter, c’est dans son destin. (autre anaphore) Dans le deuxième quatrain, le poète décrit ce que sera leur amour : éternel,

Comme on voit sur la branche, Pierre de Ronsard, Le Second Livre des Amours, seconde partie "Sur la mort de Marie", 1578 RYTHME DES VERS V1--> 6/4/2 syllabes: effet de zoom sur la rose V2--> césure à l'hemistiche qui donne une rythme régulier, équilibré, balancé: harmonie/charme des quatrains (cf v5) V8--> vers ralentit par les "e" prononcés dans le vers + répétition de "feuille" V9&10--> rythme croissant suggérant quelque chose qui se développe V11--> consonnes occlusives--> rythme violent

modernisation (banlieues, banques, transports) 1870 – guerre franco-prussienne → « La Commune » (guerre civile dans Paris, mouvement contre la capitulation de Bonaparte) Étude I) La Tradition A) Une forme classique sonnet (2 quatrains + 2 tercets), césures = forme de poésie antique vers (alexandrins) = longueur traditionnelle rimes embrassées dans les quatrains, puis 2 premières suivies et 2 dernières embrassées dans les tercets / rimes riches ou suffisantes figures de style traditionnelles : comparaisons

simple. Le Romantisme rejette le côté trop structuré de l'alexandrin classique, avec se césure automatique à la sixième syllabe. Césure : coupe centrale qui sépare un alexandrin en deux moitiés égales. Le Romantique disloque le vers en multipliant les coupes, en accumulant rejets et enjambements. Enjambement : effet produit lorqu'une phrase dans un poème ne s'arrête pas à la rime mais déborde jusqu'à la césure ou à la rime du vers suivant. Rejet : effet produit lorsque dans un poème en vers

consonnes qui se prononce d’une seule émission de voix. Le vers français se construit principalement sur le nombre des syllabes plutôt que sur l’accent tonique, comme en anglais. Le vers classique est l’alexandrin, qui a 12 syllabes scandées par une césure (une sorte de pause) après le 6ème vers. "Paris" a deux syllabes : "Pa" + "ris". Pour repérer et comptabiliser les syllabes, on les sépare graphiquement à l'aide d'une barre verticale; cette opération se nomme "scander un vers" :

poème : l’amour et ses tourments, poème qui repose sur la comparaison entre la mer et l’amour.  Rapprochements avec les rimes : « douloureux »/ « amoureux ». - Jeu sur les sonorités : beaucoup de reprises sonores (v2 : parallélisme : amour 3x à la césure, rime interne « amère, amer » et un seul son différent : [ou] et [è].  Lyrisme universel : Généralisation de la mer et l’amour, et également de l’homme (« on », « celui »). De plus, utilisation d’un présent atemporel => réflexion du poète sur

Continuations des amours, «  Marie, qui voudrait votre nom bien tourner » I/ Une invitation à l’amour 1. situation d’énonciation bien définie a- l’adresse initiale (prénom de Marie associé au thème du poème ->anagramme, mis en valeur par césures) b- fréquence des 1e personne et adjectifs possessifs de 1e/2e personne, impératifs supposent un récepteur (Marie). 1e personne pluriel englobe poète et Marie dans une même unité. Retour 1e personne singulier à la fin du poème. 2. lien étroit

brune/lune serpent/rampant hibou/genou bonjour/amour bonjour/toujours • les sonorités • ASSONANCE: répétition d’un son voyelle • ALLITERATION: répétition d’un son consonne • “lève ta tête altière” • “ces serpents qui sifflent” • le rythme • CÉSURE  : pause qui divise le vers en deux parties égales • HÉMISTICHE (n.m.) : moitié de vers. • ENJAMBEMENT  :faire déborder une phrase au vers suivant, • REJET  : désigne la partie de phrase rejetée au vers suivant •" Ils ont vécu au temps / où les

l'amour » v1299 « m'aime » v1301 « mon amour » v1307 2.Amour et politique RB entremêle les domaines sentimental et politique (« dévouement pur et loyal » « duc d'Olmedo, l'Espagne à mes pieds »...). Ex: parallélisme et hyperbole renforcés par la césure (marquée //:séparation d'un alexandrin en 2: 6 + 6): v1286 « Je suis plus que le roi // puisque la reine m'aime » v1306 « A mon bras comme reine, // à mon coeur comme femme » 3.Une extase romantique vocabulaire religieux (« ange » en didascalie

constater le rythme ternaire. Les trois thèmes étudiés plus hauts en sont déjà une preuve, mais on peut aller plus loin encore. On peut voir par exemple que la césure de certains hémistiches peut les couper en deux groupes de trois, c'est le cas au vers 10 où tous les mots qui symbolisent le malheur depuis le début du poème sont avant la césure alors que les mots symbolisants le bonheur d'Etienne Jodel se trouvent après "Aux bois, en mer, aux champs/ le bout, le port le jour". On peut aussi regarder