Charles de Blois

accru puisqu’en décembre 1560, François II meurt des suites d’une maladie et lui succède alors son frère Charles IX, frère qui est encore plus jeune donc se pose le pb de la régence. Pour François II ceux qui vont assurer la régence c’est la famille des Guise, puisque François II est marié avec Marie Stuart. Les Guise sont les oncles de Marie Stuart, celui qui va prendre la régence de Charles IX c’est leur mère Catherine de Médicis.Au sommet du pouvoir il y a des fragilités du pv lié à l’âge et la

L’ƒcole est situƒe dans le centre ville, dans un h…tel particulier joliment restaurƒ. Tours est facilement accessible depuis Paris. La ville est „ moins d’une heure de Paris Montparnasse en TGV. Il existe ƒgalement des trains directs entre Roissy Charles de Gaule et Tours. La Vallƒe de Loire est une rƒgion rƒputƒe pour la beautƒ de ces ch†teaux et de ses paysages. Elle est inscrite au Patrimoine Mondial de l’UNESCO. Avec une ƒquipe pƒdagogique permanente de 20 professeurs, l’Institut de Touraine organise

n'est pas l'homme apte à conserver l'unité. Jusqu'à sa mort, il va lutter contre ses trois premiers fils ( Pépin, Louis, Lothaire), jaloux de leur demi-frère,Charles, fils de sa seconde femme Judith de Bavière. Par ailleurs, le pape Etienne IV gagne de l'indépendance et le lien entre Rome et l'Empire semble rompu. Après la naissance de Charles, un nouveau partage est décidé, celui-ci ne plaît pas aux trois frères qui déposent leur père en 833. Pépin et Louis, regrettant d'avoir donné tous les pouvoirs

et quand ils avaient des filles personne n’imaginait qu’elle deviennent reines, on l’a appelé le « miracle Capessan ». En 1316, pour la première fois le problème se pose, le roi Philipe le bel meurt en 1314 en laissant 3 fils : Louis – Philippe et Charles puis une fille Isabelle surnommée la « Louve » qui était l’épouse du roi Edouard II d’Angleterre. L’ainée des 3 fils, Louis, lui succède normalement sous le nom de Louis X le « Hutin » (batailleur). Cependant, il meurt en 1316, en laissant une fille :

apparait avec un retard important par rapport à l’Italie. Une des raisons est la prolongation de la Guerre de Cent Ans qui se prolonge jusqu’en 1453. La Renaissance est introduite avec un lent mais assuré succès en France, suite à une expédition de Charles VIII en Italie. La Renaissance s’épanouit sous François Ier, substituant ainsi à la littérature scolastique, l’étude et la critique des textes anciens, même ceux de la Bible, à une langue rigide et pauvre, une latinité souple et choisie, et aux fantaisies

Cotterêts), mais il existe dès le XVIe siècle des états civils protestants. 1539: Ordonnance de Villers-Cotterêts (enregistrement des baptêmes) 1579: Ordonnance de Blois (enregistrement des mariages) 1667: Ordonnance de Saint-Germain-en-Laye (copie du registre paroissial au greffe royal) 1736: Déclaration royale (rappel des dispositions de Blois) 1792: état civil -> Pas d’enregistrement des protestants, juifs jusqu’à 1792. Mais ils sont alors peu nombreux. 2) Les rôles fiscaux : rôle de taille,

[pic] Enluminure du XIIIe siècle, (La plus ancienne représentation connue de l'assassinat de Becket) Après les règnes de Guillaume le Roux (1087-1100) et Henri Beauclerc (1100-1135), fils de Guillaume le Conquérant, la venue au pouvoir de Étienne de Blois (1135-1154), neveu de Henri Beauclerc, déclenche une guerre civile. Le Traité de Wallingford (1153) met fin à la guerre en désignant Henri Plantagenêt, comte d'Anjou et petit-fils d'Henri Ier, comme futur roi d'Angleterre. Il devient roi (Henri II

entoure. » (FAIVRE Antoine « Sir Arthur Conan Doyle et les esprits photographiés », http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=ETHN_034_0623) 5 ROBERT-HOUDIN Jean-Eugène, Confidences d'un prestidigitateur, Blois : Lecesne, 1858 ; Confidences et révélations : comment on devient sorcier, Blois : Lecesne, 1868 3 C’est le truc, l’idée visuelle, les trouvailles techniques qui vont guider, voire même « créer » l’histoire, et assez peu l’inverse. Méliès l’expliquera, en 1932, dans un article pour

joyeuse d’étudiant indiscipliné au Quartier Latin. À 24 ans, il tue un prêtre dans une rixe et s’enfuit de Paris. Amnistié, il doit de nouveau s’exiler un an plus tard après le cambriolage du collège de Navarre. Accueilli à la cour de Charles d’Orléans, le prince-poète, à Blois, il échoue à y faire carrière. Il mène alors une vie errante et misérable sur les routes. Emprisonné à Meung-sur-Loire, libéré à l’avènement de Louis XI, il revient à Paris après près de six ans d’absence. De nouveau arrêté dans

français. La suite du parcours est consacrée à l’essor de l’art classique français pendant la seconde moitié du XVIIe siècle. Elle présente de nouveaux modèles picturaux, développés en France par Nicolas Poussin, Laurent de La Hyre, Eustache Le Sueur ou Charles Le Brun, avant d’être adoptés par les artistes des provinces belges et tout particulièrement ceux de Liège, tels que Bertholet Flémal, Gérard de Lairesse… C’est sur cette évocation que s’achève l’exposition, témoignant ainsi du renversement d’influence