Chorégraphie

sol et y reste en position acrobatique pour certains pendant quelques minutes. Ils se déplacent souvent en ligne droite, leurs déplacements sont géométriques, leurs danse font penser à des robots, leurs gestes sont brutales et non doux. Dans la chorégraphie, on retrouve des danses de bal notamment la valse, le tango les danseurs sont répartis en 4 couples dont un couple est formé de deux filles alors que les 3 autres couples sont formés d’un danseur et d’une danseuses. Cependant on remarque aussi

danse; sa main droite touche son bras gauche et suite aux pressions de la main la danseuse fait des mouvements circulaires de long en bas avec son bras , puis coure un peu. L’homme anticipe son pas et enlève une chaise . L’interprète continue sa chorégraphie ; elle retourne vers le coté gauche de la scène .On peut noter en arrière plan que la seconde danseuse reproduit encore les même mouvements de danse. Puis nous avons droit à un plan rapproché sur Benigno et Marco, qui semble très ému par ce qui

l’œuvre : Au début de l’extrait la musique monte de nouveau en puissance et on commence à voir les danseurs derrière les loubards. La caméra utilise une contre-plongée pour rendre les Jets plus impressionnants. On peut voir le début d’une véritable chorégraphie qui règle leurs mouvements et leurs déplacements en harmonie total avec la musique. Chacun du groupe des Jets commence à esquisser quelques pas de danse puis c’est l’ensemble du groupe qui danse au milieu de la rue. Riff, se situe au devant du

séduction ultime étant le traditionnel pas de deux, séquencé sur l’alternative réticence / attraction- résistance / abandon. La danse mime le jeu des amants qui se cherchent et se trouvent, c’est donc la danse qui rapproche les corps et les cœurs. La chorégraphie est au service de la romance et libère le sentiment amoureux. La chanson, comme la danse prennent finalement le temps de se développer, de gagner en force pour donner le temps aux protagonistes de se rapprocher et d’offrir au spectateur un des

et l’improvisation en leur donnant des pistes : - ce qui correspond, évoque le plus le thème - ce qui a plu pendant l’exploration - ce qui est bizarre, rigolo , est surprenant.. - ce qui procure de bonnes sensations……. La construction de la chorégraphie : C’est un moment de structuration, de précision, de mise en scène pour communiquer la phrase dansée en fonction des intentions, du projet expressif. Faire vivre plusieurs possibles aux élèves, pour les aider au choix : - le début et la fin

Wigman et Kurt Jooss) cherchent l'adéquation entre le geste et le sentiment et exacerbent la forme au profit de l'expression. Le nazisme entrave son essor en Europe mais le mouvement se développe aux États-Unis. En 1929, Mary Wigman interprete la chorégraphie de la "Danse de la sorcière". Dans le cinema expressionniste ; la tension naît de la lutte entre la lumière et les ténèbres, les façades des immeubles penchent, les rues ondoient ( cf: Van Ghog ). Tout est de guinguois, les corps s'inclinent

classique dans l’école de Rosella Hightower. Plus tard, il danse dans un programme de Balanchine puis chez Maurice Béjart. Mais il est en quête permanente de nouveauté et se pose des questions sur le statut de danseur. Il se tourne rapidement vers la chorégraphie. Il bouscule les conventions et chaque nouvelle création est la critique de la précédente. L’interprète est au centre de la création. Mais alors pourquoi chez bagouet l’interprète n’est-il pas aussi un peu un chorégraphe? Tout simplement car avant

boîteuse vers ce qui deviendra leur « ultime représentation ». En effet c'est sur ce sentiment que ce base tout le spectacle. Les personnages étant pour la quasi totalité des sexagénaires , ils expriment avec leurs « corps usés » et à travers une chorégraphie minimale d'Alain Patel la solitude dans laquelle enferme cette vieillesse mais aussi, et surtout de la mort qui approche. A cette proximité de la mort s'oppose la première impression d'oubli de la fuite du temps ressentie lors des premieres

Juilliard School of Music à New-York. En 1961, elle est embauchée par le Metropolitan Opera de New-York et rejoint le New American Ballet. Elle rentre en Allemagne en 1962 et devient membre du ballet Folkwang. Elle y assiste Kurt Jooss dans ses chorégraphies et finit par devenir directrice artistique à la suite de Kurt Jooss en 1969. Moins de quatre ans plus tard, elle rejoint le centre artistique Wuppertaler Bühnen afin d'en assurer la direction. Arno Wüstenhöfer, directeur du centre, lui laisse alors

le mouvement, tantôt l’aspect qualitatif : la façon de libérer l’énergie dans le corps. » On peut libérer cette énergie de façon libre comme de façon contrôlée, mais selon la manière de la libérer, elle n’aura pas le même aboutissement dans la chorégraphie du danseur. Avec un enchainement coloré différemment, le public aura des réactions différentes. Ainsi on peut dire que le fait de colorer un mouvement, amène de la personnalité, de l’unicité à l’enchainement. ❖ Manière libre de libérer l’énergie :