Châtillon-Coligny

mais le conseil de révision ajourna sa demande car il n'a pas la nationalité française. Sa seconde demande en décembre 1914 fut acceptée, ce qui déclenche sa procédure de naturalisation[6]. Peu avant de s'engager, il tomba amoureux de Louise de Coligny-Châtillon, rencontrée à Nice en septembre 1914, qu'il surnomme Lou. Elle était divorcée et mènait une vie très libre. Guillaume Apollinaire s'épris d'elle et lui fit la cour. Elle finit par accepter ses avances mais ne lui dissimula pas son attachement

tenta de s'engager dans l'armée française en août 1914, mais le conseil de révision refusa sa demande car il n'avait pas la nationalité française puis sa seconde demande fut acceptée. Avant de s'engager, il tomba sous le charme de Louise de Coligny-Châtillon, qu'il surnomma « Lou ». Rapidement, Guillaume dut partir au front. Mais la jeune femme ne l'aimera jamais, pas comme Apollinaire l'aurait voulu, ils se séparèrent en mars 1915 en se promettant de rester amis. Plus tard sur le front il fut blessé

choisis sont également tirés du recueil intitulé Poèmes à Lou, une œuvre publiée en 1915. « Je pense à toi », « Ma Lou », « Adieu », « Il y a » et « Poème XXXIII »  d'Apollinaire sont des poèmes écrits suite à sa rencontre avec Lou ( Louise de Coligny de Châtillon ), lors d'un voyage et qui a précédé une passion tumultueuse ente eux. Le recueil contient notamment des lettres qu'Apollinaire lui a écrites mais aussi des poèmes qu'il lui dédicace. Étudions les différentes représentations de l'amour

conseil de révision ajourna sa demande car il n'avait pas la nationalité française. Sa seconde demande en décembre 1914 fut acceptée, ce qui déclencha sa procédure de naturalisation[6]. Peu avant de s'engager, il tomba amoureux de Louise de Coligny-Châtillon, rencontrée à Nice en septembre 1914, qu'il surnomma Lou. Elle était divorcée et menait une vie très libre. Guillaume Apollinaire s'éprit d'elle et lui fit la cour. Elle finit par accepter ses avances mais ne lui dissimula pas son attachement

critique d'art. En septembre 1911, accusé de complicité de vol parce qu'une de ses relations avait dérobé des statuettes au Louvre, il fut emprisonné, cette expérience le marqua. Peu avant de s'engager dans l'armée, il tomba amoureux de Louise de Coligny-Châtillon, rencontrée en septembre 1914, qu'il surnomma Lou. Elle était divorcée et menait une vie très libre. Il la courtisa et elle finit par accepter ses avances mais ne lui dissimula pas son attachement pour un autre homme. Rapidement, Guillaume dut

l'un des poètes français les plus importants du début du XXe siècle. L’œuvre d’Apollinaire que nous étudierons dans ce commentaire s’intitule « Train militaire ». C’est l’un des poèmes qu’il a écrit durant la guerre à son amante Louise de Coligny-Châtillon, plus connue sous le nom de « Lou » dans son ouvrage « Poèmes à Lou », où sont regroupées toutes les lettres écrites à sa muse. Dans les tranchées il idéalise cette femme qu’il aime, lui écrit tous les jours des lettres et des poèmes… L’amour

En 1914, au début de la guerre, il fait une demande en tant que citoyen russe pour être incorporé dans l'armée française. Il sera finalement envoyé au front en tant que brigadier en décembre 1914. Entre temps il est tombé amoureux de Louise Coligny-Chatillon pour qui il écrira les poèmes à Lou. Mais la jeune femme rompt rapidement la liaison. En 1915 paraît le poète assassiné. Au cours d'un voyage en train, Guillaume rencontre Madeleine Pagès avec qui il se fiance. Blessé gravement à la tête en 1916

complicité de vol de statuettes au Louvre ; il fut emprisonné une semaine à la prison de « La Santé ». Cette expérience le marqua et l'inspira dans la publication d' « Alcools ».Mais Guillaume dut partir au front, tombant amoureux de Louise de Coligny-Chatillon ; correspondances de lettres d'amour, publiées plus tard « ombre de mon amour de poèmes à Lou. Ils rompirent en 1915, puis fit la connaissance de Madeleine Pagés. Après plusieurs demandes, il fut naturalisé français le 9 mars 1916 sous le nom

des statuettes au Louvre, il fut emprisonné durant une semaine à la prison de la Santé; cette expérience le marqua. En 1913 il publiât Alcools. Un an après il sera affecté dans l'artillerie, mais entre temps, il tombe amoureux de Louise de Coligny-Chatillon surnommée Lou. Lorsqu'il dut partir au front, il entretiendra avec elle, une correspondance, d'une poésie remarquable, mais de nouveau cette histoire se termina rapidement. En 1918, publication d'un recueil de poèmes; Calligrammes (terme de

1915, Guillaume Apollinaire, après s'être fait naturalisé, est parti au front. "Poèmes à Lou" est un recueil dans lequel se trouve une partie de la correspondance que l'auteur eu avec Louise de Coligny-Chatillon. Celle qu'il appelait encore avec tendresse, et amour, "Mon Lou" était pourtant son ancienne maitresse. Leur rupture avait précédé son départ pour le front. Ainsi, lorsqu'il ne parle pas de son retour, il évoque la Mort, qu'il cotoie chaque jour. Le poème est-il une preuve d'amour, une