Christianisme oriental

Document pédagogique – Conférences UTA-Lyon 2002/2003 – Auteur : Régine Levrat L’EUROPE CHRÉTIENNE Cours dernier : origines. Diffusion du christianisme dans l’Empire romain : bénéficie des routes terrestres et maritimes (Méditerranée), des langues (latin en Occident, grec en Orient) et aussi de l’urbanisation (christianisation d’abord dans les villes comme en témoigne le terme païen qui signifie rural) Carte. Bénéficie également de l’attrait pour le monothéisme et de la diaspora juive malgré l’insuccès

groupe structuré de divinités : Egypte, Chaldée, Grèce,Rome, Amérique centrale, etc. - Monothéisme : Dieu unique : Judaisme , Christianisme, Islam. On peut remarquer ici que la puissance des Dieux est fonction de leur nombre, un lien et une évolution entre ces trois formes est concevable : Voir partie critique : Ludwig Feuerbach. . Les religions orientales forment des cas particuliers (Hindouisme ou Bouddhisme), ce sont des philosophies autant que des religions, les Dieux incarnent des

dynasties qui se succèdent = légitimité monarchique + dynastique. Les rois sont alors les représentants de l’ordre divin -> appartenance à une dynastie choisie, contrairement à l’idée d’une souveraineté du peuple à la révolution. Tout ceci est lié au christianisme d’une Europe chrétienne, un retour à des valeurs anciennes afin de refonder l’ordre monarchique en Europe. Ex en France : Louis XVIII (frère de Louis XVI) -> restauration monarchique, mais avec un accommodement : mélange idées révolution + monarchie

Le christianisme était un important facteur d'unité entre l'Est et l'Ouest de l'Europe mais la conquête arabe de l'Afrique du Nord rompit les liens maritimes entre les deux régions. Des différences théologiques et politiques émergèrent alors et au milieu du VIIIe siècle, les divergences concernant l'iconoclasme, le célibat des prêtres, le contrôle étatique de l'Église et la liturgie (en grec à l'Est et latin à l'Ouest) devinrent particulièrement profondes64. La rupture fut officialisée en 1054 lorsque

L'Empire byzantin (en grec moderne : Βυζαντινή αυτοκρατορία / ByzantinèN 1 autokratoría) est un des deux Etats issus du partage au ive siècle de l'Empire romain ; il est aussi connu sous le nom d'Empire romain d'Orient (en latin Imperium Romanum Orientale, en grec médiéval Ἀνατολική Βασιλεία Ῥωμαίων / Anatolikè Basileía Rhômaíôn), avec pour capitale Constantinople, anciennement appelée Byzance. À la fin du iiie siècle, l'Empire romain est séparé en deux par Dioclétien et il est définitivement divisé

occidentale moyenne de l'Orient méditerranéen, devenu au fil du temps, pour l'Europe moderne, l'« autre » par excellence. Mais, ici encore, mythes et réalités s'entrecroisent étroitement: même si aux llème et 12ème siècles, l'opposition islam/christianisme est indéniablement ressentie par les chrétiens occidentaux, nous risquons néanmoins de nous tromper aujourd'hui sur la signification et la portée qu'elle avait à l'époque. Ce sont cette signification et cette portée qu'il s'agit autant que possible

séminaire de théologie protestante de Tübingen, où il entre en 1788; ses études ne le conduiront pas à la carrière de pasteur mais au préceptorat. Le jeune philosophe s'oriente vers le mode de pensée platonicien (notamment la notion de l'Idée) et le christianisme. Ami du poète Friedrich Hölderlin, il devient le disciple de Friedrich von Schelling, son maître à penser, plus jeune que lui de cinq ans, dont il finira par rejeter l'irrationalisme romantique. A la «philosophie du sentiment» de Schelling et

chrétien qui correspond à ce qu’on appelle aujourd’hui l’Europe Occidentale. Europe n’est pas utilisé à cette époque la. Est présente dans cette citation, l’idée de la naissance d’un monde nouveau dans un vaste espace, unifié par la religion (christianisme, territoire, idée d’un grand mouvement). En 2003 Jacques Le Goff publie un livre L’Europe est-elle née au Moyen Age? Contexte de l’accélération de la construction européenne. Dans ce contexte Le Goff rappelle la contribution décisive du Moyen

Thaïlande, mais aussi le Japon avec le bouddhisme comptent plusieurs bouddhistes. L'Inde qui est à l'origine de cette religion ne représente que moins de 1% des bouddhistes dans le monde. Le bouddhisme se démarque des deux grandes religions (Islam et Christianisme) par le refus d'un être supérieur. L'individu est au cœur des préoccupations et c'est lui seul qui peut s'élever vers un état supérieur de moralité et de sagesse. Les pratiques du bouddhisme se tournent donc plus vers la médiation, la réflexion

notamment à cause de crimes et de suicides douteux. Tigillin, préfet du prétoire et proche de Néron entretient ce climat de terreur sans que le Sénat ne s’interpose. Le premier siècle de notre ère voit naître de nouvelles religions, judaïsme et le christianisme. Mais la tolérance des romains se heurte à ses deux religions nouvelles qu‘ils ne comprennent pas. Les juifs et les chrétiens sont perçus comme des provocateurs, affichant une religion monothéiste et refusant le polythéisme. Les romains ont du