Chapitre 8 F1

ces enjeux présentés ci-dessus. Comme toute procédure, la consolidation des comptes dispose des méthodes de son application qui sont, l’intégration globale, l’intégration proportionnel, et la mis en équivalence. 1 Méthodes de consolidation Chapitre 1 : Généralités 1. Définition La consolidation est l’ensemble des principes et techniques mis en œuvre pour établir les comptes consolidés d’un ensemble d’entreprises intégrées à un groupe. « Les comptes consolidés ont pour but de présenter le patrimoine

deux lignes pures diffrant par un caractre (ligne pure individu homozygote pour le gne considr), on observe une homognit phnotypique de la premire gnration (F1). F1 dominance dun caractre par rapport lautre. Proportions phnotypiques observes en F2 3/4 de phnotype dominant 1/4 de phnotype rcessif. Le croisement dindividus htrozygotes de F1 entre eux entrane lapparition d dindividus possdant un phnotype nouveau, qui nexistait pas chez leurs parents cela montre lexistence dun brassage des allles

REWRITED BY CHAPITRE 7 : LOIS DE L’OPTIQUE GEOMETRIQUE I. INTRODUCTION Nous abordons maintenant le dernier domaine de la physique que nous rencontrerons dans cette partie d’année : l’optique, i.e. l’étude de la lumière. Nous nous limiterons à l’approximation de l’optique géométrique, dans laquelle la lumière peut être considérée comme se propageant sous forme de rayon lumineux. Nous en présenterons ici les lois générales, qui nous permettrons dans le prochain chapitre d’étudier la formation

I 55555 Sommaire général Page Introduction ................................................................................................................................ 1 CHAPITRE 1 : Notion de groupe ............................................................................................... 3 CHAPITRE 2 : Champ d'application de la consolidation ........................................................ 7 I. Périmètre de consolidation ................................................

les fonctions r¶eelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 1.3 D¶enombrabilit¶e . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 2 Tribus et applications mesurables 8 2.1 Tribus, espaces mesurables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 2.2 Applications mesurables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 2.3 Structure des fonctions mesurables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14 3 Mesures et int¶egration

. . . Comparaison de portefeuilles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Relation de parité Call-Put . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Prix d’un contrat Forward . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 5 5 6 7 8 11 11 13 14 17 19 19 20 22 23 26 28 31 31 31 31 32 33 35 2 Modèle Binomial à une période 2.1 2.2 2.3 2.4 Modélisation probabiliste du marché . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Stratégie de Portefeuille simple . . . . . . . . . . . . . . . .

Chapitre 5 – Le GEMMA Le GEMMA est le second outil méthode créé par l’AFCET (Association Française pour la Cybernétique Économique et Technique). Le mot GEMMA est l’acronyme de Guide d’Étude des Modes de Marches et d’Arrêts. Le GEMMA envisage les cas de fonctionnement autres que le fonctionnement normal analysé lors des GRAFCET de niveaux 1 et 2. 5.1) Pourquoi le GEMMA Le GEMMA est un guide graphique permettant de sélectionner et de décrire simplement les différents états de marches

Chap. V – Analyses Factorielles 1 Chapitre V ANALYSES FACTORIELLES _____ Définition et propriétés des analyses factorielles : On est en présence d'un tableau de données réelles sous forme de matrice X (n,p) de n lignes et p colonnes. Les n lignes de X représentent un nuage de n points dans un Espace Vectoriel Rp de dimension p. (respectivement, les p colonnes représentent p points dans l'E.V. Rn ) Une représentation graphique de ces points dans cet espace est bien entendu impossible

Chapitre III Les escaliers 1 Chapitre n 3: Les escaliers I. généralités : Mur d'échiffre Ligne de foulée à Emmarchement 0.5 m du collet Contre-marche g h palier Marche p Palier intermédiaire Contre Marche paillass e Mur d'échiffre Collet Palier Palier L Cage d’escaliers n.March Une Volée Palier L v Emmarchement : la longueur de marches ; v g :giron (largeur d’une marche) ; v h : hauteur d’une marche ; v Mur d’échiffre : le mur qui limite l’escalier ; v Paillasse : le plafond qui monte

Lyc´e Faidherbe de Lille e Math Sp´ PC* e Feuille d’exercices du chapitre 3 Ann´e 2002–2003 e 8 9 Applications lin´aires e 1 u ∈ L(E, F ) et v ∈ L(F , E) sont tels que v ◦ u = idE . Prouver que F = Im(u) ⊕ ker(v). Que peut–on dire de u ◦ v ? X PC* 2001 Soit M ∈ Mn (R) avec rg(M) < n ; prouver que M est ´quivalente ` une matrice nilpotente. e a D´terminer les valeurs et vecteurs propres des endomorphismes de e E = Cn [X] : (1) ∆1 (P ) = P (2X + 1) (2) ∆2 (P ) = (X 2 − 1)D(P ) − nXP (3)