Ciboire

d’autrui Saint : se dit de Dieu en tant qu’il est souverainement pur Diaphane : qui laisse passer la lumière sans être transparent Amaigrie : devenir maigre Fluette : qui est mince et d’apparence délicate ; frêle Vœu: promesse Massif : épais Ciboire : N M christianisme vase sacré, à couvercle, où l’on conserve les hosties consacrées Percé : falaise, creusée d’arches naturelles, du littoral atlantique du Canada dans l’est de la Gaspésie Glaive : N M épée courte à deux tranchants Terrible :

Signes du divin, ils sont entourés de respect et une attitude désinvolte met souvent le blasphémateur en péril dans les sociétés traditionnelles religieuses. Les objets ne sont pas divinisés mais leur fonction représentative est telle que jeter un ciboire ou casser une croix pouvaient mener à la mort sous l’inquisition. La recherche d’objets sacrés au contraire était vécue comme le signe d’une piété et d’une pureté exemplaire. La quête du Graal par les Chevaliers de la Table Ronde en est une illustration

machine ! Toute ta vie ! » (l. 11-12) Ici le procédé de répétition contribue d’ailleurs à accentuer l’expression de la révolte. Dans son langage sans retenue, Léopold s’indigne contre son passé et contre son avenir : « Quand j’me suis attelé à c’te ciboire de machine-là, j’étais quasiment encore un enfant ! […] Mais dans vingt ans, j’s’rai même pus un homme… » (l. 20-21) Mais ce besoin de libération a-t-il d’autre issue que d’aller boire à la taverne (l. 29) ou d’espérer que « les enfants s’instruisent

« vérifiable »,  « plausible ». L'obscurité: - La nuit - noir - claire de lune Regard: - « Yeux », « noir », « doux », « glacier » Le religieux : « Jésus-Christ »,  « le doux sauveur », « Sainte vierge marie », «  un autel d’argent massif », « un ciboire d’or », l’église de saint Hubert » , le parfum fatal », «  l’enfer », «  les arches ténébreux » , » le caveau des Lodbrog ». F/ Les indices de l'énonciation: Les marques de l'énonciation - P. personnels : Il, Elle, vous, Je Pers nommés nommées

métaphores qui parsèment le texte des deux cahiers : la chambre de Jacques, à Paris, « est humide comme une crypte à miracles » (p. 16) ; après une virée avec son frère Jacques en compagnie de deux filles, dont Marise, ils sont « [p]actés comme des ciboires un dimanche matin » (p. 39). Il refuse de faire des juliennes, car « dans le casseau, ça s'agglutine comme des Enfants de Marie autour d'un vicaire » (p. 53)... logues à qui, selon lui, on peut « toujours faire confiance [...] pour te faire un rapport

regard de l'étranger ? - Pourquoi le mire est monté sur la plus haute tour ?· La comtesse Edwige a donné naissance à un enfant qui va assurer la continuité du nom Lodbrog. Ainsi le comte doit, à cette occasion, donner un autel d’argent et un ciboire d’or à l’église. b. Le caractère double d'Oluf :- Qu'est-ce que le mire a découvert ?- A quoi les deux étoiles sont – elles comparées ?- Quel est l’élément perturbateur ? « Oluf a une étoile double ». - Quelle est la réaction

C’est en souffrant qu’il faut que le pasteur travaille Pour ses brebis. Il faut qu’il se lève et qu’il aille Par la nuit, bien avant le petit point du jour, Sous la bise, à travers les terres de labour, Emportant dans un coin du manteau le ciboire, Et cherchant, tout au fond de la campagne noire, A découvrir enfin au douteux horizon La lueur qui trahit la funèbre maison Où quelque agonisant, quand il arrive à l’heure, Lui montre en blasphémant sa famille qui pleure, Son foyer sans fagot

aux autres articles. Le Nouveau Petit Robert : 1 COUPE [kup] n.f. – XIIe, latin cuppa cuve 1 Récipient à boire plus large que profond, reposant sur un pied. Coupe d’argent, de cristal. Coupe antique. Coupe de vin, de ciguë. Coupe rituelle. calice, ciboire --- Les descripteurs, les noms et adjectifs utilisés pour définir le mot, sont presque identiques, la plupart des entrées étant définies comme des verres ou récipients. Il y a peu des différences remarquables, sauf que le Nouveau Petit Robert est

l'oreille, des cris de "sale bête ! sale bête ! ", mettait la sainte douceur et l'onction de notre servante un peu moins en lumière qu'il n'eût fait, au dîner du lendemain, par sa peau brodée d'or comme une chasuble et son jus précieux égoutté d'un ciboire. Quand il fut mort, Françoise recueillit le sang qui coulait sans noyer sa rancune, eut encore un sursaut de colère, et regardant le cadavre de son ennemi, dit une dernière fois : "sale bête ! " Je remontai tout tremblant ; j'aurais voulu qu'on mît

machine ! Toute ta vie ! » (l. 11-12) Ici le procédé de répétition contribue d’ailleurs à accentuer l’expression de la révolte. Dans son langage sans retenue, Léopold s’indigne contre son passé et contre son avenir : « Quand j’me suis attelé à c’te ciboire de machine-là, j’étais quasiment encore un enfant ! [...] Mais dans vingt ans, j’s’rai même pus un homme... » (l. 20-21) Mais ce besoin de libération a-t-il d’autre issue que d’aller boire à la taverne (l. 29) ou d’espérer que « les enfants s’instruisent