Champ Lexicale

lentement comme une grande alcôve » (vers 2,3). Les aspects dangereux de la nuit sont nombreux. On peut facilement distinguer un champ lexical du danger dans ce poème : « criminel » (vers 2), « démons » (vers 11), « Tourmente » (vers 15), « l’ennemi » (vers 18), « dérobe » (vers 20), « catin et escrocs » (vers 24) et « voleurs » (vers 25). Cet important champ lexical montre la dangerosité de la nuit à Paris. Baudelaire insiste sur la Prostitution. D’abord en utilisant un synonyme « catin » (vers

cachot. Le fait qu’il utilise l’adjectif humide pour définir le cachot, nous fait sentir l’odeur de moisissure qui doit régner et nous indique l’ambiance lugubre. Il emploie aussi le champ lexical de la prison par l’utilisation de ces termes : « murs » (v.7), « plafonds » (v.8), « barreaux » (v.10). Ce champ lexical nous rappelle l’impossibilité pour lui de s’envoler, contrairement au poème Élévation. Tous ces éléments nous font sentir la prison qui était d’abord extérieure, est rendue à l’intérieur

sont les principales caractéristiques du portrait de Gervaise, au niveaux des connotations et champs lexicaux? Quelle image Zola a-t-il voulu donner de son héroïne?  Cette scène est pathétique où on assiste au portrait d'une femme ravagée par l'alcoolisme, la misère qui meurt dans des conditions humiliantes, ignobles et dans la souffrance. En effet, elle connaît une mort lente et pénible avec le champ lexical de la faim : « mourait un peu de faim tous les jours » l.2, « ventre vide » et « claquait

message en utilisant l’annexion des romains en évitant la censure. *La fable dénonce la souffrance d’un peuple mis en scène de façon pathétique. Tout d’abord le registre est pathétique qui est montré par la souffrance exprimée à travers le champ lexical de la souffrance ex : (v13) mal, (v28) injustice, (v34) misère, (v34)les pleur. Il utilise aussi la personnification des romain exemple v56. Il utilise aussi des questions rhétorique qui exprime le doute des germain ex : (v45-46) (question-reponse)

SENSATIONS 6) a) CHAMP LEXICAL DE : LA VUE L’OUIE TOUCHER ODORAT « vous font mal aux oreilles » « tordu par l’odeur soufrée   Il y a très peu de champ lexical. b)Les sensations occupent une grande place car elles sont représentées par des verbes conjugués ,exemple, « voir », « sentir », « frapper » ….ce qui explique le peu de champ lexical utilisé. 7) 8)

Lettres amoureuses Par quel procédé les écrivains de ce corpus mettent-ils en scène le sentiment amoureux ? Similitudes : - Le champ lexical de l'amour : Variation 1 : aime ( l.21) Variation 2 : Amor nel Col (l.48) Variation 3 : Chéri (l.3) , amants (l.16), la saison des amours ( l.26), vieux bébé poilu ( l. 34) , gros baisers ( l.35) , sentiments (l.37). - Dans les variations 1 et 2 on constate la surabondance d'exclamations notamment comme les points d'exclamation "

Plan de l’analyse littéraire du poème « Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage » de Joachim Du Bellay Sujet posé : mal du pays 1. Fait référence à son village 1.1. Personnages historiques 1.1.1. Champ lexical : « Ulysse (V.1.), cestuy-là (V.2.), toison (V.2.), retourné (V.3.) » Commentaire : souligne l’apport à la tradition antique et met l’accent sur l’importance du retour à la maison. 1.1.2. Procédés Connotation entre heureux et beau : « Heureux qui, comme

L’importance de ce champ lexical de la lumière est nettement marquée par le triple travail métaphorique, et par la mise en relief systématique par la versification (mise en rejet de « d’argent » et « luit » (v.3 et 4) ; localisation à la rime et en fin de quatrains pour « mousse de rayons » (v.4) et « la lumière pleut » (v.8). Les deux quatrains s'achèvent donc sur des notations convergentes et parallèles, qui sont des notations de lumière. 2) Le soldat a) Champ lexical du corps et organisation

couvreurs...) • Réalisme des anecdotes (tuiles qui tombent, accident) B) Une scène d’embarras : les difficultés du poète à avancer dans la ville • Une ville pleine : - champ lexical du bruit (« ramage », « cris aigus », « concert », « retentir », « aboyer », « jurer »...) - champ lexical du foisonnement ( « partout », « peuple », « foule », « à foison », « un grand troupeau de bœufs »...) → ville caractérisée par le bruit et le monde/la foule. • Difficultés du poète

vie menée par l’enfant au sein de sa famille ? Monotone et ennuyeuse. IV - Quels champs lexicaux dominent dans le texte ? Le champ lexical de la liberté le champ lexical de la contrainte * Le rêve - Etroites limites de l’école * Echapper - Subir une contrainte * S’en aller - Obéir * Le songe D’après ces champs lexicaux, on se trouve devant deux univers contradictoires, que constitue donc le rêve pour l’enfant