Césure

une première partie (une protase) et une deuxième partie (une apodose) s'articulant autour d'un sommet (l’acmé : sorte de césure médiane). Dans cette phrase, l’acmé se trouve à la ligne 3 : « alors même, quelle honte.. » Il y a à ce moment-là renversement du ton du discours. D’un ton plutôt monocorde, d’une manifestation d’une sorte de plainte, s’ensuit, juste après la césure, un ton plus agressif, voire colérique. 3) Commentez le jeu des pronoms personnels dans le discours : quel est l’effet

Chapitre 1 : l’art gothique L’art gothique est un style artistique qui s’étend du XII ème siècle jusqu’à la Renaissance et s’est développé au départ de la France jusqu’en Europe Occidentale. Il marque le début d’une nouvelle période de l’histoire, la césure entre le Moyen-âge et la Renaissance, le début de la peinture profane. Le terme gothique n’est utilisé qu’à partir de la renaissance par des artistes italiens pour parler d’un style caractérisé par la démesure

fleur » qui « s’épanoui[t] ». Par ailleurs, « vous crûtes vous évanouir », il s’agit d’un commentaire du poète (entre tirets) où il s’adresse à la femme avec une mise en parallèle à la rime de « s’épanouir » et « évanouir » et « fleur » et « vous » à la césure : cette antithèse permet de mettre en valeur les deux idées diamétralement opposées et introduit la transfiguration de la charogne en beauté poétique c. De plus l’oxymore « carcasse superbe » (avec « superbe » à la rime) insiste sur la beauté de la

réciproque. Le fait majoritaire a eu pour conséquence que le gouvernement, ne pouvant plus compter que sur sa majorité, doit composer avec elle. Le présidentialisme du régime n’aurait pas été possible sans l’avènement du phénomène majoritaire. La césure ne passe plus entre législatif et exécutif, mais entre majorité et opposition. L’article 12 de la Constitution donne au président de la république le pouvoir de dissolution. En dissolvant l’assemblée, si elle ne lui est pas favorable ou l’est insuffisamment

dans une dans une main terrible" > métaphore hyperbolique > rends compte de sa vulnérabilité, il est écrasé par DS (tragique)· Phrase simple, déclarative avec "vous" en sujet > phrase accusation· "Monstrueux" > rythme du vers en 9/3 sans césure (mis en valeur) > se rapporte au stratagème mais aussi au stratège > quelque chose d'inhumation· "J'entrevois" > vision restreinte > il découvre progressivement · "Quelque chose" > pronom indéfini > il ne connaît pas encore mais

particulièrement saisissante. Pour terminer, le registre élégiaque, c’est-à-dire celui de la plainte, du malheur en amour, est aussi lié à la violence guerrière. Effectivement, l’interjection lyrique « ô », répétée au vers 2 et au vers 26, marque une césure, notamment dans le vers 2, où il implique un ralentissement du rythme et renforce l’apostrophe « Lou », et la périphrase « ma bien-aimée ». Cette marque d’affection met en valeur une certaine nostalgie, déjà présente chez le poète alors qu’il n’a

est assez difficile Madame, et vous parliez tantôt d’un autre style » - ref. à une autre scène : III,3 où Orgon avait déclaré sa flamme à Elmire qui l’avait repoussé - voc de la méfiance : comprendre + difficile ; autre style + césure après le cérémonieux Madame • v.51 à 90 : un échange plus équilibré sur le ton de la galanterie mondaine - hyperboles amoureuses dans la bouche de T. : « douceur extrême (v.51), suprême étude (v.55), charmantes bontés (v.66) » - voc de l’insistance

a une césure à l'hémistiche par un point virgule. Après si on prend les rimes suivies 25-28, il est intéressant de relevé les mots qui sont associés. ''Dieux'' et ''mieux'' cette association met en valeurs le mot Dieux pour rappeler à la mouche qu'elle n'est rien comparé à eux. ''Profanes'' et ''âne'' ici l'association des mot met en avant l'ignorance de la mouche. (l'âne incarne l'ignorance). Le vers 27 la mouche est comparée à un profane. Cette comparaison est renforcée grâce à la césure à l'hémistiche

rythme. 2. La coupe C'est un repos, une pause dans le vers. Elle se situe après chaque syllabe accentuée et marque la fin d'une mesure. Les vers longs comportent plusieurs coupes: la plus importante placée au milieu est appelée césure. Dans l'alexandrin classique, la césure se situe après la sixième syllabe prononcée. Chacune des deux moitiés de l'alexandrin s'appelle un hémistiche.  3. L'enjambement Quand la pause finale n'accomplit pas le sens du vers et que l'on doive le continuer dans le vers

deux fins de vers différents pour tout le quatrain, soit -soir et –ige, créant ainsi des sonorités angoissantes, et des rimes embrassées parfaites, sans jamais avoir recours au moindre rejet. Les césures respectent la séparation du nombre de pieds qui est propre à l’alexandrin (c’est-à-dire six pieds, césure, six pieds). C’est à se demander si le titre ne ferait pas plutôt référence à la douce valse des mots, au maniement délicat de la langue plutôt qu’au sens du poème. Dans Harmonie du soir, Baudelaire