Chefferie

le pouvoir est représenté ponctuellement par quelques personnalités reconnues pour leurs qualités morales ou leurs attributs matériels. Toutefois, cette dignité demeure individuelle, et n'est pas transmissible héréditairement. 4. Les sociétés à chefferies. Quelques individus exercent un pouvoir incontestable et héréditaire, dont l'étendue reste cependant variable. L'existence de sociétés sans États reste néanmoins sujette à caution. DEFINITION DES TERMINOLOGIES INTELLECTUEL ET POLITIQUE 1) intellectuel

en ville. a-Sur le plan moral. Nombreux sont les cas d’exploitations morales de nos compatriotes à l’étranger et en l’occurrence Tinga.Celui-ci pour des raisons de chefferie dû travailler comme une bête de somme. Non seulement, il attendait en fin de journée de l’argent plus que les autres, mais psychologiquement était envouté par la proposition du commis-pointeur ; pour qui ; celui qui travail bien aujourd’hui commandera

· Le cas du Japon : fermeture du Japon shogunal des TOKUGAWA ( 1603 , lois du Sakoku )) et persécutions des chrétiens ( 1635 ).  · Les États indiens (Chefferies, confédérations) en Amérique du Nord résistent et expulsent les expéditions des conquistadores. Ex. Hernando DE SOTO ( 1539 - 1542 ) et CORONADO ( 1540-1542 ).  · Les

habitée par des ethnies diverses, Diolas, Peuls, Baïnouks,Manjaques, Balantes, et par d'autres groupes mandingues : Sossés, Soninkés. Les bainouks étaient les rois de ce territoire avant l'instauration du Gabou, ils avaient constitué de puissantes chefferies, qui formaient un vaste royaume, dirigé par un roi. Plus tard le royaume bainouk et ses provinces, devinrent vassaux du Kaabu. Celui-ci s'étendait des régions du sud du fleuve Gambie – aujourd'hui la Casamance –, jusqu'au nord de l'actuelle Guinée-Bissau

été observée depuis le début des années soixante. Ainsi le Décret intérimaire du 25 décembre 1959 portant sur l’organisation politique du Rwanda-Urundi transforma les centres extra-coutumiers, les circonscriptions urbaines ainsi que les sous-chefferies agrandies en communes provisoires7. Par la suite l’ordonnance n°221/304 du 31.10.1960 organisa les élections communales dont n’a pas tardé à structurer l’organisation/fonctionnement l’ordonnance-loi n°02/43 du 3 février 19618. Ces communes étaient

prise en charge de la coercition par des « élites » autochtones elles-mêmes. Il fut décidé pour cela de réorganiser le système traditionnel des chefferies en créant un échelon intermédiaire entre la chefferie de village (premier maillon du commandement indigène) et la subdivision (premier maillon administratif, généralement dirigé par un Européen) : la « chefferie supérieure ». Ce niveau intermédiaire qui regroupait plusieurs villages sur des bases claniques, géographiques ou lignagères permettait à la

cité par KABUYA LUMUNA, en parle ainsi en 1947 : « Actuellement le chef NDEZE et les grands notables du Bwisha sont d’accord pour céder des bonnes terres à leurs frères de race. » Quant à la chefferie de Gishari, le gouverneur de la province du Kivu, M. LIESNARD s’interroge et assure : « La création de la chefferie de Gishari a été une erreur politique. »(2) Ainsi, SEKIMONYO W.M., dans son explication de la recrudescence de la violence au Nord-Kivu, prouve que : « la lutte pour l’autochtonie et le pouvoir

plus, ce retour aux sources lui permet de connaitre l’histoire, son histoire et celle de la gloire de la lignée des Doumbouya, une dynastie autrefois riche et respectée. C’est dommage que les indépendances changent la donne et mirent un terme à la chefferie d’antan et à tous les privilèges dont jouissait ce peuple. Devant une telle situation, conscient que sa place était parmi les siens, Fama décida de rentrer en République des Ebènes afin d’annoncer à Salimata, ainsi qu’à ses propres amis son désir

en Afrique Les systèmes traditionnels africains sont divers. Ils sont différents selon leur géographie, leur position sur le continent, les religions ou les croyances. Certains peuples sont régis par des monarchies sacrées et d’autre par des chefferies tribales. Pendant des siècles, les africains ont vécu sous les régimes des coutumes transmises par les anciens. L’obéissance était spontanée et le respect des traditions des anciens allait de soi. Les puissances traditionnelles et nombreuses croyances

est indiquée par le nombre de monument mégalithique pendant cette période ainsi que par des traces d'agriculture, de bassins d'irrigation et de traditions d'artisanat6. À la fin de la période védique, vers le Ve siècle av. J.C., les petites chefferies des plaines du Gange et du nord-ouest se consolident autour de seize oligarchies et monarchies importantes connues comme les Mahâ-Janapadas6. L'émergence de l'urbanisation et des orthodoxies religieuses pendant cette période est à l'origine des