Champs Lexical De La Lumière

Après avoir montré le sens descriptif des mots, nous analyserons le sens stylistique des expressions. Partie I:Le sens descriptif a .Champs lexicaux de la nature et du personnage La nature ,présentée dans ce poème ,est une entité extrêmement vivante et active .Rimbaud décrit cette nature animée par le champ lexical du paysage ,,,,,,,et celui de la lumière ,,,.Par la lecture de ce poème ,on peut imaginer une scène pleine de vie et de gaieté:dans un petit val ,couvert d’herbes vertes,une rivère

plantes » : il est sujet - « Mon souffle guide » - Champs lexical de la création ( créé, ordonner ) B. Une démonstration de force - « Vois », « entends » : utilisation impératif : il donne des ordres + « j’ai ordonné » - Oreste passif - Didascalie montre la grandeur C. L’harmonie de la création - Champs lexical de l’harmonie : « harmonie », « réglé », « ordre » - Métaphore « douce langue des marais » : ce qu’il fait est beau - Champs lexical de l’astronomie II. La déviance d’Oreste A. Oreste

dualité un peu articielle ? 0.1 Jérôme, un personnage ambigu Un être humain en errance   Jérôme n'en sait rien  ne ...rien : locution négative qui ouvre sur une faiblesse du personnage : l'ignorance   regrette, si, peut-être → champ lexical de l'incertitude et du regret → doute et re- grette son parcours dans la vie + énumération de métiers impossibles :médecin, historien, sociologue...  `attente, attendre → répétition, ne sait pas où avancer  lui a joué

L’auteur (quelques mots biographiques si on le connait) = Marivaux (1688-1763), influencé par les Lumières, théâtre de comédies sociales pour inviter à réfléchir sur les inégalités sociales avec humour (voir la fiche séquence 6) L’O.I (quelques éléments importants donnés sur l’œuvre intégrale)

Instructions aux assemblées de bailliage (1789) * Journal des amis de la Constitution (1790-1791) * De la Guerre et de la paix (1795) Le texte : I) Le récit d’une éducation a. une éducation personnelle Il y a le champs lexical de l’éducation est toujours suivi par une marque de la 1ere personne du singulier. « Je me suis travaillée », terme utilisé pour les matériaux, elle se construit à tous les sens du terme pendant son éducation. Il n’y a pas d’aspect humain,

de la lumière et du feu • champ lexical : "s'éclairer" ; "four" ; "s'embrasent" ; "éblouissement" .... => jusqu'à "coup de foudre" • cette vision de feu et de lumière transcende l'univers traversé par le train, et donc l'univers où se trouve Jacques : cela va influer sur ses impressions . • le feu et la lumière donne l'impression que la scène est éclairée par un projecteur : l'action est essentielle dans le déroulement du récit : Zola la met en valeur . 2- le train arrive • lumière, bruit

composantes du paradis beaudelairien : l'exotisme et la sensualité dont nous avons les champs lexicaux : champs lexical de paysage exotique marin : rivages heureux, ports, voile, mats, mariniers, vague, île etc champs lexical du plaisir et de la sensualité : chaud, heureux, sein chaleureux, savoureux, vigoureux, parfum, fruits, odeur etc Ce lieu est réconfortant, charmant c'est un monde de chaleur et de lumière , d'abondance, de facilité et de plaisir. C'est un monde peuplé d'être sains vivants

l’opposition entre l’aspect insipide du lieu réel et le désir d'évasion du poète. Ce poème, dans un premier temps, relate la monotonie du quotidien du poète. Son sentiment de lassitude est projeté sur la nature comme l’atteste le champ lexical d’une nature triste et morne (« le grand bois jaunissant » (v. 4), « l’automne décline » (v. 5), « le soleil est la pluie ont rouillé la forêt » (v. 6), « déchire ce brouillard » (v. 12)). Ses émotions sont aussi projetées sur le climat qui, lui

considéré comme un écrivain scandaleux par l’écriture de “Les liaisons dangereuses” ou il parle de la manipulation de la société pour réussir touts les objectifs qui il peut avoir. Laclos forme part du mouvement littéraire appelle le mouvement des lumières (1715-1789), dont le but était de dépasser l'obscurantisme et de promouvoir les connaissances. Les Liaisons dangereuses de Laclos est un roman épistolaire écrit en 1782 entre un groupe d'aristocrate dont le Vicomte et la Marquise de Merteuil, des

suggère une forme d’illumination mystique, donnant à la jeune femme un caractère surnaturel. Le personnage semble d’ailleurs baigné de lumière. Sa personne se découpe « sur le fond de l’air bleu ». On retrouve ce champ lexical dans le portrait qui est faite d’elle : « cette finesse des doigts que la lumière traversait ». Mme Arnoux diffuse également une lumière éblouissante, qui provoque chez Frédéric un véritable aveuglement faisant disparaître tout ce qui n’est pas elle : « il ne distingua personne