Césure

« Harmonie du soir » de BaudelaireSoyez au point avec la définition des termes « pantoum, encensoir, reposoir, ostensoir » !Pantoum  : désigne un poème à forme fixe d’origine malaise, entré dans la poésie française à l’époque romantique. Le mot est daté de 1829, date à laquelle Hugo introduisit ce genre. On trouve un « Pantoum malais » chez Leconte de Lisle et un « Pantoum négligé » chez Verlaine. Le pantoum fut codifié par Théodore de Banville dans son « Petit traité de poésie française »

un système de rimes croisées.Conformément au titre du poème et à celui du recueil, on observe la mise en place du thème de l’ivresse avec le substantif « verre », placé sous l’accent et décliné dans les sonorités [v] et [r] (“verre”, “vin”, à la césure, “trembleur”) et dans le jeu sonore sur les voyelles (“verre”, “est”). Le possessif indique la présence du sujet lyrique, affirmée au cœur de la scène qui se développe : il en est à la fois spectateur et acteur. Puis, l’évocation du « vin trembleur » fait

Romantisme rejette le côté trop structuré de l'alexandrin classique, avec ses césures automatiques à la sixième syllabe. Le Romantique multiplie les coupes, en accumulant rejets (effet produit lorsque dans un poème en vers un élément court de la phrase ( un ou deux mots ) est rejeté au vers suivant.)  et enjambements (effet produit lorsqu’une phrase dans un poème ne s'arrête pas à la rime mais déborde jusqu'à la césure ou à la rime du vers suivant) Le lyrisme joue un rôle important à l’intérieur

voyage griffonnée à la hâte sur un coin de carnet, la versification se présente passablement décousue : six enjambements (v.1,3,5,6,12,13) ; trois rejets (v.4,6,13) ; un contre-rejet (v.13) ; alexandrins rendus systématiquement dissymétriques par des césures* à l’hémistiche peu marquées en comparaison avec des coupes secondaires fortes (on peut même noter un alexandrin boiteux, v.11, dont la régularité est conditionnée par une improbable diérèse). Ajoutons à cela un trait de syntaxe proche de la langue

MONVAILLIER – Université de Djibouti INTRODUCTION A L’EDITION DE TEXTES L'espace insécable Un espace offre la possibilité de faire un changement de ligne sans avoir à faire de césure dans les mots. Le logiciel gère automatiquement cette fonction de retour à la ligne. Mais parfois, l’espace n’est pas le lieu approprié pour une césure (par exemple, dans un grand nombre, l’espace entre les milliers ne doit pas servir au changement de ligne). Pour éviter cette anomalie, il est souhaitable d’utiliser un espace

description.Il est perçu comme ayant "un long cou, de longs pieds et un long bec". Long fait allusion à l'apparence royale du héron.En psychologie, la personnalité d'une personne est décrite en examinant ses pensées, ses sentiments et ses comportements.La césure « attendre mieux » marque un écart entre le mot « mets » - un plat raffiné - et son parent.Il est décrit comme étant "mécontent" et "dédaigneux".Aux versets 21 et 18, nous voyons le pronom personnel "moi" utilisé à plusieurs reprises pour souligner

discordance, notamment l’effet de « pointe » ou de surprise à la fin du poème qui contraste avec son début. Première strophe  : Le poème est en alexandrins, vers nobles et chantants. Les deux premiers vers sont régulièrement composés avec une césure à l’hémistiche, qui les rend symétriques et harmonieux . Il dépeint une nature enchanteresse avec le champ lexical de la joie « chante » « follement », « fière ». La rivière semble personnifiée puisqu’elle « chante » en « accrochant follement aux

Berranger, op. cit. p. 63. Benoît de Cornulier (op. cit. p.54-58) forme l'hypothèse d'une représentation satirique du poète, du poète lyrique, et il voit un "pied de nez métrique à l'image du poète à la lyre" dans le traitement désinvolte de la césure, à l'avant-dernier alexandrin du poème. La présence en sixième position d'un pronom sujet non accentuable (proclitique), dont le noyau vocalique est en outre un 'e' instable (masculin), entrave fortement l'articulation du vers en 6-6. Or, d'un autre

conclure brusquement, d’exprimer une idée forte). Les rythmes : Julie Le rythme chez la fontaine peut se reconnaître facilement par rapport à d’autres auteurs car pour souligner ce rythme il utilise fréquemment des césures a l’hémistiche ou des coupes ailleurs dans les vers. ( - les césures et les coupes.) - exemple Contrairement il utilise des enjambements, donc des vers qui se suivent sans pause (entre les vers) (- enjambement et contre-rejet.)exemple La fontaine utilise aussi des phrases rythmiques

précisions historiques ou factuelles. L’espace disparaît complètement. Une écriture décontextualisée Un poème de forme très classique (quatrains, alexandrins, même schéma de rimes croisées, alternance de rimes masculines et féminines, nombreuses césures à l’hémistiche) qui peut être perçue comme une référence à un patrimoine littéraire ancien et commun. Pourtant, des libertés sont prises avec la versification : un rejet entre les vers 1 et 2 permet de mettre en évidence le verbe « attendre »