Chrysale Dans Les Femmes Savantes

auteurs inséreront dans leurs comédies des types de personnages nouveaux, empruntés à la société contemporaine. Le premier, Cyrano de Bergerac mettra en scène un paysan patoisant dans Le Pédant joué ; Chappuzeau prendra pour cadre de son Cercle des femmes un salon féminin à la mode ; à différentes reprises on verra apparaître le type du gentilhomme campagnard, petit hobereau sans fortune et ignorant des usages du beau monde, dont la Cour et la Ville se moquent volontiers ; mais cela ne fera que

s'épanouir comme jamais. Tout comme Scrooge et Gradgrind chez Dickens, les personnages de Perrichon, Fenouillard, Bouvard et Pécuchet, Monsieur Poirier, Prud'homme, César Birotteau, succèdent tout naturellement au Bourgeois gentilhomme et au Bonhomme Chrysale. Ils inspirent le roman populaire et la comédie de boulevard (Labiche, Clément Vautel, Jules Sandeau, Emile Augier). Ils excitent la verve de Baudelaire ou de Balzac, le trait de Daumier et des caricaturistes de L'Assiette au beurre. Flaubert, qui

vaut qu’on la conserve à la postérité, – à nos derniers neveux, comme disaient les perruques du prétendu grand siècle. D’abord pour se poser en journaliste de cette espèce, il faut quelques petits ustensiles préparatoires, – tels que deux ou trois femmes légitimes, quelques mères, le plus de sœurs possible, un assortiment de filles complet et des cousines innombrablement. – Ensuite il faut une pièce de théâtre ou un roman quelconque, une plume, de l’encre, du papier et un imprimeur. Il faudrait peut-être

vaut qu’on la conserve à la postérité, – à nos derniers neveux, comme disaient les perruques du prétendu grand siècle. D’abord pour se poser en journaliste de cette espèce, il faut quelques petits ustensiles préparatoires, – tels que deux ou trois femmes légitimes, quelques mères, le plus de sœurs possible, un assortiment de filles complet et des cousines innombrablement. – Ensuite il faut une pièce de théâtre ou un roman quelconque, une plume, de l’encre, du papier et un imprimeur. Il faudrait peutêtre

reprise musicale du terme dans la 4e strophe mais par l’image d’un ciel d’automne attiédi (v. 11) suggérant un moment et une saison de transition comme le passage de la flûte au cor (v. 16). Enfin le refus des artifices de l’éloquence et de la rime savante en faveur d’une Rime assagie (v. 23) et de sensations délicates est mis en évidence dans la dernière partie du poème où les rimes sont généralement pauvres ou suffisantes et où la synesthésie de la musique et du parfum offre un dernier accord particulièrement

................................................................................................. p. 29 Séquence 3 Le Colonel Chabert : les hommes et l’argent Séquence 4 Tragédie et comédie au XVIIe siècle Séquence 5 L’École des femmes : une comédie classique Séquence 6 La poésie, du romantisme au surréalisme ........................ p. 49 ................................................... p. 71 ........................ ................................

la femme en jaune. Le grand triangle met en lumière Minerve qui repousse Mars hors du triangle. Le petit triangle fait jouer plus tendrement les courbes et inclut le cercle que forment la panthère et la corne d’abondance. 2. Du côté de la Paix, les femmes, les enfants, le satyre tendrement incliné, la richesse des étoffes. Les attributs de la Paix joignent au tambourin qui rythme la danse, la vaisselle, les bijoux, les fruits offerts aux enfants, la torche qui éclaire et le lait qui jaillit du sein

org/wikipedia/commons/f/fe/MoliC3A8re_-_Nicolas_Mignard_28165829.jpg INCLUDEPICTURE http//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/f/fe/MoliC3A8re_-_Nicolas_Mignard_28165829.jpg MERGEFORMATINET Jean-Baptiste Poquelin Dit Molire 1622 1673 Un sot savant est sot, plus quun sot ignorant. Biographie Il est n Paris en 1622 et il est mort dans cette mme ville en 1673, lge de 51 ans. Se destinant au dpart reprendre la charge de tapissier du Roi que dtenait son pre, il soriente trs tt vers les planches

l'intéressait bien davantage, laissant les autres courir les aventures, profitant, pour avancer ses affaires, de l'absence et de la captivité de Richard Cœur de Lion. Chez Philippe Auguste, il y a déjà des traits de Louis XI. Ce fut, en somme, un règne de savante politique et de bonne administration. C'est pourquoi l'imagination se réfugia dans la légende. La littérature emporta les esprits vers des temps moins vulgaires. Le Moyen Âge lui-même a eu la nostalgie d'un passé qui ne semblait pas prosaïque et qui

l'intéressait bien davantage, laissant les autres courir les aventures, profitant, pour avancer ses affaires, de l'absence et de la captivité de Richard Cœur de Lion. Chez Philippe Auguste, il y a déjà des traits de Louis XI. Ce fut, en somme, un règne de savante politique et de bonne administration. C'est pourquoi l'imagination se réfugia dans la légende. La littérature emporta les esprits vers des temps moins vulgaires. Le Moyen Âge lui-même a eu la nostalgie d'un passé qui ne semblait pas prosaïque et qui