Cholestérol

c) Alimentation hypocholestérolémiante : Objectifs : ramener le taux de cholestérol sanguin a la normal et développer le bon cholestérol Principe : limiter l’apport des aliments qui ↗ le cholestérol et des aliments riches en cholestérol En pratique : privilégier les MG d’origine végétale. Eviter les MG d’origine animale. Manger du poisson 2 à 3 fois / semaine. Limiter les aliments très riches en cholestérol (œuf, abats…) Manger des fruits et des légumes ; Indications : En cardiologie

sucres à assimilation lente qui régularisent l’appétit et le taux de sucre dans le sang. Les fibres alimentaires, pour leur part, aident à se sentir rassasié plus rapidement, à former et à transporter les selles dans l’intestin et à capter le cholestérol au niveau de l’intestin, réduisant de cette manière son absorption. De plus, elles permettent de réduire les risques de maladie cardiovasculaires. Les vitamines, elles, n’apporte aucune énergie à l’organisme, mais elles facilitent les réactions

fibres musculaires de type 2 par rapport aux fibres musculaires de type 1. * L’âge : le sujet âgé cumule plusieurs facteurs d’insulinorésistance. * L’hypertension artérielle essentielle, l’augmentation des triglycérides et la baisse du HDL cholestérol, apparaissent comme des conséquences de l’insulinorésistance, ce qui rendrait compte de la fréquence de leur association avec le diabète de type 2. 3.1.3 L’insulino-résistance * précède le diabète de type 2 * survient sur un terrain génétique

métabolisme, l’origine ethnique et l’activité physique1,2. Les personnes présentant une obésité abdominale ont 2 à 4,5 fois plus de chances de développer des facteurs de risque cardio-vasculaires (tels hypertension, taux élevé de cholestérol total et faible taux de cholestérol HDL) par rapport aux personnes ayant un tour de taille normal3. L’obésité abdominale est souvent associée à plusieurs facteurs de risque d’affections coronariennes et de diabète de type 2, également appelé syndrome métabolique

(l'augmentation de la pression provoque des micro lésions de la paroi donc il y a un dépôt de lipide qui se forme sur celle-ci) 4- Diabète 5- Tabac 6- Hérédité 7- Stress 8- Obésité 9- Sédentarité 10- Cholestérol (HDL « bon cholestérol », LDL « mauvais cholestérol ») La conséquence principale est l'ischémie myocardique (souffrance du cœur par le manque d'02). A l'effort : Le besoin en O2 augmente mais le besoin n'est pas satisfait car il y a la présence d'une sténose

limité le taux de sucre dans le sang Dyslipidémie : Anomalie qualitative ou quantitative d'un ou de plusieurs lipides plasmatiques : cholestérol total (CT) et ses fractions 1.8 à 2.50 g/l ou 4.60 à 6.80 mmol/l HDL-cholestérol (HDL-c), Sup à 0.4 g/L ou Sup à 1 mmol/L LDL-cholestérol (LDL-c), Inf à 1.60 g/L ou Inf à 4.12 mmol/L Ttriglycérides (TG). Le cholestérol fait partie des lipides, ou corps gras, et est indispensable à notre organisme : toutes les cellules de notre corps en contiennent et

et les moyens de protection Les risques liés à une mauvaise alimentation sont : - Le cholestérol : C’est une substance grasse qui est produit principalement par le foie. Bien que le cholestérol soit utile pour notre bonne santé et important pour le fonctionnement du corps, trop de cholestérol dans le corps peut avoir des effets néfastes. Les différentes maladies provoquées par l'excès de cholestérol sont : • Une impuissance • Un accident vasculaire cérébral • Un infarctus.

provient de l’huile d’olive) Les acides gras saturés : - essentiellement d’origine animal (sauf acides palmitique) ont tendance à augmenter les taux de mauvais cholestérol, c-à-d celui qui se dépose sur les parois des vaisseaux les acides gras insaturés : -essentiellement d’origine végétale ont tendance à faire baisser le mauvais cholestérol, si et seulement si l’alimentation de l’individu est équilibrée. Il existe 2 acides gras essentiels (en petite quantité) qui ne sont pas synthétisés par l’organisme

essentiellement par une augmentation des facteurs de risque tels que le diabète, l’hypertension artérielle et l’excès de cholestérol. Ainsi, 42,5 % des adultes en surpoids ou obèses présentent au moins l’un de ces facteurs de risque contre 18,6% chez les adultes de poids normal. Chez l’enfant obèse, des anomalies telles qu’une augmentation de la pression artérielle, du cholestérol ou une hyperinsulinémie peuvent apparaître. Pour ceux présentant une obésité sévère, des pathologies orthopédiques peuvent

risque. 7) Le syndrome métabolique : ce syndrome est caractérisé par l'association de plusieurs facteurs de risque cardiovasculaire : obésité abdominale, sédentarité, hypertension, taux élevé de triglycérides sanguins, taux bas de HDL-cholestérol ou bon cholestérol, glycémie élevée à jeun. 8) L'âge : l'avancée en âge augmente aussi le risque d'être atteint de diabète. Si vous présentez plusieurs de ces facteurs de risque, discutez-en avec votre médecin. Il pourrait être judicieux de faire