Césure

naissance du sadisme de Néron (c’est un « monstre naissant » comme dit Racine). - L'action se noue avec l'introduction de la thématique amoureuse qui va faire basculer la tragédie. Lecture S'entraîner : rythme de l'alexandrin, diérèse, "e" muet, césure... Lecture expressive -> Néron : évocation amoureuse => Mettre le ton ! il évoque sa "bien-aimée" donc lenteur, émotion... Mouvements du texte par Katchamay : 1ère partie du texte (du début à « J’ai passé dans le mien ») : aveu de Néron et

veut plus reposé, plus alangui: v. 5: 3/3//3/3; v. 6: 3/3//3/3; v. 7: 3/3//3/3; v. 8: 2/4//3/3, avec suppression de la césure par amïssement du e muet. Le jeu des e muets est aussi travaillé, au v. 7, comme les 3 attaques successives en dentale sourde des vers 5-7. ¨ q. 3: v. 9: 2/2/2//4/2, avec les deux «tu» d’interpellation hyper-accentués, et l’écho des deux a, à la césure et en fin de vers; v. 10: 3/3//3/3, donc un tétramètre, avec «suit» hyper-accentué, et «chien», tous les deux en diérèse

 plus  alangui:  v.  5: 3/3//3/3;  v.  6: 3/3//3/3;  v.  7: 3/3//3/3; v.  8:  2/4//3/3,  avec  suppression  de  la  césure  par  amuïssement  du  e  muet.  Le  jeu  des  e muets  est aussi  travaillé, au v. 7, comme les 3 attaques successives en dentale sourde des vers 5­7.  ¨  q. 3: v. 9: 2/2/2//4/2, avec  les deux «tu» d’interpellation hyper­accentués, et l’écho des deux a,  à  la  césure  et  en  fin  de   vers;  v.  10:  3/3//3/3,  donc  un  tétramètre,  avec  «suit»  hyper­accentué,   et  «chien»

Qui hante la tempête et se rit de l'archer ; noter la différence du type de phrase entre les 2ers exemples et le dernier : exclamative versus assertive 8. La phrase : le rythme césure médiane : Souvent pour s'amuser, + les hommes d'équipage Prennent des albatros, + vastes oiseaux des mers, effet d'enjambement à la césure avec : Qui suivent, indolents + compagnons de voyage, 7 prosaïsme de : À peine les ont-ils + déposés sur les planches, accents libres : noter le trouble à la 3e strophe Souvent

vers 6. D’ailleurs, Du Bellay insiste sur les mots « savant » et « vertu » En effet, aux vers 1 et 2, on a une anadiplose avec le terme « savant » « Tu t’abuses (Belleau) si pour être savant / Savant et vertueux » et aux vers 2 et 5, on voit à la césure les termes de « vertueux » et « vertu ». Si le poète appuie ces deux mots c’est pour montrer cette contradiction ironique avec les termes péjoratifs que l’on verra plus loin aux vers 6 et 7 après. Au vers 3, une parenthèse attire l’attention où

une religion. Il entend par là également une obligation, aimer ne doit pas être « en toutes circonstances » 2) Une esthétique qui refuse le très classique alexandrin Le classique alexandrin est un vers de 12syllabes, où l’hémistiche est à la césure. La pièce est écrite en vers de douze syllabes et cependant dans cet extrait comme tout au long de la pièce les vers sont coupés de manière aléatoire, avec cependant parfois des alexandrin. Cela dés le second vers de la pièce avec : "Serait-ce déjà

premiers vers, sont placées sur les accents, de façon à peu près régulière, c’est-à-dire dans le premier hémistiche, à la césure et à la fin du vers – « Comme le champ semé // en verdure foisonne / De verdure se hausse // en tuyau verdissant // Du tuyau se hérisse // en épi florissant »… On s’aperçoit également que les trois premiers vers sont construits de la même manière : après la césure, on trouve le groupe prépositionnel « en + nom » formant ainsi un parallélisme de construction qui contribue à rythmer

le chuchotement. La nature est personnifiée. Il y a un effet de fluidité, de continuité de régularité réalisé par les sonorités mais aussi la syntaxe avec des phrases longues et la versification du poème en décasyllabes et en rimes plates avec des césures fréquentes à l’hémistiche qui confère au poème une grande monotonie. On rencontre beaucoup de sons nasalités "ai, en, in" traduisant la douleur et des verbes à l'imparfait pour ajouter à la durée. Dans cette fin de jour, le poème rapproche comme dans

D’aller là-bàs / vivr(e) ensèmbl(e) » - « D’allèr / là-bàs / vivr(e) ensembl(e) » (pas a) - « D’aller là-bàs / vìvr(e) / ensèmbl(e) » (o) - « D’allèr / là-bàs / vìvr(e) / ensèmbl(e) » l,m m r nn t n lm bff (achee idice) fn r mn tr lu 2) La césure : C’est une pause plus marquée que la coupe que l’on fait dans certains vers constitués de deux parties. On la note //. La coutume (qui n’est pas toujours respectée) veut que les vers soient découpés ainsi : - alexandrin 6 syllabes//6 syllabes - décasyllabe

la versification française s’avère-t-elle une versification vocalique. Le décompte syllabique a pu faire resurgir la place particulière de la limite entre la sixième et la septième qui marque une certaine pause rythmique et syntaxique ; c’est la césure. 4-Le « e » caduc De toi la douce et fraiche souvenance Du premier jour qu’elle m’entra au cœur, Avec ta haute et humble contenance, Et ton regard d’Amour même vainqueur, Y dépeignit par sa vive liqueur Ton effigie au vif tant ressemblante