Chiasme

Commentaire littéraire I- L’errance du poète dans une nature paisible 1- La composition du poème - Le poème est construit en miroir, en chiasme avec un axe de symétrie vers 8-9. - Le mouvement de la promenade et l’organisation spatiale (description du paysage) révèlent l’état d’âme du poète. Vers 1 à 4 : Il décrit le paysage des étangs et le mouvement du vent. Vers 5 à 8 : Solitude du personnage pendant ses promenades « moi seul ». Le poète s’enferme. Vers 7 à 10 : Verlaine a une vision

compromition de la condition humaine. -L’homme se conforme a ce qu’on attend de lui. S’il accepte ces liens, c’est par conformisme. -Il agit ainsi pour etre qq, pour etre comme les autres semblables. -« Digne » répété 2 fois = chiasme  semblable/digne digne/semblable -Ce chiasme= ironie, la pretention des semblables. -Ambition l.18= insiste sur la prétention humaine. L’homme devrait avoir conscience de sa petitesse, de sa place misérable, infime (l.17). -La condition humaine est a la foi misérable

compromission de la condition humaine. -L’homme se conforme a ce qu’on attend de lui. S’il accepte ces liens, c’est par conformisme. -Il agit ainsi pour être qqn, pour être comme les autres semblables. -« Digne » répété 2 fois = chiasme  semblable/digne digne/semblable -Ce chiasme= ironie, la prétention des semblables. -Ambition l.18= insiste sur la prétention humaine. L’homme devrait avoir conscience de sa petitesse, de sa place misérable, infime (l.17). -La condition humaine est à la foi misérable

vers 19/20 valorise le conflit agitant Rodrigue : il hésite entre venger l’honneur de son père et rester fidèle à son amour pour Chimène. =>Cette figure ce répète au vers 29/30, 14 et par les chiasmes des vers 9/10 et 59/60. «  En cet affront mon père est offensé / et l’offenseur le père de Chimène » Chiasme : Disposition croisée des termes AB BA. L’envi suicidaire de Rodrigue : Vers 40, on peut constater que Rodrigue veut mettre fin à ses jours : il utilise l’impératif dans sa phrase : « 

description d’abord négative du jardin laissé à l’abandon emploi des négations « plus de… ni de » et du lexique de la dégradation : « moisies, décloués, pourrissant ») succède une vision très positive ; ce retournement est d’ailleurs souligné par le chiasme à la ligne 6 « aventure admirable pour un pauvre coin de terre ». - Le narrateur met ensuite en lumière l’aspect positif de ce jardin délaissé par l’homme en décrivant les végétaux qui y poussent en employant des termes extrêmement valorisants :« La

guerre. II) La souffrance. Pétrarque utilise des images présentant l’amour comme « doux/amer », « joie/souffrance ». Ces thèmes sont développés dans le texte 3, car il multiplie les antithèses traduisant le désordre de l’amour renforcé par les chiasmes (ABBA : verbe ccl ccl verbe) « je vole au firmament en terre je suis gisant » (V3, texte 3) ou les parallélismes (ABAB : verbe ccl verbe ccl) « Et le vide j’etreins quand l’univers j’embrasse » (V4 texte 3). Dans ces deux sonnets, il utilise le registre

en désespoir qui se traduit par des exclamations tel que « Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! ». Baudelaire s'adresse directement à la passante à la fin du poème, le chiasme « Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais » laisse penser à une communion entre les deux êtres, or le chiasme ne fait qu'insister sur la séparation de ces deux êtres qui se croisent. Le poème « A une passante » de Baudelaire reflète l'opposition entre spleen et et idéal, le spleen étant un désespoir

peu respectueusement : - déstabiliser K : conscience morale > « vous auriez honte » p111 ➢ déstabiliser K : fausse sortie et revient poser une Q déroutante ➢ S veut mettre K face à ses contradictions : chiasmes : p113 - « une idée peut tuer un grand duc, mais elle arrive difficilement à tuer des enfants » - « si l’idée n’arrive pas à tuer les enfants, mérite-elle qu’on tue un grand duc » ➢ S manipule K pour qu’il

compromission de la condition humaine. -L’homme se conforme a ce qu’on attend de lui. S’il accepte ces liens, c’est par conformisme. -Il agit ainsi pour être qq., pour être comme les autres semblables. -« Digne » répété 2 fois = chiasme  semblable/digne digne/semblable -Ce chiasme= ironie, la prétention des semblables. -Ambition l.18= insiste sur la prétention humaine. L’homme devrait avoir conscience de sa petitesse, de sa place misérable, infime (l.17). -La condition humaine est a la foi misérable

descendance ? »). Étant donné les questions qu'elle se pose, elle est à la limite de la démence car les émotions qu'elle ressens sont si fort que sa réflexion en souffre. On peut ajouter qu'on voit son opposition entre la vengeance et l'amour par un chiasme ( « ma colère chasse ma tendresse, ma tendresse chasse ma colère » )  Cependant, ce qui rend cet extrait plus tragique, c'est qu'ici elle parle d'un sujet taboue à cette époque : de penser à tuer ces enfants. Ensuite, intéressons nous à Phèdre de