Chanoine

mesures des générations. Ainsi les chroniques de Saint-Trond s'étendent de 1180 à 1366. Jean le Bel, aussi connu sous le nom de Jean Lebel ou de Jehan le Bel, est un chroniqueur liégeois du Moyen Âge, né à Liège vers1290 et mort vers 1370, est un chanoine de Saint-Lambert. Il écrit un ouvrage intitulé Vrayes chroniques (en fait Vraye hystoire du roi Edwart), commencé en 1357, il relate la première partie de la guerre de Cent Ans (la période qui va de1326 à 1361, avec une interruption brusque du récit

la fois une charge et un revenu mis en place au XIIe siècle. Pour distribuer ces bénéfices on fait appelle à des collateurs ordinaires qui élisent, pour un abbé à la tête d'un abbaye c'est les moines qui élisent l'abbé, pour un évêque c'est les chanoines. Ce qui se développe au XIIIe siècle c'est que le pape intervient de plus en plus souvent dans ces élections. Donc à partir du XIIIe siècle les papes deviennent plus puissant, ils outre-passe les prérogatives des collateurs ordinaires, ils nomment

l’Université de Paris. Il écrivit à propos de plusieurs évènements de son époque dont il fut témoin et a publié plusieurs œuvres dont une chronique latine, une courte histoire des Carmes et le Roman des trois Maries.Jean le BelJean le Bel était un chanoine de Saint-Lambert de Liège et chroniqueur flamand né vers 1290 et mort en 1370. Il est considéré comme précurseur dans son domaine et fut l’un des premiers chroniqueurs a adopté le français en délaissant le latin. Entre autres, il se rendit en Angleterre

lettre. un jeune homme qui se cherche: a) son histoire :diderot est né le 5 octobre à Langers.Il est le deuxième de six enfants , dont deux meurent en bas-âge. Son père, maître coutelier est un artisan aiséL’oncle de Denis Diderot est chanoine, et la religion occupe une place importante dans les années de jeunesse du jeune Diderot. Son père le destine à la vie ecclésiastique et lui fait suivre l'enseignement des Jésuites à Langres. Diderot est un élève brillant mais dissipé. Diderot se

(=requête écrite pour demander une faveur) de l'Homme, plein de remords et de désespoir, mendiant la pitié. Mais la Mort entraîne tout le monde dans la danse: l'ensemble de la hiérarchie cléricale comme le pape, les cardinaux, évêques, abbés, chanoines, prêtres, en passant par les représentants du monde laïque, les empereurs, rois, ducs, comtes, chevaliers, médecins, marchands, usuriers, voleurs, paysans et jusqu'à l'enfant innocent. La Mort ne regarde ni le rang, ni les richesses, ni le sexe,

sacrifier corps et âme à sa première vocation. C’est à cette époque qu’il fut appelé l’Abbé Diderot. Denis a été un brillant sujet des Jésuites, il a reçu la tonsure. Il est destiné, après ses études de théologie à la Sorbonne, à succéder à son oncle chanoine. Il va bientôt abandonner la route tracée par sa famille qui devait le conduire à une vocation ecclésiastique. Diderot échappe aux religieux chez qui son père l'avait enfermé et celui-ci s'enfuit à Paris. Il veut faire carrière dans le droit comme

pourquoi paraît en 1549 un manifeste intitulé Défense et illustration de la langue française. Du Bellay signe l'ouvrage, défend lui aussi le français contre le latin et l'enrichissement du vocabulaire. Joachim est aussi, à cette période, devenu chanoine de Notre-Dame de Paris, ce qui n'entrave en rien son rythme de vie mondain. On le surnomme l'Ovide français. En 1549, du Bellay publie un recueil, L'Olive. L'ouvrage rassemble de nombreux sonnets écrits « à la manière » de Pétrarque. De 1553 à

pontife aux tutelles des aristocraties romaines À partir de 1059, la réforme lie donc de façon indissoluble reprise en main morale et libertas : idéal monastique envahit toute l’Église. Par ex, en 1059, lors du concile on conseille vivement aux chanoines de vivre en commun mais non pas sous la règle d’Aix, trop “laïque”, laissant cellule individuelle, on prône dortoir et réfectoire. Parallèlement décrets de condamnation des simoniaques et concubinaires (pour le concubinage on est à la jonction des

Chassaigne, de 11 ans plus jeune que lui. En 1570, son premier enfant, une fille nommée Thoinette, naquit et mourut à l'âge de deux mois. En 1571 lui naquit Léonor, baptisée par l'oncle de Montaigne Pierre Eyquë de Mötaigne, seigneur de Gaujac et chanoine de S. André de Bourdeaus, et par la soeur de Montaigne, Léonor. En 1573, une troisième fille, Anne, ne vécut que sept semaines. Suivit une quatrième fille, en 1574, qui ne vécut que trois mois. Une cinquième fille, née en 1577, mourut un mois après

il écrit une ode qui a pour titre la Nymphe de la Seine en 1660, ainsi que deux pièces, une tragédie : Amasie, perdue de nos jours, et Les Amours d'Ovide, toutes deux refusées par les comédiens du Marais. Envoyé par sa famille chez son oncle chanoine à Uzès, il ne tarde pas à abandonner la théologie pour revenir à la littérature. De retour à Paris dès 1662, il compose une ode sur la Convalescence du Roi, puis la Renommée aux Muses, œuvres qui attirent sur lui l'attention et lui valent une pension