Champs Lexical Le Vampire

. . . . . . . . – Le passif à l’école . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Le sens passif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Les contraintes lexicales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Le passif, un choix énonciatif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Propositions de mise en œuvre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

le mène à moderniser les thèmes poétiques en évoquant des sujets très controversés et provocateurs : le Mal sous toutes les formes, la déchéance physique et morale, le sentiment de révolte du poète, la corruption et la sexualité (Métamorphose du Vampire). La modernité est également présente dans ses poèmes lorsqu’il aborde le thème de la ville (tableau parisiens) qui représente à ses yeux l’innovation dans laquelle se déroule les expositions universelles. Dans la deuxième partie des fleurs du Mal

. . . . – Le passif à l’école . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Le sens passif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Les contraintes lexicales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Le passif, un choix énonciatif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Propositions de mise en œuvre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

le champ lexical du bonheur : « rires », « gaieté », « chants », « fête », « en souriant » ainsi que celui de l’amour fraternel : « sœur », « frère », « tendresse », « protégeait », « couple ». 3. Même si ce début semble trop beau pour que cela continue, les élèves sont libres d’imaginer des hypothèses optimistes ou pessimistes sur la suite. u Étude du troisième extrait (document 3) 5. Le frère ressent des sentiments nouveaux de « paix », de « joie », de « sérénité ». 6. Le champ lexical du changement

paratexte : nom de l’auteur, titre, préface, illustrations…. – est « le signe par lequel le livre s’ouvre »12 à la curiosité du lecteur, qui en attend donc quelque chose. On dit ainsi que le titre crée à lui seul un horizon d’attente : c’est-à-dire un champ de possibles que le lecteur imagine. Ainsi, Le crime de l’Orient-Express d’Agatha Christie nous indique d’emblée que le roman appartient à un genre, le roman policier, qu’il va se situer dans un lieu précis (un train) et un univers géographique particulier

conflits humains reflètent souvent un conflit qui existe entre les dieux. Comme des humains, ils se disputent, se battent, intriguent mais ils sont maîtres du destin et contemplent de haut l’agitation humaine, même si on peut les voir parfois sur les champs de bataille. DES SENTI M ENTS ET DES COM PORTEM ENTS MARQUÉS PAR L’EXCÈS Les réactions des personnages sont à l’image de ce monde d’exception marqué par l’ingérence des dieux : force, amour, amitié, vengeance, violence, cruauté sont plus intenses

avait pris deux pierres aussi grosses que mon poing : je fis de même. « Tourne-toi doucement », chuchota-t-il. Je fis tourner ma tête et mon buste : je vis, là-haut, briller dans l’ombre deux yeux phosphorescents. Je dis dans un souffle : « C’est un vampire ? 47 ½¼ ½ ¾¼ ¾ Le discours narratif – Non c’est le grand-duc ½ . » En regardant de toutes mes forces, je finis par distinguer le contour de l’oiseau. Perché sur une saillie de la roche, il avait bien deux pieds de haut. Les eaux l’avaient

poète (les thèmes récurrents sont l’amour, la mort, la nostalgie, la communion avec la nature, le destin, etc.). Les marques du registre lyrique : l’emploi de la première personne du singulier ; le vocabulaire des émotions et des sentiments (→ champs lexicaux) ; une ponctuation expressive (points d’exclamation, points d’interrogation) ; la présence d’adverbes d’intensité ; l’emploi de figures de style (comparaisons, métaphores, …) ; etc. Termes liés : l’élégie, le pathétique, le pathos (émouvoir

napoléoniennes qui lui ont permis de parcourir le monde. Nous avons peu de descriptions des lieux qu’il a parcourus ; ils sont, pour la plupart d’entre eux, juste mentionnés, mais ils contribuent à dresser un décor à la fois mythique et nostalgique. Seul le champ de bataille d’Eylau est un peu décrit, et il l’est alors selon le seul point de vue de Chabert. Comme nous l’analyserons dans le chapitre sur la nostalgie de l’épopée napoléonienne, la description du rôle du colonel dans la bataille est grandiose

napoléoniennes qui lui ont permis de parcourir le monde. Nous avons peu de descriptions des lieux qu’il a parcourus ; ils sont, pour la plupart d’entre eux, juste mentionnés, mais ils contribuent à dresser un décor à la fois mythique et nostalgique. Seul le champ de bataille d’Eylau est un peu décrit, et il l’est alors selon le seul point de vue de Chabert. Comme nous l’analyserons dans le chapitre sur la nostalgie de l’épopée napoléonienne, la description du rôle du colonel dans la bataille est grandiose