Chomage Volontaire Néoclassiques

classique  libérale va triompher pendant le 1er quart du XIXe. L’économie va connaître un formidable essor avec la révolution industrielle. Mais parallèlement, la misère des populations ouvrières va s’accroître, des crises de surproduction vont éclater (chômage, faillites, etc..). Ces phénomènes vont entraîner des réactions très diverses et nombreuses contre l’école classique libérale.  L’école classique Adam SMITH (1723 -1790) Robert MALTHUS (1766 -1834) David RICARDO (1772 -1823) John STUART MILL

certains risques sociaux (Chômage, maladie, vieillesse...). Aujourd’hui l’Etat est là pour encadrer l’économie. Il doit faire en sorte, par l’intermédiaire de mesures, de lois, de plans, qu’elle continue de fonctionner de manière stable. Il a tout à y gagner. Si on prend l’exemple d’un entrepreneur qui anticipe une demande faible (demande effective ou anticipé selon Keynes), il ne va pas produire suffisamment pour embaucher et donc il va contribuer au chômage. C’est à ce niveau que l’Etat

ne peut y avoir de chomage, sauf s’il est volontaire car la libre variation du salaire permet d’égaliser l’offre et la demande de travail. La pensée keynesienne La succesion des crise économiques (chomage des années 20 en GB crise de 1929) a remis en cause la pensée néo classique basé sur l’équilibre naturel dégagé dans une économie de marché Pour lutter contre le sous emplois keynes proposa une intervention active de l’état pour réguler l’activité économique. Le chomage peut etre involontaire

L’analyse de la production → La théorie de la valeur → La division du travail → La loi des débouchés → La théorie quantitative de la monnaie 3. La répartition → La théorie du salaire → La théorie de la rente → La théorie de l’intérêt B. Les néoclassiques 1. Le calcul à la marge 2. Le modèle de marché et l’équilibre général 3. Une démarche normative C. Les différentes écoles libérales 1. L’Ecole de Chicago ou le courant monétariste 2. L’Ecole de l’Economie de l’Offre 3. L’Ecole de l’Economie

jusqu'à l'explosion du mode de production des capitalistes. Les contradictions du système capitaliste vont le conduire a sa perte. Freinage crise de la demande des salaires Surproduction disparition du Concurrence augmentation du chômage capitalisme capitaliste accumulation de travail mort baisse du taux de profit crise de l'offre sur-accumulation la disparition du capitalisme et son remplacement A terme le socialisme puis le communisme remplaceront ce système.

de LausanneReprend l'idée de Say selon laquelle la monnaie n'est pas détenue pour elle-même puisque des produits achètent toujours des produits. Chez Walras, la monnaie est neutre.« Le franc est le nom de quelque chose qui n'existe pas » Les néoclassiques orthodoxes : la formulation moderne de la théorie quantitative de la monnaie, Irwin FisherUne identité qui fait l'unanimité : MV=PT. Mais ce qui va différer c'est la manière de l'interpréter. Fisher dira que lorsque M varie, ça n'a d'effet que

THEME 3. Emploi et chômage I. Définition et mesure L’emploi et le chômage sont au centre des débats économiques et politiques, souvent les premières questions économiques sont les suivantes : Comment évité le chômage ? Ou encore Comment créer des emplois ? L’objectif est de dépasser les questions de bases et de s’intéresser à la théorie économique. Avant cela il est essentiel de s’entendre sur la définition même du chômage, donc de l’emploi. Le mot même de chômage est une invention assez récente

survie et la reproduction. Le minimum vital depant d’une société à l’autre et d’une époque a l’autre Salaire Courant : C’est celui qui est déterminé selon la loi de l’offre est de la demande dans le marché de travail. Quand on est en situation de chômage et que l’offre de main d’œuvre est abondante le salaire va baisser, quand on est en période de croissance et que les entreprises cherchent des travailleurs le salaire va augmenter donc le montant des salaires courant dépend de la situation du marché 

tous les aspects de l'activité économiques. On s'intéressera essentiellement dans ce chapitre aux théories néo-classiques et keynésiennes de l'équilibre. Section1: La théorie néo-classique. Mercantiliste  Physiocrate  Classique  Marxiste  Néoclassique  Keynésien  Néolibéraux Interventionniste Libéraux Libéraux Socialistes Libéraux Interventionnistes Libéralisme Libéralisme sauvage 1929 Intervention 1980 Les économistes néo-classiques dont la théorie a émergée dans les années 1870 ont

deux fronts aujourd’hui, il n’en a pas toujours été ainsi. De façon historique le rôle de l’Etat dans le domaine économique a largement évolué. Jusqu’au XIXème siècle, l’Etat n’avait qu’un rôle très limité car selon les théories classiques puis néoclassiques alors dominantes, le marché se régulant seul par la loi de l’offre et de la demande, l’Etat ne devait pas intervenir dans le domaine économique sauf exception (les biens collectifs…). C’est surtout à partir du XXème siècle avec l’analyse économique