Charbonnage

principalement, et quelques Antillais, Africains. Ces immigrants travaillent principalement dans le BTP, les services urbains (nettoiement), et aussi dans les usines (métallurgie, produits chimiques, etc.). - On ne trouve pas les immigrants dans le charbonnage, c’est en effet un autre aspect de la mutation économique, le pétrole, le gaz naturel, l’électricité d’origine hydraulique supplante le charbon. On assiste aussi à une modernité industrielle due à la floraison scientifique et technologiques

première fois en 1945. Ce gouvernement va prendre un certain nombre de mesure importante dans l'immédiat d'après guerre -création de la sécurité sociale -la nationalisation des secteurs EX: Renault,les chemins de fer, la banque de France, le charbonnage de France, gaz et électricité. Cependant, le 20 janvier 1946 De Gaulle démissionne du gouvernement, il est remplacé par un autre président provisoire de gauche Félix Gouin. Il prononce un discours célèbre à Bayeux sur la futur constitution «Il

automobile, aéronautique, la pétrochimie, le transport maritime…) b. structures capitalistes C’est associé aussi aux structures capitalistes. L’exploitation charbonnière peut être associé à des petites entreprises (ex : en France, avant qu’on crée « charbonnage de France », il y avait 3000 entreprises de charbon). Par contre, le pétrole mobilise beaucoup de capitaux (pour l’exploitation, le transport, le raffinage…). La fin du 19e siècle, c’est le Take-Off aux EU donc on y voit se développer le « Big

Deal américain d'avant-guerre : le GPRF procède à la nationalisation de pans entiers de l'économie (parfois au motif de punir les entrepreneurs ayant collaboré tels Renault, mais surtout pour pouvoir piloter le relèvement économique : exemple des Charbonnages de France). Ce plan prime sur les clivages politiques : le patronat ne proteste pas, et le PCF ainsi que la CGT condamnent les grèves. Il s'agit, d'après Maurice Thorez, de "gagner la bataille de la production". La diplomatie française ne ménage

a leurs achats. Cette période est marqué par les nombreuses nationalisations des entreprises française. Ainsi dans le secteur des banques, la société générale et le crédit lyonnais sont nationalisé, dans le secteur de l'énergie, EDF, GDF et charbonnage de France connaissent la même situation. L’état a travers ces nationalisations et les entreprises publiques, devient alors le premier employeur avec plus de 25% des actifs français. L’état est un acteur de cette consommation de masse, garantissant

→ concurrence vive → tentation de faire des cartels pour ajuster l'offre et la demande. Ex : Comptoir de vente dans la sidérurgie constitué à Longwy en 1876, comptoir des essieux en 1892, comptoir des poutrelles et aciers en 1896, comptoir des charbonnages (ou des houillères) du noir : entente entre producteurs pour déterminer le niveau de prix et la quantité produite. Constitution du Comite des Forges à l'échelle nationale au début du XXème siècle, défend les intérêts patronaux en faveur d'une

développer. La guerre à pris des millions de travailleurs européens, le besoin de main d’œuvres est important, afin de relever l’économie et faire tourner une industrie en plein développement. L’industrie sidérurgique, textile, ferroviaire, les charbonnages vont solliciter l’arrivée de travailleurs venus des colonies, les pays d’Europe les plus industrialisés feront appel au pays les moins industrialisés, donnant naissance à une migration intra-européenne qui se prolongera après la seconde guerre

électronique, ont permis à la fois l'industrialisation de régions que la révolution industrielle avait peu touchées (Ouest) et la diversification de l'activité dans le Nord et la Lorraine déjà affectés par les diminutions d'emplois dans la sidérurgie, le charbonnage et le textile. Cette évolution se poursuit aujourd'hui et certaines régions, comme le Nord et la Lorraine connaissent un renouveau grâce à leur position frontalière avantageuse et leur ouverture sur l'Europe attire les investissements nationaux

américain d'avant-guerre : le GPRF procède à la nationalisation de pans entiers de l'économie (parfois au motif de de punir les entrepreneurs ayant collaboré tels Renault, mais surtout pour pouvoir piloter le relèvement économique : exemple des Charbonnages de France). Ce plan prime sur les clivages politiques : le patronat ne proteste pas, et le PCF ainsi que la CGT condamnent les grèves. Il s'agit, d'après Maurice Thorez, de "gagner la bataille de la production". La diplomatie française ne ménage

potentiellement concurrentiel de ces activités, la participation étatique devait y être réduite. Il conviendrait aussi de privatiser les entreprises dans les secteurs où la part de production de l’État est plus importante (banques, assurances, charbonnages et électricité), mais cette opération devra être mise en œuvre progressivement (voir ci-après). Entre-temps, les entreprises publiques devraient être contrôlées par une agence d’investissement publique et non par le ministère qui les finance, de