Chlamydia trachomatis

bactériologique Syphilis: chancre anal ou rectal Histo: plasmocytes, prolifération capillaire Proctite secondaire Chlamydia trachomatis: lymphogranulome vénérien . Rectite ou colite aigue: granulomes inconstants . Forme chronique: sténose rectale, fistules F > H granulomes rares coloration de Machiavello. Colites au cours de l ’infection par le VIH Gay bowel syndrome: homosexuels Chlamydia, Syphilis, Gonococcie Campylobacter, Cl.difficile, E.histolytica Salmonella, Shigella, Yersinia enterocolica Herpès

expliquant la petite recrudescence de dysplasie vers 50-60 ans. Les infections à HPV de l’appareil génital et de la région anale ont des caractères épidémiologiques analogues à ceux des IST et elles leur sont fréquemment associées en particulier chlamydia trachomatis et herpès virus. I.4 Clinique : Les condylomes anogénitaux ont des aspects variés, mais facile à identifier. -Les condylomes acuminés [11]. Sont de petites masses (quelques millimètres de longueur et 1 à 3 mm d’épaisseur)

irréversible et quelque 146 millions de cas évolutifs qui auraient besoin d'être soignés. * L'agent du trachome est Chlamydia trachomatis microorganisme qui ressemble à la fois aux bactéries et aux virus et se propage par contact avec les sécrétions oculaires des sujets infectés (sur des serviettes, des mouchoirs, les doigts, etc) ainsi qu'avec des mouches. Chlamydia trachomatis provoque dans l'oeil une réaction inflammatoire qui entraîne la formation de follicules dans la conjonctive. Après

d’une leucorrhée et d’une dyspareunie. Microorganismes responsables Les 2 principales bactéries responsables sont : - Neisseria gonorrhoae ou gonocoque - Chlamydia trachomatis Normalement, un prélèvement urétral ou vaginal permet d’isoler le microorganisme en cause. Toutefois, il est important de noter que les infections à Chlamydia évoluent sur un mode subaigüe, pauci symptomatique. L’écoulement est en général clair. SIH Caudan Page 15 sur 49 24/12/2010 A l’inverse, les infections

changements naturels, géologiques et climatiques. – ... 24 Figure 4.4 – Comparaison lois stationnaires / fréquences, modèle de Markov régulé d’ordre 1 et de degré 1 : Chlamydia trachomatis Figure 4.5 – Comparaison lois stationnaires / fréquences, modèle de Markov régulé d’ordre 1 et de degré 8 : Chlamydia trachomatis 25 Figure 4.6 – Un code-barre pour chaque espèce Pour leur faciliter la tache des banques de données existent comme : EMBL, NCBI, BARCODINGLIFE. L’exemple suivant

complications sont graves si non traitées : risque de stérilité surtout chez la femme, atteinte du nouveau-né si la mère est infectée. Il n’existe pas de vaccin pour la blennorragie gonococcique. La chlamydiose La chlamydia trachomatis est une bactérie qui cause la chlamydiose. L’infection à chlamydia est la plus fréquente chez la femme. Sa gravité tient souvent à sa découverte tardive du fait qu’elle passe inaperçue chez 60 à 70% des femmes. Non traitée, cette infection entraîne des risques de salpingite

Communs au genreAntigènes d’espèce ou de typesérovars•Pouvoir immunogène ( la plus efficace)*IMH (10 à 20 jours) ; Ac peu protecteurs*IMC : rôle +++ dans la protection*Cas des avortements à C. abortus: bonne protection | Chlamydia trachomatis spécifique à l’homme =>le trachome Chlamydia muridarumChlamydia suisChlamydophila abortus: brebis, bovins FACTEURS DE POUVOIR PATHOGENE•Interaction avec les cellules épithéliales•Interaction avec le cytoplasme de la cellule infectée•Mécanismes de survie intracellulaire•Persistance

n'est pas justifiée à la suite d'IVG. Une antibiothérapie est prescrite en cas d'antécédents connus d'infection génitale haute ou de cardiopathie valvulaire. Face à un risque de MST on doit proposer un prélèvement vaginal et/ou la recherche de Chlamydiae trachomatis par PCR dans les urines suivi d'un traitement de la patiente et du(des) partenaire(s) en cas de positivité. 5. Contraception. L'utilisation d'un moyen de contraception est fortement recommandée dans le cadre de l'IVG. La contraception oestroprogestative

génitales et urinaires de l'homme et de la femme sont la cible de certains microorganismes transmis par voie sexuelle. Parmi les agents pathogènes les plus communs, on retrouve Neisseria gonorrhoeae (blennorragie), Treponema pallidum (syphilis), Chlamydia trachomatis, Trichomonas vaginalis, les virus herpès (type 2) et le virus de l'immunodéficience humaine. Porte d’entrée parentérale : Les microorganismes peuvent être introduits directement par voie parentérale. Ceci peut se produire par la suite d'une

GROSSESSES ➢ Rubéole et grossesse ➢ Paludisme et grossesse ➢ Tuberculose et grossesse ➢ Toxoplasmose et grossesse ➢ Syphilis et grossesse ➢ SIDA et grossesse (voir MST/SIDA) ➢ Infection à chlamydia et grossesse LES INFECTIONS GENERALES ET LES GROSSESSES LA RUBEOLE ET GROSSESSE Objectifs théoriques ➢ Définir la rubéole ➢ Décrire l’agent causal ➢ Citer les signes cliniques ➢ Décrire