Chaos

exergue leur valeur philosophique qui vise à nous rendre notre liberté et notre capacité d’analyse grâce à l’ouverture d’esprit qu’ils permettent. Chapitre 1 : La Naissance des Dieux et du Monde -Le mythe : A l’ origine du monde : le vide, le Chaos. Jusqu’à l’arrivée de Gaia, la terre, il n’y avait que le néant, que les ténèbres mais sur cette terre l’espoir d’une vie est possible, c’est ici que mes Hommes pourront vivre. A contrario, Gaia porte également au plus profond d’elle-même le Tartare

Barbey d'Aurevilly en fait une critique incendiaire dans Le Nain Jaune le 25 avril et 23 mai 186913 : « Il (Victor Hugo) coupe le fil à son récit et à ses personnages avec des dissertations abominables, dans lesquelles se débattent, comme dans un chaos, les prétentions d’un Trissotin colossal. »14 - « (Victor Hugo) n'a montré dans son Homme qui rit ni art, ni âme, ni nature humaine. Barbouillade et amphigouri, éclairés peut-être ici et là de cinq à six pages gracieuses ou éclatantes (tout au plus

langagiers recensés au niveau de la syntaxe textuelle. D’abord, nous commencerons par une étude de la construction de l’espace avant de voir comment les référents humains qui le peuplent sont caractérisés. En dernier ressort, nous montrerons comment le chaos, qui semble symptomatique de ce macro-espace est lui aussi figuré, ou si l’on veut pris en charge par un programme structural. 1. LA CARACTÉRISATION DE L’ESPACE La particularité de l’énoncé romanesque qui est de verbaliser un univers référentiel

19-25), énumération qui repose sur la cadence majeure, gradation ascendante. Il y a déplus une longue accumulation au rythme saccadé (cf. les longues allitérations en « c » produise une impression d’essoufflement qui permet de mettre en évidence un chaos généralisé et terrifiant, une montée en puissance de l’horreur (l.30-31) L’emploie de la cadence mineure, accentue le climat d’horreur et traduit l’idée de précipitation des évènements , de fin de mort qui approche Céline choisit une apparente négligente

particulier que nous connaissons bien, Otto Dix. Il a peint plusieurs tableaux pour montrer au monde entier les catastrophes et le chaos de la guerre. Ses œuvres touchent le public particulièrement puisqu’il ce sont des choses qu’ils a vu et qu’il a vécu dans le passé. Le document 1 nous présente une des conséquences après chaque attaque. Ces images fortes et au-delà du chaos choquent le public et contredit clairement tous les propagandes qui eux, ne font qu’embellir les choses. Mais ce ne sont pas seulement

avoir fait une déclaration d’amour qui est insolite pour l’époque avec des comparaisons implicites et osées, Guillaume Apollinaire dénonce dans son poème un caractère de chaos identique entre l’amour et la guerre. Dans cette deuxième partie nous verrons que le poète, à travers l’amour et la guerre, dénonce un identique chaos dans une poésie argumentative. D’abord, il y a la présence dans ce poème de tourments amoureux. Ces tourments sont justifiés par l’utilisation d’une part de la jalousie

je peux voir un cheval qui hurle pour le peuple. Je vois une main tenir une lampe qui symbolise la paix dans tout ce chaos. Couché sur le sol, il y a un soldat qui est à terre. Dans la main droite, il tient une épée cassée : il appelle à l'aide car il n'a plus d'arme pour se défendre. Dans sa main gauche, il est blessé, nous pouvons distinguer toutes ses blessures. C'est le chaos total. Dans le second rectangle, je peux voir un homme qui essaie de s'échapper des flammes. Il veut sortir par

voyons et entendons, des formes, couleurs, sons etc., et ces impressions sont arrangées par l'artiste dans un ordre, une composition. D'abord il y a le chaos, le chaos des impressions sensorielles. L'artiste, étant un créateur, organise ces impressions sensuelles dans une structure, un monde, une forme définie, de façon qu'il n'y a plus juste un chaos d'impressions mais ce corps, cette chose complète, cette œuvre-d'art..

fétiche de la société de consommation - icône Parisien. INTERPRETATION : La Joconde c’est la grâce, la grâce d’un sourire. Mais un sourire est éphémère, comme la beauté. Un va et vient s’opère entre le sourire et le chaos du paysage, du chaos à la grâce (éphémère) et de la grâce au chaos. Double discours sur le temps qui passe, puisque un portrait est déjà une méditation sur le temps qui passe. (d’où la présence du pont , image de l’eau qui s’écoule)

nombre d’œuvres ; deux seulement sont identiques : les Travaux et les Jours et la Théogonie. La première renferme des préceptes, des conseils de toute sorte : politiques, religieux, économique. La seconde est l'histoire des dieux et du monde, issu du chaos qui était au commencement de tout. Ce texte à la composition très rigoureuse, dresse l'Histoire des générations de dieux et présente leur lutte pour la souveraineté. Mais avant, il décrit le temps des dieux primordiaux et il est en cela une véritable