Charles de Blois

catholique. Pour la ligue la catholicité prime sur tout. Avant sa mort, Henri III s'était laissé entrainé par des états généraux favorables à la ligue et Henri III avait reconnu la loi fondamentale de catholicité. En 1577, les états généraux établis à Blois avaient établis que la religion catholique n'était point seulement l'ancienne coutume mais la principale et fondamentale loi du royaume. Voila ce que des états généraux en 1577 avaient posés comme règle . En 1588, Le roi de France avait adopté un texte

L’importance  respective  de  la  loi  et  de  la  coutume  dans  les  sources  du   droit  (2)   Texte 1 : Ordonnance de juillet 1312 du roi Philippe le Bel Texte 2 : Ordonnance de Montils-lès-Tours de Charles VII, 1454 Texte 3 : Claude Leprestre, Questions notables de Droit Texte 4 : Montesquieu, De l’Esprit des lois, 1748 Texte 5 : Jean Bodin, De la République, 1576 Texte 6 : L’ordonnance civile de Louis XIV, avril 1667 Texte 7 : Jean-Jacques Rousseau

« l’an mil cinq cent cinquante et deux contre l’empereur Charles et le roi Philippe » (ligne 22/23) après une trêve de six ans. Il s’agit ici de Charles Quint (empereur du Saint Empire Romain Germanique, roi de Castille, d’Aragon, de Naples, de Sicile, duc de Bourgogne, Brabant ect..) et de son fils Philippe II. Ces guerres « ont duré sept années » (ligne 23), en effet elles s’achèvent en 1559 et opposèrent Henry II à « l’empereur Charles » (ligne 23) puis au « roi Philippe II » (ligne 23). Ces

sur piste: 49,431 km. • Plus grand nombre de victoires en une saison : 54. • Plus grand nombre de victoires d'étape au Tour de France : 34. • Plus grand nombre de victoires d'étape en un Tour de France : 8 en 1970 et en 1974 (record partagé avec Charles Pelissier en 1930 et Freddy Maertens en 1976). • Plus grand nombre de jours avec le maillot jaune du Tour de France sur ses épaules : 96. • Il est le seul coureur à avoir gagné le maillot jaune, vert et le classement de la montagne lors du même

droit, des sciences politiques, économiques et de gestion Avenue Doyen Louis Trotabas 06050 Nice Cedex 1 Tél : 04 92 15 70 70 Fax : 04 92 15 71 01 natalie.fricero@unice.fr ORLEANS PARIS I Faculté de droit, d’économie et de gestion Rue de Blois BP 6739 45067 Orléans Cedex 2 Tél : 02 38 49 49 42 Fax : 02 38 41 72 10 laurence.collet-askri@univ-orleans.fr jocelyne.bourgeois@univ-orleans.fr I.E.J « Jean Domat» Université Paris I 12, place du Panthéon 75231 Paris Cedex 5 Tél : 01 44 07 77 89 et

les masses dans l’Histoire. Ils cherchent des sources. Les historiens allemands inventent une méthode pour critiquer les sources : Von Rauke. * Les principaux historiens Augustin Thierry : (1795-1856). Il est né à Blois. Il vient d’une famille modeste, va au lycée de Blois. En 1814, il devient le secrétaire particulier de St Simon. Visionnaire qui réfléchit au progrès de l’industrie sur la société. C’est chez cet homme que Thierry découvre sa vocation d’historien. Il lit « les martyres »

quelques provinces. (415: coutumes d'Anjou ou du Mans, 417: Poitou..) Les grands seigneurs agissent individuellement, il n'y a pas de plan d'ensemble. Il intervient lors de la deuxième période 1.2 L'ordonnance de MONTILS LES TOURS (§2) promulguée par Charles VII en 454. L'article 35 de l'ordonnance prescrit la rédaction de toutes les coutumes. En 454 on est au lendemain de la guerre de cent ans. LE roi peut se livrer aux affaires intérieures et la royauté va se pencher sur la rédaction des coutumes.

cette conviction qu’en 1901, M. Waldeck-Rousseau instaure une loi sur les associations, qui exige une autorisation donnée par le parlement pour toute congrégation religieuse déjà installée, ou pour toute nouvelle congrégation qui voudrait se créer. Charles Maurras, un des fidèles membres de l’Action Française, considère cette mesure comme une volonté de tuer toute congrégation, qui seront toutes « dissoutes, ou liquidées ». Cette citation révèle l’état d’esprit d’une frange de l’Eglise catholique en

surnommée la dixième des muses. Sa vie L’enfance Princesse de la première branche d'Orléans de la dynastie capétienne, elle est née le 11 avril 1492 à Angoulême. Fille de Charles d'Orléans, duc d'Angoulême (1459-1496) et de Louise de Savoie, elle est l'aînée de deux ans du futur roi de France François Ier. Charles, son père, est en disgrâce sur son domaine après 1487 (« Ligue des Princes »). Il partagera sa vie entre les plaisirs de seigneur et ceux de lettré. Sa mère, Louise, est toute attention

soucieux de l’avenir de sa Maison, se maria deux fois et eut huit enfants. De son second mariage avec Elisabeth Charlotte, princesse palatine, Madame, il eut Philippe, deuxième duc d’Orléans, futur Régent de 1715, qui fut marié à Mademoiselle de Blois fille légitimée de son oncle Louis XIV.Les princes de Sang, les Conti, les Condé, descendent de mâle en mâle, par légitime mariage d’un roi de France et sont aptes à succéder. Mais il faut aussi être reconnu par le roi et certains, cousins trop