Chemin d'accès

29 7EK CTPA01 1 Devoir 1 (é crit ) Entraî nement aux é preuves de l’examen Partie 1 Exemple de compte- rendu é crit en franç ais Le document proposé « El eje euromediterr á neo » est un article tir é de Cambios 16 du 24/05/2010 dont le th è me est l’axe ferroviaire europé en du train à grande vitesse. En effet, dans le but d’unir les pays du nord de l’Europe et ceux du sud (voire d’Afrique du Nord), il est question d’effectuer un tracé reliant

droite et calculer le temps du plus long des chemins menant du début du projet à cette tâche. S'il y a plusieurs sous-chemins, on effectue le même calcul pour chacun et on choisit la date la plus grande. Pour déterminer la date au plus tard d'une tâche, il faut parcourir le diagramme de droite à gauche, et soustraire de la date au plus tard de la tâche suivante la durée de la tâche dont on calcule la date au plus tard. S'il y a plusieurs sous-chemins, on effectue le même calcul pour chacun et on

mondiale a basculé vers l’Asie. Questions 1 à 6 page 203 : 1) Les marchandises importées par Rotterdam sont acheminées vers de nombreux pays d’Europe. 2) Pour ces échanges commerciaux, on utilise la voie maritime, les canaux, le chemin de fer, la route et les oléoducs. 3) Rotterdam est aussi un port d’exportation pour les productions européennes, transportées dans des porte-conteneurs. Les conteneurs représentent 62 % de ce qui sort du port de Rotterdam (doc. 3 p. 200) 4)

y eut une certaine rumeur le disant violent avec une domestique qui,par la suite, a été retrouvée décédée. Le vieil homme était membre du Conseil d'Administration à la Compagnie de L'Ouest ; il a donc été découvert égorgé proche de la voie 153 du chemin de fer à la sortie du tunnel de Malaunay par deux messieurs :l'un, Jacques Lantier, est mécanicien . Il a pour mission de conduire les « bêtes » de la gare. L'autre homme est Monsieur Misard, un garde barrière marié à la tante de Monsieur Lantier

trop téméraire en disant que nous avons réussi à en éclaircir le plus grand nombre. Alphonse Daudet était né à Nîmes le 3 mai 1840. Il y demeura jusqu'au moment où les mauvaises affaires de son père qui possédait une fabrique de foulards, au chemin d'Avignon, là où est maintenant le monastère des Carmélites, obligèrent celui-ci et sa famille â s'installer à Lyon. On mit tout d'abord le jeune Alphonse dans une manécanterie, mais bientôt l'ancien recteur de l'Académie de Nimes. M. Nicot

 Le principe de la division des tons (l'obtention d'un ton vert résulte du voisinage d'un bleu et d'un jaune) est à la base même de la technique impressionniste ; dès lors, la touche joue pleinement son rôle d'instrument destiné à dissoudre les formes dans l'atmosphère. Les grandes nouveautés de l'impressionnisme résident dans la pratique du plein air, dans la traduction des aspects fugitifs de la nature, notamment de la lumière. Ce sont d'ailleurs les aspects les plus éphémères, les plus fugaces

l'administration du chemin de fer d'Orléans. Pour Thérèse, commencent trois années de vie monotone, ponctuées tous les jeudis soir par la visite des mêmes invités : le vieux Michaud, commissaire de police retraité et ami de Madame Raquin, son fils Olivier, également dans la police, sa femme Suzanne et Grivet, patron de Camille : Ils prennent le thé en jouant aux dominos. Thérèse déteste ces soirées. Un soir, Camille amène un nouvel invité, Laurent, qui s'est résigné à travailler dans les chemins de fer après

impliquer. Cette nouvelle donne est en fait à rapprocher du contexte économique actuel tel que la compétitivité, le besoin de flexibilité au nom d’une souplesse d’adaptation aux aléas, et la maîtrise des coûts. En effet, l’O.N.C.F. « office national de chemin de fer » mène des actions vigoureuses sur les plans commercial, organisationnel et technique en vue d'améliorer la qualité de ses prestations, parfaire ses méthodes de gestion consolider sa position dans le marché national des transports et par voie

pèlerins empruntaient normalement la route. En vérité, il s'agissait de chemins de terre, non empierrées, mais fort nombreux: exactement aussi nombreux que les canaux, car le déblai occasionné par le creusement d'un canal n'était pas répandu sur le sol, mais au contraire intentionnellement accumulé, le long de la tranchée, en une sorte de « levée » qui, dans les meilleurs cas, jouissait du privilège de n'être jamais submergée. Ces « chemins-digues » servaient en outre au halage des barques, au déplace ment

les fronts ennemis. B – La fatigue des peuples En 1917, la lassitude de la guerre provoque une grave crise morale. Sur le front, les désertions et les mutineries se multiplient, tout particulièrement après des tentatives de percées meurtrières (Le chemin des Dames – avril 1917). Les soldats réclament une amélioration de leurs conditions de vie et la fin des offensives sanglante et meurtrières. Les ouvriers se mettent en grève contre la vie chère et les difficultés de ravitaillement. Mutinerie : une