Chrysalde

reprises de « caquet indiscret ». Son innocence (causée par l’amour) le rend comique (et du même coup rend la situation comique) parce qu’il a à cœur de raconter en détail ses mésaventures à Arnolphe, personnage trompé par celle qu’il veut épouser. Chrysalde : c’est un ami d’Arnolphe. Il le met en garde à plusieurs reprises contre les idées de son ami qui peuvent effectivement se retourner contre lui. Le personnage n’apparaît qu’à quatre reprises . Il représente la voix de la raison en énonçant des maximes

Horace 2° L’intrigue Arnolphe est hanté par la crainte d’être trompé par une femme. Après réflexion, il décide d’épouser sa pupille Agnès, élevée dans l’ignorance, recluse dans un couvent. Il fait part de ses projets à son ami Chrysalde, qui désapprouve la façon dont la jeune fille a été maintenue dans l'ignorance Horace est tombé amoureux d Agnès. Il s’éprend d’elle, et la courtise en l’absence d’Arnolphe. Elle lui fait découvrir des sentiments de joies d’un amour sincère. Mais

la comédie moliéresque, il est le pendant du personnage-obstacle dont il met en relief l'extravagance (et c'est là sa principale fonction). Dans la plupart des cas il fait entendre la voix du bon sens moyen et exprime le point de vue du public (Chrysalde dans L'École des femmes, Philinte dans Le Misanthrope). Il n'appartient à aucune des deux sociétés de la pièce mais établit un lien entre elles. Nous constatons que ce type de personnage n’est pas présent dans l’œuvre de Beaumarchais. Le théâtre

portent l’amour, la liberté en s’opposants aux lois imposer par ses derniers. Ils sont les héros ou héroïnes tels « Agnès et Horace » dans « L’Ecole Des Femmes ». Les rôles de valet et du personnage de raison sont aussi récurrents tels « Alain ou Chrysalde » dans le même ouvrage. Les spectateurs étant principalement des nobles, les déboires comiques de bourgeois leurs étaient amusants. L’intrigue de la comédie repose sur l’opposition des deux classes de personnages principaux. Les thèmes récurrents

Microsoft Word - Texte 1 = Molière, L'École des femmes. Acte I, scène 1..docxParcours : Théâtre et stratagème Texte 1 => Molière, l’École des femmes. Acte I, scène 1. Molière est né en 1622 et meurt en 1673 à Paris, de son vrai nom Jean Baptiste Poquelin, c’était un grand homme de théâtre. Il a été auteur, metteur en scène et acteur. Auteur de nombreuses comédies comme « Tartuffe », « Don Juan », « le malade imaginaire » et évidemment « l’École des femmes », comédie publiée en 1662

Arnolphe : Au début de la pièce, Arnolphe était heureux et voulait épouser Agnès dans les prochains jours. Au milieu de la pièce, il réalise qu’Horace était amoureux d’Agnès et vis versa. Donc a la fin de l’histoire, Arnolphe se retrouve seul. Chrysalde : Pendant toute la durée de l’histoire, elle donne des conseilles à son ami Arnolphe. Agnès : Agnès est comme au milieu d’un combat entre Horace et Arnolphe. Elle est amoureuse d’Horace et pas d’Arnolphe. Ce dernier la tient comme prisonnière

est un homme dge mr qui aimerait savourer du bonheur conjugal, mais il est hant par la crainte dtre tromp par une femme. Aussi a-t-il dcid dpouser sa pupille Agns, leve dans lignorance, recluse dans un couvent. Il fait part de ses projets son ami Chrysalde, qui dsapprouve la faon dont la jeune fille a t tenue lcart des ralits. Horace, fils dOronte (un autre ami dArnolphe), est tomb amoureux dAgns au premier regard il se confie Arnolphe dont il ignore le rle de tuteur, lui avouant quil a fait sa

On pourrait dire que son âme malade plus que ridicule, cas limite au bord de la démence et de la solitude.Le ton est celui des certitudes (« je ne veux point », « je prétends », « enfin en tout je veux »), et jusqu’au bout il garde vis-à-vis de Chrysalde une hauteur éloignée de l’Arnolphe ridicule et vociférant qu’on se réjouirait de voir dupé. Nous nous demandons si Arnolphe ait cette atitude d'une blessure, ou d'une expérience déjà vêcue. On remarque qu'il s'aperçoit à quarante-deux ans, mais trop

dans un monde d’illusions, où tout ce qui est naturel est présenté comme un « péché ». La morale est que les mariages arrangés vont contre la volonté des jeunes gens, et sont finalement causes d’adultère et de malheur pour les familles.  C'est Chrysalde qui joue le rôle du moraliste avec la dernière phrase qui conclue la pièce : « rendre grâce au Ciel qui fait tout pour le mieux ». Molière considère donc que la plus grande règle est de suivre une morale naturelle, celle qui préserve la vérité des

Pour finir, il y a l'unité de lieu, toute l'action représentée se déroule dans un seul endroit. Dans cette pièce, il n'y a qu'une seule action, celle du mariage de Monsieur de la Souche, elle ne dure pas plus de 24h, du matin où Arnolphe annonce à Chrysalde son mariage jusqu’au matin suivant où les pères concluent le mariage des jeunes gens, et elle ne se passe que dans un lieu principal, la maison d'Arnolphe. Molière respecte donc toutes les règles du théâtre classique dans cette œuvre.