Champ Lexical

détaillé 1- Dans un premier temps, Rimbaud nous plonge dans un paysage paradisiaque donnant une impression de vie et de bonheur Dans l’ensemble de son poème, mais plus particulièrement à la première et deuxième strophe, l’auteur utilise un champ lexical témoignant d’un décor utopique. Ex : « verdure, rivière, herbes, soleil, montagne, val, rayons, cresson et lumière » Il nous transporte non seulement dans un petit paradis, mais il donne également vie à cet univers. Il ne s’agit plus maintenant

Tout d'abord, le poète est inspiré par son environnement, on note le champ lexical de la nature, et de la musique, ce qui exprime un lyrisme néanmoins maîtrisé dans ses impressions et ses émotions. Le terme "églogue" renvoie à l'Antiquité. Par ailleurs, on relève aussi le champ lexical de l'élévation. Le terme "astrologues" renvoie quant à lui à l'idée de correspondance verticale. L'inspiration du poète passe par la perception de son environnement, il y tient et souhaite le conserver il exprime donc

compare encore l’homme à l’animal. Ils veulent dire que les animaux n’ont pas de consciences. Les champs lexicaux ne se dressent pas par eux-mêmes. Etablir un champ lexical permet de faire un bon point de vu sur le passage, analyser le passage. Un champ lexicale est un mot en une seule notion comme agressif, violent, bestial, féroce, abruti, déjéction, animosité, souiller et se vautrer sont le champ lexical de l’animalité. Lexique : Souiller : dégelasse, sale Métamorphose : change de forme Méta :

journée, pas de soleil couchant. Lumières des bombardements. Impression que le feu est partout. Madrid est vide, tout le monde fuit. Description V.3 à 4 : Description. Ca se passe en novembre V.5 à 7 : Description des flammes avec champ lexical du feu. V.7 à 9 : Champ lexical du feu + description V.11 : « L’âge du feu »  il n’y a que du feu, partout sur la planète V.11 à 12 : Critique pour les républicains, ils ne pourront plus se soigner V.12 : Moins important que l’hôpital. Phrase simple. Début

analyser les images, comparaisons et métaphores 3) Étude lexical : relever 2 champs lexicaux 4) Le rythme : impressions, passage régulier (qu’est-ce que cela créer comme impression ?)

tristesse à travers la nature. A. La nature est omniprésente. 1. Champ lexical de la nature a) «orages»(v.1), «vents»(v.4), «eaux»(v.4), «désert»(v.5), tempêtes»(v.6),«nuages»(v.7), broussailles»(v.7), «bois»(v.7),«bruyères»(v.12), «forêts»(v.13), «arbres»(v.13), chêne»(v.14), «roche»(v.14), «étang»(v.14), «oiseaux»(v.14) ,«vallée»(v.15) ( Ce champ lexical de la nature prouve que celle-ci est très présente dans la vie de René. 2

du devoir Par un retournement de langage, le champ lexical du droit, du devoir est appliqué au domaine de l’inconstance amoureuse : (l.49) « ont droit », (l.50) « ne doit point », (l.51) « les justes prétentions », (l.55-56) « faire injustice », (l.58) « la nature nous oblige ». DJ se crée un nouveau droit, il se réclame de la nature, plus importante selon lui que les lois sociales. 3)L’attrait de la beauté féminine On peut relever le champ lexical de la beauté : (l.47) « toutes les autres beautés »

observe une pauvreté avec un champ lexical de la misère : « rudement », « mince », « ni or ni argent ». Dans le second nous avons aussi un champ lexical de la pauvreté « paysan », « chevalier errant », mais aussi de « pauvres repas » ainsi que « mets rustiques ». Dans le dernier nous avons encore un champ lexical de la pauvreté avec : « pauvre », « campagne ». on remarque donc une pauvreté certaine dans les trois textes ainsi qu’un paysage campagnard par un champ lexical de la campagne « campagne

Le passé est sans valeur pour une génération qui ne s'y retrouve pas. " Fossile des siècles de l'absolutisme " : Vision du passé négative, il rappelle la tyrannie des anciens rois. Musset fait parti de sa génération. Il a des idées libérales. Champs lexical de la vieillesse : " fossile, débris... ". Refus de la modération, du passé. b) l'incertitude de l'avenir Avenir décrit par des termes extrêmement vagues qui connotent l'immensité et la lumière. L'avenir est une promesse, un rêve. Pensées

murmurait » (l 15/16). Ces personnifications nous montrent l’importance qu’avait la nature dans la vie des romantiques. De plus, le chant lexical du rêve, vient compléter cette idée : « Je m’égarais sur de grandes bruyères » (l 13), « Qu’il fallait peu de choses à ma rêverie […] une cabane dont la fumée s’élevait dans la cime dépouillée des arbres ». Ce champ lexical relit donc l’homme à la nature, tout en donnant à cette dernière un rôle majeur dans la personnalité et le tempérament du personnage. De