Chandelle

l'imagination de la jeune Hélène. Ronsard multiplie les motifs qui par métaphore, allusion ou association renvoient à la vieillesse. Les compléments circonstanciels « au soir » et « à la chandelle » signifient que le soir est au jour ce que la vieillesse est à la vie (→ déclin) et la chandelle est un motif traditionnel des vanité, avec la cire qui se consume comme la vie et la flamme qui s 'épuise avant de s'éteindre. Au vers 2, « dévidant et filant » rappelle le motif de l'écheveau, du

père le lendemain matin. Une diligence de la rue du Bouloi faisait à cette époque le voyage de Rouen la nuit et passait par Vernon. Ni M. Gillenormand ni Marius ne songèrent à s’informer. Le lendemain, à la brune2, Marius arrivait à Vernon. Les chandelles commençaient à s’allumer. Il demanda au premier passant venu : la maison de monsieur Pontmercy. Car dans sa pensée il était de l’avis de la restauration3, et, lui non plus, ne reconnaissait son père ni baron ni colonel4. On lui indiqua le logis

père le lendemain matin. Une diligence de la rue du Bouloi faisait à cette époque le voyage de Rouen la nuit et passait par Vernon. Ni M. Gillenormand ni Marius ne songèrent à s'informer. Le lendemain, à la brune2, Marius arrivait à Vernon. Les chandelles commençaient à s'allumer. Il demanda au premier passant venu: la maison de monsieur Pontmercy. Car dans sa pensée il était de l'avis de la restaurationJ, et, lui non plus, ne reconnaissait son père ni baron ni colonel4. On lui indiqua le logis.

« Nageoit » renvoie à l’élément liquide. On passe de l’air à l’eau, et cet élément peut correspondre à Cassandre. La chevelure serait alors associée à une cascade : ceci magnifie la féminité et continue de créer cet effet érotique. Dans le tercet, la « chandelle » exprime le feu. C’est le troisième élément qui figure, après l’air et l’eau. Accumulation des autres caractères de Cassandre. C’est une beauté archétypale qui renvoie à la vision platonique de l’amour. Il explique au lecteur le choix du terme « Déesse »

(Horace, poète latin), qui travaille sur les lumières et les contrastes (« ténébreux » / « éclairée, chandelle » : sorte de clair-obscur). Baudelaire plaide implicitement pour une poésie du quotidien et du réel : pour lui, c'est l'observation qui est source de création. À travers l'énumération de réalités simples, il privilégie le quotidien (« presque rien »), mais esthétisé par la mention de la « chandelle », plus poétique que l'éclairage au gaz de l'époque. Mais la poésie dépasse la réalité superficielle

(Horace, poète latin), qui travaille sur les lumières et les contrastes (« ténébreux » / « éclairée, chandelle » : sorte de clair-obscur). Baudelaire plaide implicitement pour une poésie du quotidien et du réel : pour lui, c’est l’observation qui est source de création. À travers l’énumération de réalités simples, il privilégie le quotidien (« presque rien »), mais esthétisé par la mention de la « chandelle », plus poétique que l’éclairage au gaz de l’époque. Mais la poésie dépasse la réalité superficielle :

femmes étaient dispersées dans la nef. Puis j’aperçus dans un bas-côté un homme agenouillé non loin d’une sorte de placard de bois. D’autres placards semblables étaient alignés le long du mur : c’était là ! Au-dessus de chacun d’eux, il y avait une chandelle, protégée par un globe de verre. Une seule était allumée. Je m’approchai et m’assis sur un banc. Au bout d’un moment, la porte de bois du confessionnal s’ouvrit, et une femme voilée de noir en sortit. Elle traversa l’allée et s’agenouilla un peu

conséquent ,le présent déjà passé ; « Ronsard me célébrait... » . Cet emploi constitue donc un avertissement lié au tempos fuguit. D'autre part , certains procédés poétiques utilisés renforcent cette dimension lié au tempus fuguit. En effet le terme « chandelle »(vers1) rimant avec « belle »(vers3) met en parallèle , l'objet usuel, connut de tous pour être certes étincelant mais surtout éphémère. Ronsard se sert donc de cette rime comme lien métaphorique entre la bougie et la beauté d'Hélène. C'est ce

vraisemblable des conditions de vie de l’époque. Dans l’extrait « Ce silence triste et froid » de Laberge, ce dernier présente des personnages dont l’hygiène traduit leur réciprocité à la terre : «Il s’essuya les lèvres de sa main sale et calleuse. Une chandelle posée dans une soucoupe de faïence ébréchée, mettait un rayonnement à sa figure barbe et fruste de travailleur des champs ». Quant à l’extrait de Grignon, il témoigne de l’hiver rigoureux que supportent les paysans :«Il souffrait du froid [...] La

cette simple menace qui n’est pas a prendre au sérieux assommer —> assassiner: suggère le complot « de par ma chandelle verte »: exclamation répétée à 3 reprises et pas tirs justifiée —> tic de langage presque toutes les répliques sont exclamatives —> personnages = êtres primaires, toujours dans la réaction réflexives, immédiate et physique Physique mis en avant « chandelle » qui désignerait le corps, corps omniprésent Le père Ubu se justifie en énumérant des éléments qui nous permettent