Chevaliers de la Foi

histoire d’un chevalier mystérieux qui fait n’importe quoi pour s’unir avec son amour. Lancelot ou le Chevalier de la Charrette est un roman écrit en douzième siècle par de Troyes (et Godefroi de Lagny) pour démontrer les valeurs de prouesse, de courage et de persistance. Chrétien de Troyes mélange les émotions pathétiques pour l’amour courtois avec les scènes d’actions fascinantes pour créer le héros, Lancelot, le Chevalier de la Charrette. Lancelot a les caractères typiques des chevaliers, mais il

pour assurer la sécurité des pèlerins en Terre Sainte, le procès qui mènera en 1312 à sa dissolution soulève de nombreuses questions, religieuses mais aussi politiques. La source que nous allons étudier est le procès-verbal de Raymond de la Fare, chevalier de l'ordre du Temple. Il est l'un des 138 procès-verbaux rédigés lors de l'interrogatoire des Templiers qui eut lieu à Paris entre le 19 octobre et le 24 novembre 1307, sous l'autorité du grand Inquisiteur de France, Guillaume de Paris. En sa qualité

--------------------------------------------------------------------------- RESUME DU RECIT - 1ERE PARTIE A la mort de ses parents Rivalen et Blanchefleur, Tristan est adopté par le maréchal de son père Rohalt Le Foi-Tenant. Ce dernier le confie à son écuyer Gorvenal afin qu'il éduque le jeune homme et lui enseigne ce qu'un chevalier doit savoir. Plus tard, Tristan est enlevé par des marchands norvégiens qui décident, suite au déchainement de la mer, de l'abandonner sur une barque en pleine mer. Arrivé en Cornouailles

serait-ce qu'un petit bout. Détachant le cou doucement, elle le mange avec délices ; elle s'en pourlèche les doigts. «Hélas ! dit-elle, que ferai-je? Que dire, si je mange tout ? Mais pourrais-je laisser le reste ? J'en ai une si grande envie ! Ma foi, advienne que pourra; il faut que je la mange toute. » L'attente dura si longtemps que la dame se rassasia. Mais voici venir le vilain ; il pousse la porte et s'écrie : « Dis, les perdrix sont-elles cuites ? — Sire, fait-elle, tout va mal, car

valeur la liberté   de la  pensée  philosophique,  contre l’enfermement de la foi et de la religion. Pourquoi? Car la recherche de la vérité n’implique pas d’acte d’adhésion déterminé sur une doctrine précise, suivi d’obéissance comme tend à l'exiger la religion.   La   liberté   de   pensée   n’est   alors   un   problème   que   dans  la   mesure   où   elle   provoque dissension et violences. Cette contradiction entre foi et philosophie n’est que théorique, repose sur des questions de méthode ; ce n’est qu’en pratique

1L’histoire du chevalier des Grieux et de Manon Lescaut présente deux amants dépravés et coupables de leur passion malsaine. Leur destinée semble les réunir malgré tout. Ils sont torturés par leur indécision, leur infidélité ainsi que leur pensée de se perdre à jamais. Ils font face à une multitude de sentiments contradictoires et d’évènements bouleversants qui viennent menacer leur tranquillité. Leur relation est malsaine ainsi qu’elle est source d’énorme chagrin.Dans l’œuvre étudiée, Prévost, décrit

première personne. Le narrateur est le marquis de Renoncour, personnage fictif, ainsi que le rappelle l’avis liminaire de l’auteur, Antoine-François Prévost, plus connu sous son nom ecclésiastique d’Abbé Prévost. Vient ensuite le récit enchâssé du chevalier Des Grieux, nous racontant son histoire passionnelle avec Manon, une jeune femme infidèle et tendre. On a donc affaire à deux textes à-priori autonomes. Une transition relie ces deux textes, pourvus de différents narrateurs : «  Je dois avertir

démentie jusqu’à aujourd’hui. I. RESUME DU ROMAN EPISTOLAIRE II. ANALYSE DES PERSONNAGES PRINCIPAUX – La marquise de Merteuil – Cécile de Volanges – Le Vicomte de Valmont – La Présidente de Tourvel – Le chevalier Danceny III. AXES DE LECTURE – Le libertinage – Le désir – La guerre – La religion – L’éducation – Le genre épistolaire 1) RESUME DU ROMAN EPISTOLAIRE Deux aristocrates s’ennuient

a beau pratiquer avec application les opérations théurgiques martinéziennes, il ne parvient pas à en atteindre les grands secrets. En 1771 il rencontre Louis-Claude de Saint-Martin. Celui-ci le rassure par sa philosophie faite d’équilibre et de foi qui s’écarte des manipulations théurgiques* de Martines. Il gardera surtout de Martines sa théosophie faite d’exégèse** biblique de nature cabalistique telle qu’elle se retrouve dans le «traité de la réintégration des êtres». En 1773 Willermoz entre

défense sur la foi de ta seule parole ! Il est bien mal tombé, le chevalier qui est venu mourir pour toi, car lui, il est seul et nous, nous sommes trois ! Je lui conseille plutôt de s’en aller avant que tout aille très mal pour lui ! » Irrité par ces attaques, Yvain répondit : « Le peureux peut fuir ! Moi, je ne crains pas assez vos trois écus pour m’avouer vaincu sans coup férir. Je serais un vrai malotru si je vous abandonnais sain et sauf le terrain ! Tant que je serai vivant et