Chou frisé

Nichihico Hachiya (directeur de l'hôpital des communications à Hiroshima), 1957, p. 187. 13/03/03 62 1.2.3. Des insuffisances ou des défaillances des systèmes d'alerte Les surprises sont ici régulières : les anecdotes ne manquent pas et l'on frise souvent la caricature. Télex ou télécopie qui "se perdent" dans les bureaux; messages non transmis; impossibilité d'accès aux bureaux durant le week-end ; experts seuls capables d'intervenir bloqués par un cordon de police à quelques centaines de

» le personnage en question : comme si votre sœur ou votre fils vous abordaient tout à coup en vous déclinant cérémonieusement leurs nom, prénom, âge et lieu de naissance. Et, de fait, ce chapitre mime, avec une solennité provocante tant elle frise la caricature, le début de roman type... vers la page 100 : Jean Valjean était d'une pauvre famille de paysans de la Brie. Dans son enfance 10..., etc... ; sa mère, son père, son métier, tout défile comme on pourrait le voir dans une maladroite

3 Nichihico Hachiya (directeur de l'hôpital des communications à Hiroshima), 1957, p. 187. 13/03/03 62 1.2.3. Des insuffisances ou des défaillances des systèmes d'alerte Les surprises sont ici régulières : les anecdotes ne manquent pas et l'on frise souvent la caricature. Télex ou télécopie qui "se perdent" dans les bureaux; messages non transmis; impossibilité d'accès aux bureaux durant le week-end ; experts seuls capables d'intervenir bloqués par un cordon de police à quelques centaines de mètres

166 Les chefs d’État réunis dans le bunker cherchèrent donc comment éradiquer une fois pour toutes le mal. Ils finirent par convenir qu’il fallait « sectionner » plus profondément. Un autre dirigeant, Paul Charabouska, un petit homme brun et frisé, lança une idée. À son avis il fallait supprimer le terreau même du nationalisme, du fanatisme et de l’intégrisme, à savoir… l’enseignement même de l’Histoire. L’idée parut tout d’abord totalement saugrenue aux participants de la réunion au sommet

pensais à eux, je me les représentais tantôt en tapisserie, comme était la comtesse de Guermantes dans le "couronnement d'Esther" de notre église, tantôt de nuances changeantes, comme était Gilbert Le Mauvais dans le vitrail où il passait du vert chou au bleu prune, selon que j'étais encore à prendre de l'eau bénite ou que j'arrivais à nos chaises, tantôt tout à fait impalpables comme l'image de Geneviève De Brabant, ancêtre de la famille de Guermantes, que la lanterne magique promenait sur les

assise sur le canapé, les cheveux mouillés attachés en chignon. Elle a l’air si jeune pour son âge, elle est éblouissante. – Nous devrions louer quelques films et je nous préparerai à dîner ! s’exclame-t-elle. Ma cuisine ne te manque pas, mon petit chou ? Hardin rigole. – Absolument pas. Meilleur cuistot de la Terre. La situation ne pourrait pas être plus gênante. – Hé ! Je ne suis pas si mauvaise. Et je crois que tu viens juste de te désigner toi-même comme chef pour la soirée. Je me dandine d’un

Léon 4 ) Le jus d'octobre : Le bon lait de l'automne, c'est le vin, car les vendanges se font à partir de septembre. À noter que Brassens est né le 22 octobre, sorte d'attirance atavique (erfelijke aantrekkingskracht) pour le vin 5 ) Et non dans un chou : Les petites filles naissent dans les roses et les petits garçons dans les choux. C'est du moins ce que l'on raconte parfois aux jeunes enfants pour leur expliquer les mystères de la procréation. 13 ) Le temps du vin coulant dans la Seine : Doit-on

ses domaines ; y sont mentionnées : ❑ des condimentaires et médicinales : anis, ciboule, coriandre, cumin, fenouil, menthe, nigelle, pavot, persil, romarin, sarriette, sauge, tanaisie… ❑ des alimentaires : ▪ "herbes" : bette, chou, cresson, houblon, laitue, souci… ▪ "grains" : haricot, fève, pois, pois chiche… ▪ "racines" : ail, carotte, échalote, oignon, panais, poireau, radis… ▪ "cucurbitacées" : coloquinte, concombre, cornichon, gourde, melon…

mousseline de Siam brodée en or passé, grand luxe, car telle de ces robes de mousseline valait alors six cents écus. Une large agrafe de diamants fermait sa chemise qu’on voyait à fleur de gorge, mode lascive du temps, et qui était de cette toile de Frise dont Anne d’Autriche avait des draps si fins qu’ils passaient à travers une bague. Cette femme avait comme une cuirasse de rubis, quelques-uns cabochons, et des pierreries cousues partout à son corps de jupe. De plus, les deux sourcils noircis à

mousseline de Siam brodée en or passé, grand luxe, car telle de ces robes de mousseline valait alors six cents écus. Une large agrafe de diamants fermait sa chemise qu'on voyait fleur de gorge, mode lascive du temps, et qui était de cette toile de Frise dont Anne d'Autriche avait des draps si fins qu'ils passaient à travers une bague. Cette femme avait comme une cuirasse de rubis, quelques−uns cabochons, et des pierreries cousues partout à son corps de jupe. De plus, les deux sourcils noircis à