Char solaire

Napoléon-le-petit dans de nombreux poèmes (Les Châtiments). Plus récemment, on pense à la Résistance durant la Seconde guerre, qui voit se cristalliser l'opposition de plusieurs poètes (principalement surréalistes) à l'occupant nazi: ce seront René Char (Feuillets d'Hypnos), ou Robert Desnos, mort des suites de la déportation, ou encore Éluard (Liberté, Au rendez-vous Allemand) parmi de nombreux autres. À cet égard, le mouvement formé autour de L'Honneur des poètes (1943) est la preuve a posteriori

parvient à émouvoir. Cette capacité à émouvoir a été très employé dans la poésie engagée par les poètes, tel qu’Agrippa d’Aubigné dans les tragiques, qui se bat pour la liberté de confession dans un contexte de guerre de religion, ou encore René Char, Louis Aragon ou Paul Eluard pendant la seconde guerre mondiale, alors engagée dans la résistance. 

parce que l’absence de contraintes, qu’elles soient rythmiques, métriques ou syntaxiques, nous permet plus aisément d’accéder au monde des rêves. Ces libertés prises sont une porte ouverte à l’évasion, recherchée lors de la lecture d’un poème. René Char ne disait-il pas : « Un poète doit laisser des traces de son passage, non des preuves. Seules les traces font rêver. » J’ai toujours trouvé que quelque chose restait en suspens, comme inachevé, dans un poème en vers libres. C’est cette impression d’inachèvement

participé à des missions militaires. Au sein de leur char d’assaut Sherman, dirigé par le sergent Don Collier, ils se lancent donc en territoire allemand à la conquête de différentes villes. Ils ont également pour but de venir en aide à des confrères prisonniers du territoire ennemi, mettant en péril leurs vies à chaque mètre qu’ils parcourent en territoire adverse. Alors qu’ils sont en plein affrontement contre un bataillon complet de SS, avec un char d’assaut immobile défectueux, les munitions et les

Couplets de la rue Saint-Martin et Ce coeur qui haïssait la guerre... - Jean Cassou : "Bruits lointains de la vie..." - Eugène Guillevic : Bretagne - Joseph Kessel et Maurice Druon : Le chant des partisans - Marianne Cohn : Je trahirai demain - René Char : Feuillets d'Hypnos (extraits) Dossier : "La poésie et la vie - La poésie engagée en question - Poésie anonyme, poésie du passé, poésie engagée" (on y trouve des textes supplémentaires, anonyme ou non, des lettres, des jeux poétiques). Mon avis

et donne l’ordre d’avancer. J’ouvre la trappe du blindage frontal de la tourelle et observe également le champ de tournesols devant nous. Par-dessus les têtes noires et jaunes des tournesols un gros carré avec un tube important se dessine. C’est un char russe KV II avec son canon de 15 cm (15,2 cm en réalité). Dieu quel monstre !! Son tube est dirigé dans l’autre direction en quête d’une cible. Nous roulons directement vers lui, dissimulé par le champ de maïs car nous devons nous approcher le plus

c’est une aventure colossale." Eugène Guillevic (1907-1997) La poesie etant un fantasme fait de notre esprit une avanture sans frontiere. "La poésie est de toutes les eaux claires celle qui s’attarde le moins aux reflets de ses ponts." René Char (1907-1988) par la poesie nous comprenons directement le sens de l'idee.

un legs aux générations suivantes d'artistes ; nombre de ces derniers le considérant comme seulement égalé par Michel-Ange. Comme ingénieur et inventeur, Léonard développe des idées très en avance sur son temps, comme l'avion, l'hélicoptère, le char de combat, le sous-marin et même jusqu'à l'automobile. Très peu de ses projets sont réalisés ou même seulement réalisables de son vivant, mais certaines de ses plus petites inventions comme une machine pour mesurer la limite élastique d'un câble entrent

agitant un fanion blanc, puis annonsa au micro l'abdication sans condition du Pouvoir Public, ajoutant aussitôt qu'il offrait, quant à lui, son loyal concours pour garantir la paix. Mais son sursaut fut vain car, sourd à son`imploration, l'imposant char d'assaut, sans sommation ni ultimatum, rasa jusqu'aux fondations la Tour. Ouant au soi-disant dispositif martial qu'on instaura sous l'instigation d'un grand nigaud à qui la garnison avait imparti tout pouvoir, il fut d'autant plus vain qu'il aggrava

ci-joint). L’année suivante, l’apparition des lance-flammes permet d’atteindre un plus haut degré dans l’horreur. L’aviation, limitée à un simple rôle d’observation en 1914 engage le combat et le bombardement aérien. En 1916 apparaît timidement le char d’assaut qui se généralisera ensuite. Les soldats ont en plus à vivre dans une angoisse permanente de la mort qui peut faucher au hasard à chaque sifflement de balles ou d’obus même au-delà de la première ligne. Les conditions de vie dans les tranchées