Chute Clamence

protagoniste de la chute. Clamence n’est pas Camus mais des « morceaux » de lui son dans son livre. Camus est né en Algérie et il est élevé modestement par sa mère. Très vite reconnu par ses professeurs qui le conseillent d’essayer d’acquérir une bourse et il l’obtient. Des brillantes études l’attendent. Hélas la tuberculose va le toucher et par conséquent le jeune homme est considéré comme réformé. C’est par ces ouvrages qu’il pourra s’engager réellement. En 1956, il publie « La Chute ». C’est l’histoire

Fiche de lecture : La chute, Albert Camus. I – Présentation du roman. La chute a été écrit par Albert Camus et publié à Paris par Gallimard en 1956. Ce roman fait parti des dernières œuvres littéraires écrites par Albert Camus. La particularité du roman est qu'il s'agit d’aveux d'un personnage vers un autre, mais qu'il n'y a que lui qui parle durant tout le roman. II – Résumé. Jean-Baptiste Clamence est un ancien avocat, vivant désormais à Amsterdam, en Hollande. Ayant vécu à Paris

La chute I/ « La chute » est un récit et non un roman. Il retrace une partie de la vie de Jean-Baptiste Clamence, « juge-pénitent ». L’action se déroule à Amsterdam. Camus fais une focalisation croissante sur chaque lieu, par exemple « cet établissement » (l.3) devient « ce bar d'Amsterdam » (l.16) et ensuite «[le bar] Mexico-city » (l.17). L’auteur ne précise pas le moment et l'époque mais on comprend que c’est à l’époque de Camus. Dans le récit il n’y a que deux personnages, JB Clamence et

P 145-146 Fin du livre La chute Camus Introduction: 5e Journées chapitre 6, confession de Clamence s'achève dans ca chambre il évoque son attitude pendant la guerre, il avoue que JBC est un nom d'empreint, révèle qu'il est détenteur du tableau volé et procède a une argumentation. Enfin il vient ensuite a expliquer en quoi consiste le métier de juge pénitent p145-146. Problématique: Par quel moyen le narrateur implique t'il le destinateur et l'humanité toute entière ? I) L'art de

est surpris en 1957 d’ê tre lauréat du prix Nobel de littérature. Il s’écrie : « c’est Malraux qui le méritait! » Il publie la chute, son troisième grand succès. Le livre est le long monologue d’un Homme, J-B Clamence. Celui-ci fait son propre procès (par lâcheté, il n’a pas secouru sa femme qui se noyait). Mais c’est pour mieux se permettre de juger les autres. Clamence exprime en fait toute la mauvaise conscience humaine. Un troisième thème inachevé. Parti de l’absurde pour prôner la révolte

récit ? ou essai ?) de Camus. Comme dans la Chute, on retrouve le thème de la culpabilité de l’homme. On trouve aussi ce mépris de Dieu relatif à la philosophie de l’absurde qui s’ébauche ou qui est déjà en vue. Par certains côtés, Meurault ressemble à Clamence. Mais par d’autres, il en diffère radicalement : c’est surtout que Meurault est, bien que criminel, plutôt innocent. C’est une « créature tout d’une pièce », « sans arrière pensée ». Clamence au contraire est double, il est un Janus. Il veut

lucidité amère mais rarement désespérée, participent aussi à cette période de l’œuvre de Camus. Avec La Chute, le pessimisme renaît, non plus absurde, mais presque définitif et qui n’est pas loin du péché originel. Le « réalisme » de Clamence, c’est le mal qui se dénonce lui-même pour mieux dénoncer les autres. Ses confessions, c’est le mécanisme stalinien de L'Aveu. Roman de négation, La Chute ferme les portes sur l’avenir. Camus rêvait d’un nouveau départ. Le Premier Homme, inachevé, devait

réalité, tellement elle est pressée d'unifier, de distinguer aussi. A la recherche d'une problématique - = La problématique c'est le chemin qui mène à un problème. Je vous propose pour le trouver une phrase étonnante de Camus qu'il prête à Clamence dans La chute: "La modestie m'aidait à briller ... l'humilité à vaincre ... la vertu à opprimer." ça décoiffe la belle construction que vous alliez présenter en vous appuyant sur Aristote. Un problème: comment distinguer les trois termes si les deux autres

écarts du monde, signe d'absurdité et de bizarrerie des comportement et réaction, et celle qui se rebelle contre certaines formes d'expression pour affirmer son altérité, son individualité, sa liberté. D'ailleurs dans son livre La chute Camus fait dire à son personnage, Clamence : "Je fabrique un portrait qui est celui de tous et de personne. Un masque en somme, assez semblable à ceux du carnaval...".

retrouver dans certains livres un personnage principal intemporel. Celui-ci ne reflète pas la société car elle est en perpétuelle changement mais se focalise sur le caractère humain. Dans « La chute » de Albert Camus, le lecteur se retrouve enfermé dans un point de vue unique, celui de Jean Baptiste Clamence. Durant tout le roman, celui-ci fait un monologue donc il n'y a pas de société en arrière plan. En conclusion, le roman présente des personnages représentant différents aspects de la société