Champ Lexicale De La Correspondance

un peu de description -théâtralité de la scène (effet des ≠ discours) -récit subjectif-point de vue interne -vocabulaire : inquiétude-soulagement => pour les deux -correspondance des sentiments pour les deux personnes (début de l'amour) -timidité , discrétion des deux personnes + la libération , la joie -champ lexical de la beauté , féminité -générosité au delà des préjugés sociaux , Mme Rénal se sent + proche des paysans , touchée par Julien -Julien s'imaginait que Mme Rénal serait hautaine

ligne.1,4,9 et 13 du texte C, des apostrophes l.8 texte C. Troisième, on relève la présence des champs lexicaux. Texte A de Baudelaire, on observe le champ lexical du corps vers 2 ‘’ton sein’’ ; le vers 7 ‘’le corps’’ ; v8 ‘’l’œil’’. Dans se texte il y a des jeux de correspondance entres les sensations, sensation visuel ‘’je vois’’ v.10 et sensation olfactive. On constate qu’il ya aussi le champ lexical de la nature ‘’les feux’’,’’d’un soleil’’. Texte C

de tes dents, Je crois boire un vin de Bohême,            Amer et vainqueur,Un ciel liquide qui parsème D'étoiles mon cœur !            | C’est certainement sa maîtresse, Jeanne Duval que Baudelaire décrit dans Le serpent qui danse. Le champ lexical du voyage, de l’exotisme renvoie à sa rencontre en 1842 . C’est un poème de neuf strophes composé de quatrains comprenant des rimes croisées. Les rimes l’alternent entre rimes féminines et masculines,cela donne un rythme régulier comme celui

dans ces poèmes sont : - le champ lexical de la mort : LXXVIII « corbillards » v. 17, « gémissant » v. 2, LXXVII « mourant » v. 6, « cadavre » v. 17, LXXVI « morts » v. 10, « cimetière » v. 8, LXXV « défunts » v. 14, « fantôme » v. 8 - le champ lexical de la maladie : LXXV « enrhumée » v. 10, « galeux » v. 6, LXXVI « boiteuses » v.15, « l’ennui » v. 17, LXXVII « très-vieux » v. 2, « malade » v. 8, LXXVIII « geindre » v. 16 - le champ lexical de la souffrance : LXXV « se lamente »

l'opposition avec la récolte du fils -antithèse et correspondance : outrage fait au fils + injuste rigueur = même construction -la recherche du père est vaine et lui donne beaucoup de souffrances, qui elles même l'entrainent dans un désespoir, dont Dorante est le confident II : Du réel à l'illusion a) un état d'esprit -la tirade de Pridamant montre qu'il a déjà eu recours à la magie, ce qui justifie son extrême désespoir -champs lexical des enfers et des ténèbres dans la tirade de Dorante

| | | | | | | |Champ lexical dominant ? | | | | | |

Correspondance morale  : La lenteur du moulin et sa décrépitude (la vue) avec la mélancolie et la mort (les sentiments)  La nature permet d’unifier le poème en englobant le moulin et les personnes qui l’entoure  Description d’un petit village misérable éclairé seulement par une lampe de cuivre. Le faible éclairage qui pourrait s’éteindre à tout moment renforce l’idée d’une vie qui peut être enlevé à tout moment. Le moulin fait donc office de symbole de cette fragilité. Désespoir

du champ lexical de la lumière dans le même vers ("éblouissent", "feux", "soleil"). L'adjectif "monotone" associé au soleil démontre une constance du soleil, ce qui peut donc être vu comme une qualité. Au vers 1, les yeux sont fermés, donc le "Je vois" du vers 3 est bien le fruit de la rêverie du poète, déclenchée par l'odeur du "sein chaleureux" . L'imaginaire est noté par l'enjambement aux vers 3-4 qui accentue un climat d'allégresse et de chaleur (champs lexicaux de

nuées/buées : la rime est riche et les mots sont pratiquement synonymes, le cercle est presque parfait. En quoi ce texte se présente-t-il comme un paysage état d’âme à travers un tableau impressionniste ? I] Tableau impressionniste 1) Un paysage - champ lexical de l’hiver - description d’une plaine enneigée - comparaison entre « les chênes » et « nuées » -> insiste sur l’atmosphère sombre et opaque : atmosphère d’hiver. - « buées » et « nuées » placé à la rime + diérèse : insistance - « poussive »

ligne.1,4,9 et 13 du texte C, des apostrophes l.8 texte C. Troisième, on relève la présence des champs lexicaux. Texte A de Baudelaire, on observe le champ lexical du corps vers 2 ‘’ton sein’’ ; le vers 7 ‘’le corps’’ ; v8 ‘’l’œil’’. Dans se texte il y a des jeux de correspondance entres les sensations, sensation visuel ‘’je vois’’ v.10 et sensation olfactive. On constate qu’il ya aussi le champ lexical de la nature ‘’les feux’’,’’d’un soleil’’. Texte C