Chambre Criminelle 24 Octobre 2000

Commentaire d'arrêt - Chambre criminelle, 24 octobre 1956 "L'auteur principal et le complice sont cousus dans le même sac", cette citation du Doyen Carbonnier laisse entendre que l'auteur principal et le complice suivent le même sort. Mr Guillemin et Mr Wagner ont ordonné à Mr Lepont de reprendre la route avec son camion alors que celui-ci avait un système d'éclairage défectueux, par conséquent, Mr Lepont,le chauffeur, aurait pu mettre en danger la vie d'autrui. Guillemin et Wagner sont poursuivis

nation ▪ sa personne est inviolable et sacrée (lois fondamentales) ▪ il est politiquement irresponsable ▪ droit de suggestion ▪ droit de veto suspensif (opposition contre les lois ordinaires) - pouvoir législatif : ▪ chambre unique élue pour 2 ans. 745 députés ▪ pas de dissolution par le Roi ▪ les citoyens actifs (suffrage censitaire : contribution directe représentant au – 3 jours de travail) se réunissent dans les Assemblées primaires pour élire les délégués

les coutumes de la G. ex : les I contre les populations civiles. Vol, viols… Crimes contre l’humanité : contre des civiles, fondés sur des conflits politiques, raciaux, religieux, selon un plan concerté. * Le trib de Nuremberg : verdict en octobre 1946 : 12 accusés condamné à mort, 3 à la prison à vie, 4 à des peines de prison allant entre 10 et 20 ans. 2 acquittés. * Le trib de Tokyo : verdict rendu en novembre 1948 : 8 condamnés à mort, la plupart des autres à la prison à vie. Une 50taines

n’est pas considérée comme homicide. Or dans certains pays, France, ceci est un délit. 2. La sanction pénale Il y a une multitude de sanctions pénales. Les plus anciennes sont l’emprisonnement (=peine qui sanctionne un délit. Réclusion criminelle= peine qui sanctionne un crime) et l’amende. Mais il y a aussi l’interdiction d’entrer dans les lieux où on a fait l’infraction, interdiction d’exercer une profession, interdiction de fréquenter la victime, suspension du permis de conduire, obligations

les articles de la Constitution. Tous les justiciables sont égaux, ils plaident dans les mêmes affaires dans les mêmes formes et dans les mêmes juridictions. Lex privata : droit privé Ce principe d’égalité découle de l’article 16-2 de la loi du 16 et 24 août 1790. 3ème principe : le principe de gratuité La justice étant financée par l’impôt elle devrait être gratuite. - En matière civile : c’est la partie perdante qui acquitte en principe les frais, on parle de DEPENS. Sauf si le juge au regard

rendue par la cour criminelle en civile. - Si pas de déclenchement de ce processus : procédure au pénal et au civil, règles qui empechent que ces procédures arrivent à des conclusions contradictoires «  le criminel tient le civil en état » art 4 code de procédure civil. On donne la primauté à ce qui est jugé au pénal par rapport à ce qui a été jugé au civil. Le juge au civil doit sursoir à statuer tant que la décision pénale n’a pas été rendu. - Loi du 10 juillet 2000 sur l’autonomie de

septembre 1995, La loi N° 1/97 du 22 avril 1997, La loi N°14/2000 du 11 octobre 2000, Et la loi N° 13/2003 du 19 août 2003. Editée par la Direction Des Publications Officielles B.P. 563 – Tél. : 76.20.00 Libreville. -1- CONSTITUTION DE LA REPUBLIQUE GABONAISE Loi N° 3/91 du 26 mars 1991, Modifiée par la loi N° 1/94 du 18 mars 1994, La loi N° 18/95 du 29 septembre 1995, La loi N° 1/97 du 22 avril 1997, La loi N°14/2000 du 11 octobre 2000, Et la loi N° 13/2003 du 19 août 2003. L’Assemblée nationale

L’organisation juridictionnelle en France, c'est l’organisation des tribunaux nationaux français. Elle puise sa source dans le principe de la séparation des pouvoirs=MONTESQUIEU, révolution française et son fondement est de la Constitution Française du 04 octobre 1958. Pouvoir législatif (voter les lois, créer la norme) Pouvoir exécutif (faire respecter la loi) Pouvoir judiciaire (Règlement des litiges), la constitution française parle plutôt d’autorité française que de pouvoir judiciaire, le juge est soumis

Liébert-Champagne RJF 87 p.383, DF 43/87 n°1948 concl. M. de Saint-Pulgent (4) CE 6 octobre 2000 n°208765, SARL Trace, RJF 00 n°1497 chron. Maïa p.895 (5) CE 21 avril 1986 n°45912, RJF 86 n°630 p.402 (6) Glaser, « Droit de communication, quelles garanties pour le contribuable ? », chron. RJF 08 p.787 et ss (7) CE 13 juillet 1963 n°58361 et 58362, DF 49/63 n°1166 CE 26 avril n°65604, Dupont p. 370, DF 22/67 n°663 CE 14 octobre 1970 n°77231, Dupont p. 41 CE Plén. 19 décembre 1975 n°88119, RJF 76 n°52 CE 27

cas de l’enquête de flagrant délit, le policier a un pouvoir coercitif plus important sur les individus, notamment celui d’entrer de force dans les lieux privés afin de perquisitionner sans l’injonction du juge (De 6h à 22h au domicile de la personne, 24/24h sur la voie publique). A la fin de l’enquête, les policiers en transmettent les résultats au procureur de la République. Cela dans la mesure où c’est lui qui en a besoin pour prendre la décision de poursuivre ou non, décision qui lui incombe au