Chomage Pauvreté Précarité

les cultures sont celles de la canne et du maraîchage. Cependant de nombreuses terres agricoles sont gagnées par l’urbanisation. Ce qui permet un nouvel essor économique pour la commune. Malgré l’augmentation de l’activité économique, le taux de chômage est de 32,4%. Le public reçu au CLASS est divers, on y accueille des jeunes mineurs et majeurs, des personnes âgées, des personnes en situation d’handicap, des personnes étrangères en situation régulière ou en situation irrégulière. Cependant on

L'ETUDE I – Le CHRS l’Eclaircie  1) Un CHRS Les CHRS (Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale) ont pour mission d’assurer l’accueil, l’hébergement, l’accompagnement et l’insertion sociale des personnes qui se trouvent en situation de précarité et d’exclusion. Ces personnes sont à la recherche d’un hébergement ou d’un logement en priorité. Ces centres permettent de trouver une certaine autonomie personnelle et sociale. Pour cela, les CHRS suivent les usagers personnellement en leur faisant

L. Le degré de concurrence va modifier la répartition de la VA. Sur le marché du L, on regarde bcp le taux de chômage: il est vu comme un indicateur du pouvoir de négociation des travailleurs. En fonction du taux de chômage, les salaries pas le même pouvoir de négociation: si taux de chômage faible, Leurs pas substituables, donc le Leur a un pouvoir de négociation élevé. Taux de chômage faiblecroissance des salaires élevés.  4: l’ouverture international des économies (modèle HOS: Heckscher Ohlin

L’emploi est un élément essentiel de l’insertion sociale .Celui-ci permet, en effet, à l’individu d’améliorer ses conditions et de s’affirmer dans la vie ; tout en acquérant une certaine autonomie financière, face à un phénomène grandissant : la pauvreté, mais aussi la vulnérabilité qui gagne notre société. La situation du marché de travail sévit dans le monde entier. Que ce soit en Amérique, en Europe, ou en Afrique .C’est un problème récurrent, mais qui se traite de différentes maniére, selon

allongement de l’espérance de vie, progrès des connaissances…). Elles rendent la croissance irréversible. Le concept de développement intègre l’idée de progrès social (amélioration des conditions de vie de la population, réduction des inégalités et de la pauvreté…). Le développement est donc un phénomène qualitatif alors que la croissance économique est un phénomène quantitatif. Le développement économique peut s’accompagner d’un développement humain défini, par Amartya Sen, comme un processus « d’élargissement

fois plus au Danemark. Devenir riche en partant de rien, s’extirper de sa classe sociale vers une supérieure est donc plus difficile aux Etats-Unis en partant de rien. Pourquoi une telle difficulté sociale ? Les Etats-Unis avaient un taux de pauvreté de 11,7% en 2001, année de récession, en 2007 il est de 12,5%, soit 37,2 millions d’Américains pauvres soit 4,4 millions de plus qu’en 2001, dont 1,6 millions d’enfants. Cette mesure est la mesure officielle donnée par le gouvernement américain fondé

(document 1, Q2 ). 1.1.2] La nomenclature des PCS permet également de rendre compte des inégalités entre GSP en termes de pauvreté Grace aux PCS, on constate par exemple que seulement 2,1 % des cadres vivent en dessous du seuil de pauvreté ( Q1 ) contre 12,6 % des ouvriers, 15,6 % des ACCE (GSP 2) et presque 1 agriculteur exploitant sur 3. Rappelons que le seuil de pauvreté correspond à 60% du revenu médian (c’est-à-dire 2 le revenu tel que 50% de la population étudiée dispose d’un revenu

régimes de retraite. L’inclusion active renvoie, à son tour, au concept de flexisécurité retenu à Bruxelles. Il s’agit de combiner la flexibilité du travail, imposée par la mondialisation et le passage à l’euro, et la sécurité du revenu en cas de chômage. Rendre le travail « payant » est, en effet, devenu la clé de voute de la stratégie de Lisbonne révisée (2005) dont le but ultime est le développement durable et l’égalité des chances tout au long du cycle de vie. Le problème, c’est qu’aux faibles

années). 3. L'évolution du chômage et de la précarité de l'emploi Il est apparu au cours des années 1970 un chômage massif qui touche depuis le début des années 1980 environ 10 % de la population. Beaucoup de chômeurs bénéficient de la protection sociale ; en revanche, ceux qui n'y ont pas ou plus droit, notamment les chômeurs de longue durée, connaissent une nouvelle pauvreté, intolérable dans une société riche. Dans l'ensemble, les inégalités se creusent, la précarité progresse. Des régions entières

s’aggraver avec la persistance du chômage. Selon Lamarque G., il existe différentes formes d’exclusion comme l’exclusion du travail, du logement (en raison de la pauvreté ou de revenus précaires), l’exclusion liée à l’isolement de la personne, à l’immigration, à l’éducation ou encore liée à la maladie. Les individus concernés par cette forme d’exclusion sont multiples : personnes âgées, personnes en situation de handicap, jeunes adultes, personnes en situation de précarité et bien d’autres. Ainsi, parmi