Chrematistique Naturelle Et Chrematistique Mercantile

des découvertes maritimes ; d'autre part, à l'époque de l'émergence des États-Nations. Du XVIe siècle au XVIIIs siècle, le mercantilisme se constitue progressivement en formalisant et en unifiant les « usages et bonnes pratiques » de la théorie mercantile. Par la suite, les formulations deviennent plus élaborées et plus volontaristes, comme celle promue et systématisée en France par Jean-Baptiste Colbert (le colbertisme). Au cours de cette période une littérature diversifiée se répand dans la

l'égalité. Aristote explique par ailleurs (Politique, 1,9) que « l'usage de la monnaie introduisit comme une nécessité » car le transport des objets du troc était peu commode. Mais cet usage de la monnaie dégrade la chrématistique, qui est l'art d'acquérir des biens, en une forme mercantile : « le commerce est l'art de créer des richesses, non pas de toute façon, mais seulement par le moyen de l'échange de biens. » et il est recherche illimitée de richesses. Il poursuit dans le chapitre suivant en

ainsi, dès SOCRATE, l’ordre politique est réputé être assuré seulement par l’atteinte et le maintien d’un certain nombre d’exigences morales considérées comme naturelles parce qu’intemporelles : le courage, la tempérance, la vérité et la justice. Ces principes moraux ont longtemps été considérés comme les fondements de l’ordre politique naturel. Dans ce cadre, les activités économiques auront tendance à être jugées de façon négative car elles génèrent les passions dominées par les égoïsmes individuels

barrières tarifaires et encourageant les exportations. Le mercantilisme n'est pas un courant de pensée en tant que tel[1]. Il marque la fin de la prééminence des conceptions économiques de l'Église, inspirée d'Aristote et Platon, qui dénonçait la chrématistique (dont l'accumulation des richesses et le prêt) et qui voyaient dans l'activité économique un jeu à somme nulle dans lequel ce qui était gagné par l'un l'était aux dépens de l'autre. Le mercantilisme apparaît à une époque où les rois souhaitent

salariés, clients, fournisseurs, concurrents, institutions publiques, médias, organisations non gouvernementales, communautés locales, la société dans son ensemble, mais aussi des groupes terroristes, des êtres vivants non humains, des éléments naturels inanimés et Dieu out pu être inclus dans la classe des parties prenantes. Le mot « constituency » est parfois utilisé comme synonyme de « stakeholder». Il renvoie à ceux qui sont en relation avec l'entreprise en raison d'un intérêt commun). Schématiquement

directe, d'autres une démocratie représentative avec une élection de député au parlement. Pour la démocratie représentative, on utilise la théorie de la division du travail. Platon "la République" Extraits : il y existe une différentiation naturelle ente les hommes, on produit de meilleur qualité et en plus grand nombre. L'échange fournit chacun ce dont il a besoin. Xénophon "La Cyropédie" voir doctrine. Les deux écueils dans une cité : la richesse et la pauvreté Une cité frugale est une

parlent plus à l’intelligence des hommes que la chronique des évènements qui se sont effectivements produits dans le monde. L’ART La Poétique : création artistique et poétique. « la poésie semble bien devoir son origine à deux causes naturelles. Imiter est naturel aux hommes et se manifeste dès leur enfance (l’homme diffère des autres animaux en ce qu’il est apte à l’inmitation , c’est au moyen de celle ciqu’il acquiert ses premières connaissances) et, en second lieu, tous les hommes prennent plaisir

de l’intérêt (de l’usure) qui les conduit à condamner l’usure. Cette « théorie » ne peut se comprendre sans se référer à la vision qu’avaient ces penseurs des problèmes économiques en général. Pour eux, ce qui importe c’est de retrouver ce qui est naturel, bon pour l’homme. Leur théorie de l’intérêt est pénétrée de cet objectif plus général. ex 2 : On pourrait croire que cette « subjectivité » des théories est due à l’époque : le Moyen-âge. Le temporel et le spirituel sont confondus, etc. Je ne développe

L’impulsion du renouveau libéral par le monétarisme 1. Friedman et les monétaristes dans la discussion sur la stabilité des fonctions macroéconomiques de comportement 2. La critique monétariste de la courbe de Phillips et la théorie du taux de chômage naturel 123 123 124 32 La nouvelle macroéconomie classique 1. L’hypothèse d’anticipations rationnelles et l’inefficacité de la politique économique 2. Un renouveau de la macroéconomie classique VI 127 127 129 Table des matières De la théorie

L’impulsion du renouveau libéral par le monétarisme 1. Friedman et les monétaristes dans la discussion sur la stabilité des fonctions macroéconomiques de comportement 2. La critique monétariste de la courbe de Phillips et la théorie du taux de chômage naturel 32 La nouvelle macroéconomie classique 1. L’hypothèse d’anticipations rationnelles et l’inefficacité de la politique économique 2. Un renouveau de la macroéconomie classique VI 123 123 124 127 127 129 Table des matières De la