Choeur Antigone Anouilh

l’éloge de l’infidélité Acte III, scène 1 : la scène du pauvre Acte V, scène 2 : la tirade de l’hypocrisie Acte 5, scènes 5 et 6 : le dernier combat de Dom Juan. Lectures complémentaires : Euripide, extraits de Médée (431 av. JC) et Anouilh, Antigone (1944) Antigone et Médée, révolte ou folie ? Du problème de l’identification au personnage révolté. Shakespeare Hamlet (1603), extrait de l’acte III, scène 2 : le théâtre baroque au service de la révolte. Molière, le Misanthrope (1666), extrait de l’acte

1990, jouée pour la première fois en 1999,après le décès de l’auteur Premiers titres envisagés : quelques éclaircies, Les Adieux, Juste à la fin du monde Prologue : terme théâtral qui renvoie à la tragédie grecque, utilisé au XXe par Anouilh dans Antigone pro logos : le discours avant la tragédie, texte qui prend la forme du monologue et de la tirade, le point de vue surplombant (c’est souvent un dieu dans la tragédie grecque qui le prend en charge) . Donc Louis, seul en scène, face public

spectacles. En effet, il n’y avait pas de combats de gladiateurs en Grèce. L’architecture des théâtres est originale. Ces structures sont présentes dans toutes les grandes villes romaines. Cf. plan. L’orkhêstra (chez les Grecs) comprend le chœur et le récitant (le souffleur). Le public s’asseyait sur des planches en bois. Il était très bruyant. La skênê (= scène) était faite de planches en bois, et était composée de deux étages. Les théâtres en Grèce pouvaient accueillir de 5 000 à 15 000

plus noires de la mythologie antique. Elle appartient au petit nombre des grandes criminelles de la mythologie grecque. Au cours des siècles, le mythe de Médée a attiré de nombreux écrivains et dramaturges : Euripide[1], Sénèque[2], Corneille, Anouilh, Pasolini et Max Rouquette qui écrivait en langue d’OC. Chez tous ces auteurs, Médée est une femme outragée, blessée et infanticide. Elle pleure sa souffrance car elle est seule, abandonnée par Jason, son époux infidèle. Pour arriver à trouver

Le camp religieux tremblait dans Martinville. Or, un matin, le curé partit pour Rouen, annonçant à sa servante qu'il allait à l'archevêché. Il revint deux jours plus tard. Il avait l'air joyeux, triomphant. Et tout le monde sut le lendemain que le chœur de l'église allait être refait à neuf. Une somme de six cents francs avait été donnée par Monseigneur sur sa cassette particulière. devoir1 : Toutes les anciennes stalles de sapin devaient être détruites et remplacées par des stalles nouvelles

1) Historiquement, le théâtre a toujours connu des conventions - Dès la Grèce antique, le théâtre apparaît comme un genre fortement codé. Ex : les acteurs masqués portant des cothurnes + le plan des théâtres avec des espaces réservés pour le chœur, les acteurs, l’arrivée des dieux, etc. - Au fil des siècles et selon les pays, les conventions se modifient mais elles continuent d’exister. Ex1 : le théâtre classique français et la règle des trois unités (lieu2, temps3, action) + règle de bienséance

lyrique du XXe siècle] Lecture aux vacances de printemps : lecture d’un roman du XXe siècle Balzac et la petite tailleuse chinoise de Dai Sijie Séquence 9 La tragédie dans le théâtre classique : Andromaque de J. Racine et du XXe siècle : Antigone de J. Anouilh Séquence 10 L’argumentation dans tous ses états (GT appartenant à tous les genres : théâtre, roman, poésie ; mais aussi image fixe et mobile, articles de presse etc.) Révisions pour le brevet Séquence 1 : Écrire court Cette brève

sont les Dionysies champêtres (de décembre à janvier), les lénéennes (de janvier à février) et les grandes Dionysies (de mars à avril). Ces hymnes célébraient les aventures tristes ou gaies du dieu. Les membres du chœur, les choreutes, prenaient part à sa joie ou à sa douleur. Au chœur, on ajouta d’abord un acteur, le protagoniste apporté pour la première fois par Thespis (VIème siècle avant J-C). Eschyle ajouta le deutéragoniste et Sophocle le tritagoniste. Toutes ces personnes sont des hommes

les voyages d'Ulysse... autant de récits et de personnages qui traversent les siècles, et qui, de l'Antiquité au XXème siècle, passionnent et inspirent des auteurs très divers. Pour ne citer qu'elle, Antigone a inspiré Sophocle, puis Rotrou (un contemporain de Corneille), mais aussi Cocteau, Anouilh (qui en fit une figure de la Résistance en 1944), Bertold Brecht, et Henry Bauchau (lisez son superbe roman !). Parmi les mythes modernes, deux se détachent et ont également inspiré de nombreux auteurs

des décors fastueux et des effets visuels, comme Circé de Thomas Corneille, ou les premiers opéras français comme Alceste, Thésée ou Armide, fruits d'une collaboration entre Quinault et Lully. Ces nouveaux genres influencent Racine qui introduit des chœurs chantés dans Esther (1689) et Athalie (1691). Les querelles autour des règles Si les théoriciens édictent des règles strictes, c'est aussi pour canaliser le théâtre, divertissement considéré comme moralement dangereux par l'Église. En effet