Champ Lexical Noblesse

et la bétise humaine. Tout d'abord, Voltaire veut critiquer la monarchie en place à l'époque. Le champ lexical du bonheur est employé au début du texte "distinguaient parfaitement" (l3), "paisibles et fortunés" (l8). Puis lorsque le dictateur arrive, le champ lexical du pouvoir apparait "dictateur" (l14),"maître (l15), "personne n'osa lui résister" (l16) puis juste après c'est le champ lexical du malheur qui apparait "tout le monde se moqua d'eux" (l19), "il les traita de novateurs de rebelles"

I – MATAMORE, UN PERSONNAGE DU PARAÎTRE 1 Matamore fait son propre éloge - énonciation : pronoms et adjectif à la 1er personne = tournure anaphorique : égocentrisme mis en avant. - Champ lexical du pouvoir et de la destruction > Matamore fait son éloge - Opposition singulier/pluriel => Matamore se compare au monde entier (vers 320, 323 et 325), montrant sa puissance et sa supériorité 2 Ridicule de ses propos - Procédés hyperboliques : lexique mélioratif renforcé par la versification, terme

| | |Champs lexicaux |     « verdure », « rivière», « herbes », « montagne », « |États opposés | |Nature |cresson bleu », « glaïeuls », « Nature ». |     Le champ lexical de la nature est opposé à celui du soldat.| | |

terminent par des points d'exclamation.L'énonciation et le registre nous ont permis de montrer qu'il s'agit d 'une déclaration d'amour mais qui se marque à travers un véritable éloge du corps aimé. On peut percevoir ,en effet ,un important champ lexical du corps tout au long du poème:La strophe 1 présente une vision globale du corps: « Que j'aime voir (...) /De ton corps si beau /(...)Miroiter la peau! » Pius vient l ' évocation de la « chevelure » ,symbole de la féminité alors que la strophe

: la trame est très épurée = un dervis quitte sa solitude pour entreprendre un pèlerinage à la Mecque - situation initiale heureuse : notez le champ lexical de la nature idéalisée de manière hyperbolique => Nature idyllique (1ère moitié du texte jusqu’à la ligne 30 => évocation indirecte du jardin d’Eden) - situation finale inversée : champ lexical de la destruction, morts => nature dévastée - rythme plutôt rapide, récif vif / enlevé => voir le présent de narration qui donne l’impression que

ponctuations, pour donner des tons au poème. Dans un second temps, Alphonse nous montre bien toute son attention, son amour, sa passion pour la nature, et le dialogue qu’il peut entreprendre avec elle. Pour cela, il utilise un procédé spécifique, le champ lexical de la nature que nous pouvons retrouver quasiment dans toute les strophes : « bois », « verdure » (v.1) ; « feuillages », « gazons » (v.2) ; « nature » (v.3) ; « soleil » (v.7) ; « automne » (v.9) ; « l’air », « lumière » (v.19) ; « fleur » (v

dans le soleil, la main sur sa poitrine 
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. 
 Tout d’abord j’ai choisi ce poème par l’omniprésence de la nature tout au long des deux quatrains et des deux tercets. En effet on peut relever un champ lexical propre à celle ci. On a affaire, ici, à une nature féerique, ceci étant l’une des principales fonctions du poète. De plus la forme de la poésie, ici un sonnet en alexandrins, respecte la fonction de celui ci. En effet les deux premiers quatrains

tête »…, l’expression « perdait sa vapeur » évoque la perte de sang lors d’un accident, d’une blessure. - la locomotive porte un prénom de femme : Lison. b) La mort humanisée de La Lison. -impression de souffrance face à l’accident, grâce au champ lexical de la douleur : « une affreuse plaie », « des râles furieux », « « râler », « agonisante » c) La métaphore animale. -La Lison est dotée de sentiments humains mais se trouve également comparée à l’animal : une métaphore emploie l’image de la baleine

Antiochus montre ce mariage comme une certitude « il l'épouse ». C'est insoutenable pour lui c'est pour cela qu'il veut partir. Dans ce monologue il parle du futur, de s'en aller pour ne plus souffrir v.33 « puisqu'il faut partir, partons ». Le champ lexical lié au départ renforce cette idée de la laisser, de l'oublier malgré ses sentiments. Il fait aussi référence à la situation passé en citant des événements vu dans l'exposition, ce qui fait un rappel de ses souffrances V.23 « Bérénice autrefois

confirme lorsque le poète utilise le mot « robe » pour désigner les pétales de la fleur, ainsi que « son teint au vôtre pareil » : il compare le ‘teint ‘ de la rose a celui de la jeune fille. Cette première strophe joue avec la délicatesse du champ lexical entourant la rose, comme : « robe », « pourprée » « les plis ». Ronsard crée l’atmosphère dans lequel le poème se déroule. Il la veut feutrée, délicate et intime. La seconde strophe parle de la rose se flétrissant. Le ton change, car dans cette