Chomage Naturel

de 40 ans le nombre de « pauvres » à diminué de 2 219 personnes. Cependant, on remarque que, si la pauvreté à en moyenne bien baissé, elle remonte lentement depuis 2002, passant de 6,7% cette année là à 7,2% en 2007. De plus, la progression du chômage à partir d’octobre 2008 risque de fortement accentuer cette recrudescence de la pauvreté. Ceci peut s’expliquer par le fait que, depuis le passage à l’Euro (€), en 2001, le coût de la vie ne cesse d’augmenter. Celui du baril de pétrole, donc de

en une intervention de l’Etat dans l’économie. Pour lui la crise est due à une mauvaise répartition des richesses : il faut redistribuer (_to deal_). Réamorcer la pompe : des grands travaux créeront des emplois, faisant ainsi baisser le chômage et stimulant la production. Pour Keynes, un excès d'épargne peut entraîner la crise. Donc, seul l'état est en mesure de stimuler la demande lorsque celle-ci est insuffisante. En effet, en période de crise les agents économiques ne dépensent pas

libre-échange, comparativement à une baisse de 8% pour les secteurs touchés. En fait, l’Accord a tout au plus contribué à ralentir la chute de l’emploi dans le secteur manufacturier. Plus significativement d’ailleurs, le Québec a connu des taux de chômage particulièrement élevés au cours des derniers dix ans (plus de 11%), en baisse à 9,9% à la fin de 1998. Témoignent également de la détérioration de la conjoncture, l’augmentation du nombre des prestataires de l’aide sociale (595 000 en 1991 et

refusent de se plier aux conditions de vie de la société industrielle : « métro-boulot-dodo » 0 de même, les ouvriers s’inquiétaient fortement de la poussée du chômage (combien de chômeurs en France l’année de création de l’ANPE en 1967 : 300 000 !) « La crise qui secoue la France au mois de mai 1968 met en cause à la fois : le chômage, l’insécurité de l’emploi, les dures conditions de travail, la crise du système éducatif, l’augmentation prodigieuse du nombre des étudiants, le refus du dialogue

imparfaite Sur le plan théorique, on peut montrer que tant l'existence de biens publics que celle de monopoles naturel engendrent des externalités : - produire un bien public c’est engendrer des externalités positives chez tous ceux qui le consomment sans l’avoir payé ( et on ne peut les en empêcher, par définition.) - un monopole naturel non régulé fait payer trop cher les biens qu’il produit, exclut les plus pauvres de la consommation et engendre donc ainsi des

LEFEBVRE Ugo BTS CI 1 TP Analyse d'un risque pays: UrgensecoursQuestion n°1: Opportunités Menaces Annexe 1 Plan de développement national visant à éradiquer la pauvreté 1/3 de population est au chômage et 1/2 jeunes Plan visant à créer 11 millions d'emplois d'ici 2030 1/3 de population en dessous du seuil de pauvreté Politique de grands travaux visant à stimuler la croissance Pats très inégalitaire, grande majorité noire laissée pour compte Pays ouvert aux échanges internationaux Dépendance

logiquement à la nécessité de la limiter strictement car elle se payerait d'un ralentissement économique. L'assistanat (subventions aux entreprises, prestations sociales) et la ponction croissante opérée sur les gains dégraderaient les lois sociales naturelles en émoussant les ressorts de la motivation, c'est-à-dire le mécanisme sanction/récompense. Choisissant l'optique de la demande, Keynes considère la réduction des inégalités comme un facteur de croissance : la propension à consommer est plus faible

extérieur Courir après la croissance ces une mauvaise chose car elle conduit a une ressource naturel non reproductive on met en danger la biodiversité . Une forte croissance conduit fortement a une dégradation de l'envi et a une augmentation des déchets. Pour certain c'est une aberration car sa détruit la planète ils sont pour l'inverse ils sont pour la décroissance. La première justification c'est réduire le chômage permet de réduire le gaspillage des facteur de production, plus on produit des recherche

XVIIIe début XIXe -Rostow appelle ça « take-off » : passage société trad à société de masse (entre 1800 et ajd PIBx35) -société trad essentiellement agricole, croissance slmt extensive(faible q° de L et K donc faible q° de prod) et accroissement naturel faible -société post-indus : services innovation NTIC, prod de B de +en+ immatériels « l'économie par les manipulateurs de symboles » Robert Reich Croissance fabuleuse mais mal partagée → inégalités ; peu d'endroit de la planète y ont échappé -Urbanisation :

travailler paye des charges sociales hebdomadaires, afin de profiter en retour de prestations en cas de maladie, chômage, retraite etc. Beveridge pense que ce système permettra d’assurer un niveau de vie minimum en dessous duquel personne ne devrait tomber. Il s'agit de lutter contre ce que Beveridge appelle les « cinq grands maux » : pauvreté , insalubrité, maladie, ignorance, chômage. Afin de convaincre les conservateurs sceptiques, Beveridge explique que la prise en charge de la maladie et du problème