Christologie

controverses et interprétations dans l’histoire du christianisme. Au cours des premiers temps de l’Église, il fut nécessaire d’harmoniser les croyances concernant Jésus et son rôle. La nature du Christ devint alors le sujet d’une discipline appelée christologie. Jésus en Inde Les Evangiles gardent le silence à ce sujet, l'ésotériste chrétien sait que ces légendes reposent sur la réalité. Que sont les Evangiles Les évangiles sont des formulaires d'initiation de quatre écoles ésotériques, par lesquels

nombre de liens ont été montré. A partir de Robert de Bron et les hauts livres du graal, la chevalerie est au pied de la croix. Galaad, héros de la queste Del st graal : réflexion sur la figure du christ, à partir de la fin du XII°s, c’est la christologie. Comparé la chanson de Roland ou dieu est présenté sous la forme du père et les romans du graal ou c’est la figure du fils qui est présentée. La liturgie : La scène du graal tel qu’on l’étudie se présente sous la forme d’un cortège chez Chrétien

siècle jusqu’au milieu du XXème siècle et c’est encore celle de Pierre GEOLTRAIN. Le passage serait authentique (NODET : Jésus et Jean-Baptiste selon Josèphe) et l'intention de Josèphe serait polémique ou bien correspondrait au judaïsme et à la christologie du Ier siècle selon Serge BARDET. Celui-ci pose une question fondamentale, souvent laissée de côté : s’il y a interpolation, à quoi et à qui sert-elle ? Les premiers chrétiens ne ressentaient pas le besoin de prouver l’historicité de Jésus de Nazareth

sans faille jusque là, de Giovanni Papini n'apporte de garantie à son livre sur le Diable. H. Guillemin n'est pas beaucoup plus catholique en matière d'exégèse et chaque cas serait ici un bon point pour l'esprit critique. 21 Pp. 79-80. Cette christologie, de type sapiential, joue un rôle indéniable, parmi d'autres, aux origines du christianisme et même plus tard (cf. mon Christianis­ me et Ph ilosoph ie, Etudes sur Justin et les apologies du :ee siècle, Bruxelles, U.L.B., Fac. Lettres, LII, 1973

prophète, médiateur, souffrant, etc.) culmine dans l’office transcendant de Jésus ; après lui, les offices ne pourront plus être distingués que d’une manière inadéquate. Pour la critique des " trois offices ", Cf. W. Pannenberg, Grundzüge der Christologie (1964), pp. 28 ss. ; trad. fr. à paraître aux Ed. du Cerf. Otto Semmelroth, Das Geistliche Amt (Mayence, 1958), pp. 108 ss., trad. fr. Le ministère spirituel. Explication de son sens théologique, Paris, 1965. 22. Pour He le peuple de Dieu est

l'Ancien qu'au Nouveau Testament c'est-à-dire au Christ, le Nouvel Adam, le Fils de Dieu qui s'est fait homme, dans lequel il est appelé à se réaliser. C'est pourquoi Vatican II, dans le chapitre 22 de Gaudium et Spes, joint l'anthropologie à la Christologie. C'est seulement dans le mystère du Verbe incarné, d'après Gaudium et Spes, que s'élucide "vraiment le mystère de l'homme". C'est bien en partant de cette anthropologie eschatologique que Jean-Paul II ne cesse de rappeler aux chrétiens, depuis

étrange dans les documents baptistes les plus anciens (par exemple, les confessions reproduites dans CORNELIUS, op. cit., appendice du t. 11). Sur ce point, voir entre autres : K. MÜLLER, Kirchengeschichte, II, I, p. 330. La différence entre la christologie des calvinistes et celle des luthériens (dans la doctrine de la prétendue communicatio idiomatum) ne paraît pas avoir reposé sur une différence bien sensible entre les préoccupations religieuses des uns et des autres. Cela s'exprimait notamment

étrangère à la conception de « deux fils » de Nestorius, et c’est improprement qu’elle est qualifiée de « nestorienne ». Il faut remarquer par ailleurs que si les écrits d’Abba Isaac, surtout dans leur version grecque, ne portent guère de trace de la christologie nestorienne, la Seconde Partie, qui a été retrouvée récemment, contient cependant un enseignement sur la restauration universelle (apocatastase) qui a été condamnée par l’Église lors du Cinquième Concile Œcuménique. Si cette théorie semble souligner