Chant patriotique

Je signale, à toutes fins utiles, quelques autres "protest songs" qui pourraient être étudiées dans le cadre d’une séquence davantage dédiée à la chanson engagée : • « La Chanson de Craonne » de Paul Vaillant-Couturier. • « Le Chant des Partisans » de J. Kessel et M. Druon. • « L’Homme » de Léo Ferré. • « La petite Juive » de Maurice Fanon. • « Hexagone » de Renaud. • « Lily » de Pierre Perret. • « La Ballade de Serge K. » de

but). Dont acte. Je signale, à toutes fins utiles, quelques autres "protest songs" qui pourraient être étudiées dans le cadre d’une séquence davantage dédiée à la chanson engagée : « La Chanson de Craonne » de Paul Vaillant-Couturier. « Le Chant des Partisans » de J. Kessel et M. Druon. « L’Homme » de Léo Ferré. « La petite Juive » de Maurice Fanon. « Hexagone » de Renaud. « Lily » de Pierre Perret. « La Ballade de Serge K. » de Charlélie Couture. « Tam-Tam de l’Afrique » du groupe

Les résistants n'étaient pas tous des combattants armés. Des journalistes, des poètes, des écrivains, des artistes exprimaient leur opinion à travers des journaux, des tracts, des poésies, des chansons et des livres diffusés clandestinement: "Le Chant des Partisans", la "Complainte du Partisan", le poème "Liberté" de Paul Eluard, les poèmes de Louis Aragon... (voir la page poésie2). Même des cinéastes, malgré la censure, pouvaient faire passer des idées, comme par exemple le coeur battant de la

génocide au Rwanda est un génocide qui eut lieu du 6 avril au 4 juillet 1994 au Rwanda, un pays d'Afrique de l'Est. Il fut commis dans le cadre d'une guerre civile opposant le gouvernement rwandais, constitué de Hutu (voir Hutu Power), au Front patriotique rwandais (FPR), accusé par les autorités d'être essentiellement « tutsi ». Le 1er octobre 1990, des Rwandais exilés et regroupés au sein du FPR décidèrent de revenir au pays à partir de l'Ouganda, et de prendre le pouvoir par les armes. En réponse

reprises en 1963 et 1966 de déstabiliser l’État. En 1973, l’armée rwandaise intervint dans le conflit par la prise de pouvoir du général Juvénal Habyarimana. À partir de 1990, la guerre civile opposa l’armée gouvernementale à majorité Hutue au Front Patriotique Rwandais (FPR) à majorité Tutsie. En 1994, l’assassinat de J. Habyarimana (président Hutue) déclencha le massacre. 90% de la population rwandaise contre une minorité Tutsie de 9%. Avec l’aide humanitaire présente, 2 millions de rwandais ont pu se

dictature, Juvénal Habyarimana séduit les démocraties occidentales et fait passer son pays pour la « Suisse de l'Afrique ». L'attaque des exilés Tutsi le premier octobre 1990 1987 : Les tutsis et opposants hutus exilés en Ouganda fondent le Front patriotique rwandais (FPR). 1er octobre 1990 : le FPR Attaque sur la frontière Nord, depuis L’Ouganda. Début d’une guerre civile. Des dizaines de milliers de mort en 3 ans. Intervention des troupes Belge, Française et Zaïroises 1991 : Habyarimana autorise

grâce notamment à l’intervention des autorités coutumières. Quelques mois plus tard une catastrophe d’une tout autre ampleur s’abattait sur le Kivu : le déferlement massif des Hutus fuyant le Rwanda devant l’avancée victorieuse de l’armée du Front Patriotique Rwandais (FPR). La guerre du Rwanda, sur fond d’exaspération des haines entre Hutus et Tutsis jusqu’au paroxysme du génocide de 1994, étendit alors ses métastases au Kivu. L’installation durable de plus d’un million de Hutus dans des camps de réfugiés

hutus. En 1962, le Rwanda obtient son indépendance et en 1973 il y a un coup d’état militaire organisé par le général hutu Habyarimana. Les tutsis sont exilés au Burundi et en Ouganda. Le 1er octobre 1990, le Rwanda est envahi par le FPR (Front Patriotique Rwandais créé en 1961 par les tutsis exilés en Ouganda), qui revient pour reprendre le pouvoir au Rwanda. Les autorités rwandaises hutu se défendent avec l’armée contre l’agression militaire du FPR et participent à la « liquidation » de tous les

qui eut lieu du 7avril 1994 à juillet 1994 au Rwanda, un pays d'Afrique de l'Est. Il fut commis dans le cadre d'une guerre civile opposant gouvernement rwandais, constitué de Hutus :groupe majoritaire au Rwanda catholique et protestant , au Front patriotique rwandais, accusé par les autorités d'être essentiellement tutsi :le deuxième groupe de population au Rwanda majoritairement juif. Le 1er octobre 1990 , des Rwandais exilés et regroupés au sein du FPR décidèrent de revenir au pays à partir de l'Ouganda

l’indépendance du pays en 1962. Il n’était alors plus du tout question de la Belgique qui, autrefois, était une puissance ayant une influence majeure sur le peuple du Rwanda. Dans les années 1990, la guerre civile entre l’armée gouvernementale et le front patriotique rwandais (F.P.R.), à majorité tutsie, nécessita l’envoi de troupes françaises pour apporter de l’aide humanitaire. Puis, à la suite de l’assassinat, en avril 1994, de J. Habyarimana qui avait pris le pouvoir en 1973, un massacre fut déclenché. Cela