Champ Lexical

personnage perdu?". Dans un premier temps nous aborderons le sujet d'une expérience douloureuse, traumatisante, pour ensuite nous pencher sur "comment ce passage fait le portrait d'un être perdu". Tout d'abord nous pouvons remarquer que le champ lexical de la violence est omniprésent dans ce passage avec: "bouscule, se fait bousculer" "foule de plus en plus violente" "enserre" "étouffe" "il ne voit plus rien, n'entend plus rien" "bombe" "corps éventrés" "village en feu" "cogne", cela renvoi à

précision «suite de plats mal assortis » (l1-2). L’énumération « une andouille après un gigot, une omelette après l’andouille » (l2-3) de plats de viandes et en perspective assez lourds et consistants souligne cette idée de repas rustique. En outre le champ lexical de l’alcool avec les mots « cidre » (l4), « vins » (l4), « cidre roux » (l23) et la périphrase « la boisson jaune et aigre » (l22) qui prouve une certaine pauvreté de ce repas et par extension de ce foyer par opposition au champagne qui est de

voix représente le dilemme de Maria. En effet, Maria termine par choisir de rester au Québec et de se marier avec Eutrope Gagnon à cause de valeurs culturelles qu’il peut lui offrir. Lorsqu’elle nous décrit la troisième voix on peut remarquer le champ lexical de la culture : « vieux culte (p.197), vieille langue (p.197), race ancienne (p.197), pays neuf (p.197), nos chansons (p.198), nos prières (p.198), nos vertus (p.198), notre culte (p.198), notre langue (p.198)». De plus cette voix démontre pourquoi

passe, puis par le temps qu'il fait et enfin par la présence des corbeaux, le sort du malheureux semble être scéllé. Dès le début de l'extrait , l'insensibilité de la famille est mise en avant avec l'évocation de l'abandon de l'aveugle. Le champs lexical du temps qui s'écoule l'illustre parfaitement : " tout le jour ", " quand la nuit fut venue" l.69, "le lendemain" l.73, "après de longues heures d'attente" l.74 ou encore "la semaine suivante" à la ligne 90. Cette insensibilité est également

« vilaine bête et mauvaises herbes » pour réécrire ce que pense la plupart des personnes. En effet il utilise un champ lexical qui se rapporte à la pensée de l'homme qui les détestent, donc l'auteur va employé un champ lexical de la laideur « un gueux »  « rampants » qui fait référence au dégout, aux animaux comme la limace, ou comme l'araignée ici. De plus, l'auteur va utilisé un champ lexical de la haine, qui nous fait penser à celui de la mort « haïr » « fuir » « châtie » « guet-apens »  « fatal »

détectées et analyser pour les mettre au services des arguments avancés dans le plan suivant que je peux vous proposer : 1. La relation amoureuse comme un combat militaire : a. un combat passé : des dommages collatéraux : les enfants champ lexical de la guerre b. Mais aussi un combat toujours présent : l'heure de la punition et du jugement (reconnaissance de la défaite par l'intermédiaire du bras levé comme une sorte d'armistice qui vient prolonger l'affrontement) les rimes suivis qui

ne décrit pas une partie physique de l'amante mais le regard * C'est en fonction symbolique que le regard est évoquée * Utilisation de métaphore * Il s'agit d'une éloge partant de la courbe des yeux mais aussi du regard * Champ lexical très riche * Dénotation claire de la courbe * "tour" ; "courbe" ; "rond" * Symbolise la forme de l'œil * Connotation poétique * "auréole" ; "berceau" ; "rameaux" ; "astre" ; "bateau" ; "monde" * Ce sont les yeux

étaient longs » est répété 2 fois pour mettre en évidence le temps. J’ai remarqué qu’il y a un champ lexical dans chaque partie, les 3 ont quand même des liens entre eux. Dans la première, on peut remarquer qu’il y a le champ lexical de la misère : « Crève-la-faim, des grands soupirs de fioul, Miséreux d’Europe, regard affamé, esseulés, se perdre » Dans la 2e partie, c’est le champ lexical de la crainte mais de l’espoir derrière cette tristesse. « Craignant, dérober, pleuré » et l’espoir

Baudelaire  Eléments prouvant que c’est bien un poème écrit dans sa période spleen : - Champ lexical de la mort = noir/drapeau noir/corbillards/chaos/crâne - Champ lexical de la tristesse = triste/noir/pleure/ennuis/pluie - Champ lexical de la peur = atroce/affreux hurlements/angoisse - Champ lexical de l’obscurité= noir/chaos/corbillard/cachot/prison/araignées/chauve-souris/nuit/ciel bas et lourd - Champ lexical de la pesanteur = lourd/vaincu (car c’est un participe passé donc on subi la défaite

violent. L’auteur va donc placer dans cette scène d’exposition la relation qu’entretiennent ces 2 rivaux. 2.) Agressivité contre le duc Apostrophe inversé « Oh l’insensé vieillard […] vieillard insensé » Champ lexical de la vieillesse Images effrayantes de la mort : - Champ lexical de la mort : - Personnification de la mort : Agressivité du paradoxe final Vers 87 : avec jalousie qui s’exerce même contre Dona Sol II. La haine contre le roi 1.) L’apparition de la figure du roi Enchainement