Chasse de nuit

suivants : « Cors de chasse. », de Guillaume Apollinaire « Marie », de Guillaume Apollinaire « La tzigane», de Guillaume Apollinaire « Le pont Mirabeau », de Guillaume Apollinaire J’ai choisi ce thème car je trouve qu’il est toujours d’actualité. Toutes les histoire qui s’achèvent se ressemblent et se répètent. L’on peut facilement s’identifier dans ces poèmes ce qui rend la lecture plus intéressant et nous permet d’associer ces poèmes à des souvenirs. « Cors de chasse » est un poème lyrique

Sur un train à destination de l’Afrique, des hommes parlent de la peur en regardant la mer. Le capitaine, au visage marqué par les événements de la vie, nie qu’aucun passager ait connue la peur comme lui l’a connue une nuit de décembre il y a dix ans. Dans le désert près d’Ouargla, ils étaient 8 spahis et quatre chameliers. Ils gravissaient des dunes, les redescendaient, quand soudain ils entendent un tambour. Son ami tombe à ce moment précis, victime d’une insolation, et pendant qu’il essaie en

thèmes : donc il y a la campagne, la chasse, et enfin la noce… Est-ce typique de votre Normandie natale ? 4) Comment décririez-vous le personnage de Jean Patu, qui, je le rappelle, est le héros principal de ce récit ? 5) Pour finir et pour donner à nos chers spectateurs un aperçu de cette histoire, je vais lire un extrait, qui, personnellement, ma beaucoup plu, car il est à la fois drôle et tragique. (« Elle attendit une heure…qui va à la chasse perd sa place » (lignes 159 à 168

elle a été infidèle à son mari. Mariée depuis un an à Hervé de Ker…, un homme qu’elle n’aime pas, elle habite dans le triste château familial de son mari au milieu d’un pays désert. Un soir, son mari la convie à une chasse nocturne au renard. Soudain, un homme apparaît dans la nuit; son mari le tue, prend sa femme, la soulève et la jette sur le cadavre de l’homme : il pensait que c’était son amant qui venait la rejoindre. Paquita, la bonne, arrive en courant et se jette sur Hervé : c’est son amant

Vers la fin de l’année 1834, un samedi soir (plusieurs analepses) Milieu de septembre (31) Fin de la nuit (scène) , (sept . 31) et le lendemain (scène) (sept.31) Même jour que le chapitre précédent dans la matinée (courte scène) Nuit (scène) p.62 (sept.31) Même nuit que le chapitre précédent (scène) p.69-70 (sept . 31) Commentaire (pause) p.70-71 Réveil (scène) p.71-74 Commentaire (pause) p.74-75 Nuit en bateau (scène) p.75-78 « lendemain soir », « 6 heures après » (ellipses) p.78 Occupation d’Alfred

de Saint-Julien…etc. L’atmosphère est donc plus près du rêve que du monde réel, offrant un air avec des couleurs plus intenses et des sensations plus fortes que celles de la vie réelle. Ce conte représente le Moyen-Âge, ses seigneurs passionnés de chasse et ses lépreux. Dès lors, on ne peut qu’appuyer Samuel S. de Sacy lorsque qu’il qualifie Flaubert d’amateur de fable et de surnaturel en parlant de Saint-Julien l’hospitalier. 1.3 Hérodias Pour ce dernier conte, Flaubert se voit attribuer les

parfois, après des parties de chasse, le baron de C… dont les visites au château devinrent par la suite de plus en plus fréquentes. Un soir, le comte proposa à sa femme de passer trois heures à l’affût, pour tuer un renard qui mangeait ses poules. Ils guettèrent dans la nuit. Soudain, une ombre se déplaça entre les arbres. Le comte fit feu : un homme s’écroula. C’était le baron de C… Jaloux, le comte avait cru tuer l’amant de sa femme. Mais bientôt une forme s’élança, terrassa le comte et se jeta

Une Nuit pleine de PassionLors de ma jeunesse, j’ai eu la chance de connaître mon arrière-grand-père. Ce fut un homme silencieux, mais qui inspirait de l’antipathie chez l’enfant que j’étais. La cicatrice sur son visage et son manque de tendresse envers le monde entier m’effrayaient. Mes parents insistaient que ses comportements étranges et sa froideur étaient dus à la Grande Guerre et qu’il n'est pas un homme dangereux. Ces mots ne me réconfortaient guère, et je continuais à éviter le regard du

GUY DE MAUPASSANT (1850 - 1893) LA MAIN (La Main a paru dans le Gaulois du 23 décembre 1883 puis dans Les Contes du Jour et de la Nuit en 1885) <!-- athena texte --> On faisait cercle autour de M. Bermutier, juge d'instruction qui donnait son avis sur l'affaire mystérieuse de Saint-Cloud. Depuis un mois, cet inexplicable crime affolait Paris. Personne n'y comprenait rien. M. Bermutier, debout, le dos à la cheminée, parlait, assemblait les preuves, discutait les diverses opinions, mais

Une journée de Louis XIV Les matinées du Roi 7h30-8h " Sire, voilà l'heure", le Premier valet de chambre, qui a passé la nuit au pied du lit du roi, éveille le Roi. Le Petit Lever commence. Le médecin venait alors pour voir si la santé du roi était favorable. Les familiers et quelques favoris qui jouissent des Grandes Entrées pénètrent successivement dans la chambre du Roi qui est lavé, peigné et rasé (un jour sur deux). Le barbier achevait de le peigner et de lui ajuster sa perruque du lever