Chapitre 4 La Focalisation Du Narrateur

irascible. J’avoue que je rossai l’Auvergnat, aux risques de l’être ; que ses camarades accoururent, et que sans la garde, j’aurais été embarrassé ! RESTIF DE LA BRETONNE, « 200e nuit », Les Nuits de Paris, 1788-1794. TEXTE 4 Ciment et herbe rase, le campus de Nanterre n'était qu'un désert désespérément plat, recoupant en plan horizontal le plan vertical des bâtiments. Pas un bosquet ou un parterre pour vous attirer, pas un bassin autour duquel tourner, pas un ancrage

fantastique en raison de la difficulté de "l’exercice fantastique" : faire admettre l’inadmissible dans une forme généralement brève. A la différence des autres genres où la nouvelle est réduite à la portion congrue, cette forme domine dans le fantastique. 4 CLASSEMENT DES PRINCIPAUX "SUJETS FANTASTIQUES" Il est impossible de passer en revue tous les sujets fantastiques, étant donné que tout auteur de fantastique peut faire naître un sentiment de malaise ou de peur avec n’importe quoi. Il lui suffit d’avoir

fable dans le roman érotique. Études françaises, 32(2), 7–17. https://doi.org/10.7202/036021ar Résumé de l'article Le lit romanesque, celui de Diderot, de Marivaux ou de Laclos, suppose un type de voyeurisme particulier chez le personnage, chez le narrateur et chez le lecteur. À la fois lieu et objet, ce lit est plus qu'un thème pour un type plus ou moins légitimé de roman ; il est aussi le révélateur des mécanismes de sa «fable», de son fonctionnement comme narration spécifique.https://apropos.erudit

pause Utopie : pays imaginaire et idéal mais qui n’existe pas. Conception du bonheur. Les différents registres (impression ressentie par le lecteur fasse au texte, ne dépend pas du genre littéraire) Lyrique : fait ressentir les sentiments du narrateur, caractérisé par un lexique affectif sentimental, un texte souvent a la 1ère personne, une ponctuation très présente, des interjections, un rythme particulier, des comparaisons des métaphores pour imager les sentiments et l’anaphore pour un sentiment

Commentaire composé Partie 7 chapitre 2 Germinal de Zola Ce texte est un extrait de Germinal, écrit par Emile Zola en 1885 et qui est le treizième volume des Rougon-Macquart. Ici, il nous fait la description du sabotage du Voreux par un homme dont le nom n’est pas mentionné. Il adopte une focalisation interne puisqu’il sait ce qu’il pense ou le cas échéant, ce qu’il ne pense pas comme à la ligne 27 avec « l’idée d’aller changer de vêtement ne lui vint même pas ». De plus son statut semble être

caractérise, notamment, par sa transgression des éléments définitionnels du genre. Et pour pouvoir identifier ces transgressions il nous faut, tout d’abord, définir le genre. Yves Reuter (2007: 9) considère que le roman policier se caractérise par «sa focalisation sur un délit grave, juridiquement répréhensible (ou qui devrait l’être)». Et selon l’élément qui occupe la place centrale du récit du crime, trois types ou sous-genres peuvent être distingués: «qui a commis ce délit et comment (roman à énigme)

Tostes, un village de Normandie, où il a épousé une veuve «laide» et «sèche» (chap. 1). Il rencontre, lors d’une consultation, Emma Rouault, la fille du fermier des Berteaux et, peu de temps après la mort soudaine de sa femme, il épouse la jeune fille (2-4). Emma, au contraire de son mari, n’est pas heureuse: cette union ne correspond pas à ses rêves d’adolescente romanesque (5-7). Après un bal au château de La Vaubyessard, fugitif mirage de luxe et de bonheur (8), elle sombre dans une morosité accrue

schéma actantiel. Les temps de la narration sont l’imparfait, le passé simple et le présent de narration. Les actions s’enchaînent aux côtés des dialogues et des descriptions pour faire avancer l’intrigue. • Le dialogue Dans un dialogue, le narrateur choisit de faire entendre les paroles des personnages, mot pour mot ; c’est le cas du discours direct. Ce n’est plus lui qui parle mais les personnages. Il y a donc un changement de situation d’énonciation. Ce changement permet d’expliquer en particulier

Yonville et à Rouen. Les événements se déroulent chronologiquement, seulement avec deux retours au passé - la retrospection d’Emma et Léon. Flaubert, l’auteur et le narrateur ne se place jamais entre la personnage et le lecteur. Sa conception de l’impersonnalité signifie un écart du point de vue omniscient et une tendance à la focalisation externe, limitée à une personnage, qui ne peut percevoir qu’une certaine partie de la réalité, donc qui ne saisit pas tout en une fois, d’un point de vue élevé et

l'autre par la focalisation interne. Le lecteur se "moule" dans un personnage. Exemple : À l'Ouest, rien de nouveau, qui nous plonge dans l'univers terrible de la Première Guerre mondiale. Le "je" nous associe aux épreuves que traversent les soldats et nous confronte aux facettes de l'âme humaine, exacerbées par la guerre. 2. Les romanciers du XIXe siècle ont fait de l'alternance des points de vue leur art. Exemple : dans La Peau de chagrin, Balzac enchâsse dans le récit d'un narrateur externe le