Cher Frère Blanc

Antigone – Jean Anouilh Antigone parle d’une voix douce O mon frère ! Ton corps est si blanc et si torturé. Et moi, pourquoi suis-je ici ? Pourquoi suis-je venue alors que des gardes de Créon font leur ronde ? Je dois être folle, mais je ne peux te laisser ainsi pourrir. On ne distingue même plus ton visage plongé dans la nuit. Cette nuit si triste et froide. Je voulais t’ensevelir

 Poème à mon frère blanc Cher Frère Blanc Quand je suis né, j'étais noir,  Quand j'ai grandi, j'étais noir,  Quand je suis au soleil, je suis noir,  Quand je suis malade, je suis noir,  Quand je mourrai, je serai noir.  Tandis que toi, homme blanc,  Quand tu es né, tu étais rose,  Quand tu as grandi, tu étais blanc,  Quand tu vas au soleil, tu es rouge,  Quand tu as froid, tu es bleu,  Quand tu as peur, tu es vert,  Quand tu es malade, tu es jaune,  Quand tu mourras, tu seras

les uns contre les autres, tout en noir, achevant les vieux vêtements du deuil de leur père. Elle, chétive pour ses vingt ans, l’air pauvre, portait un léger paquet ; tandis que, de l’autre côté, le petit frère, âgé de cinq ans, se pendait à son bras, et que, derrière son épaule, le grand frère, dont les seize ans superbes florissaient, était debout, les mains ballantes. » … Page 43. * « D’abord, elle eut à surmonter les terribles fatigues du rayon. Les paquets de vêtements lui cassaient les

l’affiche, deux enfants sur la plage construisent une tombe de sable à la place du traditionnel château. Ils semblent s’amuser, inconscients, avec des jouets appropriés (râteaux, seaux, pelles, arrosoirs, …). Il est aisé de penser qu’ils pourraient être frère et sœur. Vêtus d’un maillot de bain et bien bronzés, ces enfants semblent tout à fait heureux d’être là et ont probablement des parents qui prennent soin d’eux et leur offrent d’agréables vacances au bord de la mer. * L’argument de peur : il est

travers les bancs de sable à l'embouchure du grand fleuve. Sur l'eau profonde, l'eau sans limites, plus sombre que le ciel, les étoiles semblaient être tombés ici et là. Ils brillaient dans la brume nocturne, petites, à proximité du rivage ou de loin, blanc, rouge et vert, trop. La plupart d'entre eux étaient immobiles; certains, cependant, semblait être scudding partir. Ce sont les feux des navires à l'ancre ou de se déplacer à la recherche d'amarrages. Juste à ce moment la lune se leva derrière la

Comme tous les soirs, à l’heure du couché, mes parents, Mohamed et Sana, nous récitent la prière. Mon frère jumeau et moi sommes installés confortablement dans nos lits respectifs prêts à tomber dans un sommeil profond. C’est une soirée plutôt banale dans notre ville qu’on appelle plus précisément Gaza. J’entends comme d’habitude quelque coup de feu et les sifflements aigus des drones israéliens qui survolent la région. Au fil du temps j’ai appris à m’habituer à cet environnement de guerre, donc

trois colonnes : La sagesse, la force et la beauté. Je comparerai ces trois piliers dans leur formulation, aux qualités requises pour bâtir une cathédrale. Mais le quatrième angle au nord-est est vide, démuni de colonne !? Au premier degré dans notre cher rituel, rien n’est dit à ce sujet. Mais j’ai vite remarqué que rien n’est laissé au hasard en Franc-maçonnerie. Encore une énigme, un symbole invisible. Dur dur d’être apprenti ; mais pourrai-je être ce quatrième pilier capable d’utiliser ces trois

scène, se levèrent et applaudirent... > > • Cher frère blanc, • Quand je suis né, j'étais noir, • Quand j'ai grandi, j'étais noir, • Quand je vais au soleil, je suis noir, • Quand j'ai peur, je suis noir, • Quand je suis malade, je suis noir... • Quand je mourrai, je serai noir.... > Tandis que toi, homme blanc.... > > > • Quand tu es né tu étais rose, > • Quand tu as grandi, tu étais blanc, • Quand tu vas au soleil, tu es rouge, • Quand tu

Mon très cher frère instructeur m’a donné le plaisir de choisir le sujet de mon travail d’apprentie. Lors de mon exercice sur le pavé Mosaïque j’ai eu le plaisir de découvrir un outil maçonnique qui m’a interpellé depuis mon arrivé en loge, qui est le fil à plomb. C'est un outil de contrôle qui permet de vérifier si le travail accompli est conforme et s'il peut être poursuivi. Le fil à plomb donne la verticalité au Frère lui permettant de savoir si son ouvrage respecte les règles de l'Art

Document B – Max Jacob, Le Cornet à dés, Deuxième partie, « Petit poème », 1917. Document C – Joë Bousquet, La Connaissance du Soir, « Pensefables et Dansemuses », « A cette ronde d’enfants... », 1947. Document D – Vincent Van Gogh, Lettres à son frère Théo, 1873-1890. 13FRTEME1 2/7 Document A – Théophile Gautier, Émaux et Camées1. LA BONNE SOIRÉE 5 10 15 20 25 30 Quel temps de chien ! — il pleut, il neige ; Les cochers, transis2 sur leur siège, Ont le nez bleu.