Charles de Galles

l’Entente (défaite allemande) 24 oct 1918 : victoire de Vittorio-Veneto par les Italiens 11 nov 1918 : armistice Franco-allemande II. L’Expérience combattante Echec des Allemands à Verdun (fév–déc 1916) et échec des Français au chemin des dames (Gal Nivelle). Les britanniques essuient de lourdes pertes dans la bataille de la Somme (juil-nov 1916) Civils : bombardements, rationnements, épidémies (grippe espagnole 1918), massacre des populations (génocide arménien) Génocide : destruction physique

individus qui essayent de faire une sté plus juste. Rousseau : si la po doit se déf à partir de la recherche du juste, en plus ces volonté ind st susceptible de former une volonté générale, l’intérêt galobjectif. Critique marxiste : l’intérêt n’est pas gal, il n’est que l’intérêt des couches dominantes, du capital. (les 99%, occuping wall street) Les fins peuvent être multiples. A partir de critères matériels, approche sociologique. Quels st les moyens spécifiques, indispensable à la Po pr exécrer

SERVOLEX CFAI de Savoie adresse n°140 74 ANNECY Chambre de commerce et d’industrie (antenne CFA IMT) - adresse n°154 26 VALENCE Lycée Barthélémy-de-Laffemas adresse n°42 38 GRENOBLE Lycée Louise-Michel adresse n°78 38 VIENNE Lycée de Vienne-St-Romainen-Gal - adresse n°112 73 ALBERTVILLE Lycée Jean-Moulin adresse n°129 73 LA RAVOIRE Lycée du Granier adresse n°143 74 ANNECY Lycée Gabriel-Fauré adresse n°162 74 ANNEMASSE Lycée des Glières adresse n°167 Privé sous contrat 73 LA RAVOIRE Lycée du Granier

Charles Gide Professeur d’Économie sociale à la Faculté de Droit de l’Université de Paris (1919) Cours d’Économie politique Tome I (Livre premier) Un document produit en version numérique par Mme Marcelle Bergeron, bénévole Professeure à la retraite de l’École Dominique-Racine de Chicoutimi, Québec et collaboratrice bénévole Courriel : mailto:mabergeron@videotron.ca Dans le cadre de la collection : "Les classiques des sciences sociales" dirigée et fondée par Jean-Marie Tremblay, professeur

Repos 36, Rue du Docteur Roux 15 Rue Châtelaine 5 Rue BUIS 8 Rue Victor Hugo 35 Rue du Général Leclerc 32 Cité Kirgener 2 Rue des Vertus 10 Rue du Château 8, Rue Enleval Adresse 2 886 Rue de la Correrie 94, Allée de Pénard 2 Rue Alphonse Mas 42, rue Charles Robin Chazelles E 6 Allée des Tilleuls Porteau Richy Chevalier 464 rue du Pré de l'étang Le Champ de la Forêt 191 Route de Mâcon 67 rue des Nallins Les Petits Bois 40, Lotissement de la Gare Chemin du Gardon 231 rue St Pierre 243, rue des Marais 35

politique, peut accepter certains types de revendications s’inscrivant dans l’état unitaire. Le Royaume-Uni est un état unitaire. Depuis début XVIII°, plusieurs entités sont reliées à la Couronne, Ecosse ou Pays de Galles. A partir du moment où l’on a attaché l’Ecosse et le Pays de Galles, on a reconnu une place particulière au sein du Parlement pour les députés écossais ou gallois. En 97, référendum organisé sur la dévolution de compétences législatives au parlement écossais. La population écossaise

quelquefois persécutés sous Charles II, non pour leur religion mais pour ne vouloir pas payer les dîmes au clergé, pour tutoyer les magistrats, et refuser de prêter les serments prescrits par la Loi. Enfin Robert Barclay, Ecossais, présenta au roi, en 1675, son Apologie des quakers, ouvrage aussi bon qu'il pouvait l'être. L'épître dédicatoire à Charles II contient, non de basses flatteries, mais des vérités hardies et des conseils justes. "Tu as goûté, dit-il à Charles à la fin de cette épître, de

» Poussé à l’extrême, ce procédé aboutit à la création de vers entièrement équivoques : ce sont les vers holorimes, ce qui signifie « tout en rime », qui font entendre à leur lecture le même son, alors que les mots et donc les sens diffèrent : « Gal, amant de la reine, alla, tour magnanime, Galamment de l’arène à la tour Magne, à Nîmes » (Victor Hugo) « Dans ces meubles laqués, rideaux et dais moroses, Danse, aime, bleu laquais, ris d’oser des mots roses » (Louis Aragon) Ces jeux

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 126 Jean Le Rond d’Alembert, 1717-1783. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 126 Charles Jean Gustave Nicolas baron de la Vall´e Poussin, 1866-1962. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 126 e Leonhard Euler, 1707-1783. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

entre les entreprises. L'idée d'une législation internationale du travail remonte au XIX ème siècle[3]. La première mention à l'opportunité d'une législation internationale, en la matière, apparaît en Angleterre sur initiative d'un industriel de Galles, Robert Owen. Ce dernier avait, entre plusieurs difficultés et en suscitant des critiques multiples, cherché d'introduire des améliorations des conditions de travail dans ses fabriques, en réduisant, en particulier, le nombre d'heures de travail,