Circulaire Administrative Régime Juridique

............................................................................................139 Principaux textes :.....................................................................................................143 Lois, décrets, arrêtés, circulaires instructions.............................................................143 Sources.....................................................................................................................147 BIBLIOGRAPHIE..........................

Institutions Administratives Françaises TITRE I: La définitions des missions administratives Définition de l’institution administrative: L’institution administrative peut être définie par sa fonction, c'est le sens matériel mais aussi par ce qu’elle est physiquement, c'est à dire l’aspect organique. Ce sont des critères cumulatifs. On verra dans le titre premier que pour l’aspect matériel, l’institution administrative est investie d’une mission d’intérêt général et que c’est précisément

hégémonie à travers le monde. Les modes alternatifs de règlement des différends, présentés comme des instruments de paix sociale[2], codifiés par les Etats qui leur donnent un contenu et des contours précis, font désormais partie de l’orthodoxie juridique. On les retrouve, à l’exemple d’une pandémie, partout, sous des appellations diverses et une panoplie plus ou moins exhaustive. Les institutions internationales encouragent fortement leur utilisation, à l’exemple de la commission européenne qui

intéressant notamment sur les relations admin/pénal Reccueils commentés de jurisprudence : Dalloz, Les grands arrêts de la jurisprudence administrative 19ème édition, 120 arrêts classés chronologiquement (ouvrage de base à acheter en plus d'un manuel, à moins qu'on préfère chez PUF Droit administratif, les grandes décisions de la jurisprudence administrative, mais les arrêts sont classés thématiquement et avec seulement les extraits les plus significatifs des arrêts) Synthèses (à bannir les memento)

fiscal, mais qui n'en sont pas. I - Droit fiscal et fiscalité Pour distinguer droit fiscal et fiscalité, il faut définir : le droit fiscal, c'est l'ensemble des règles juridiques relatives aux impôts. L'existence d'un droit, en tant que discipline juridique, suppose un minimum de cohérence des règles applicables, un système juridique gouverné par de grands principes. Cette deuxième définition permet de douter de l'existence d'un droit fiscal, puisque les règles applicables aux impôts sont extrêmement

dans quelle mesure le corpus juridique régissant la place de la religion dans le fonctionnement des services publics est adapté aux situations actuelles. Dans ce contexte, trois constats apparaissent. Le principe de laïcité associe la neutralité du service public et la liberté religieuse pour les agents et les usagers (1). Cet équilibre a conduit dans le cas des personnels à prohiber l’expression de leurs convictions religieuses dans le cadre du service public (2). Ce régime est cependant plus souple

Certains principes généraux s’imposent au juge colonial que su nue valeur constitutionnelle leur a été reconnue. Le gouvernement est tenu de respecter ces principes généraux du droit CE, Sieur Barel 1954 : CE annule le refus des autorités administratives d’admettre un candidat à l’ENA des personnes notoirement connues comme étant communistes, en se référant au principe de l’égalité d’accès de tous les français aux emplois et fonctions publiques (référence implicite à l’article 6 de la DDHC)

financier, responsable de la gestion et des services généraux. 2. DEFINITION Le responsable administratif et financier est un cadre de l’entreprise qui pilote et participe aux missions, de planification, de gestion et de coordination des tâches administratives financières et comptables de la structure au sein de la quelle il évolue. 3. FORMATION - QUALIFICATION Le niveau de formation requis est le niveau II. Le poste requiert des aptitudes assez technique ; de ce fait les diplômes des grandes écoles

à préciser les conditions de l’action administrative, en comblant les lacunes de l’ordre juridique. Par exemple, il est interdit de licencier une fonctionnaire enceinte depuis l’arrêt Dame Peynet du 8 juin 1973 du Conseil d’Etat. Dans l’arrêt Dame Bonjean du 13 juin 1980, le Conseil d’Etat pose le principe de la continuité des services publics. La troisième génération des principes généraux du droit visent à l’amélioration qualitative de l’ordre juridique et l’interprétation des normes ne relevant

gérer ces territoires, ont toujours eu besoin de relais locaux dans chaque portion du territoire national. Ceci est valable pour tous les systèmes administratifs, mais avec des dosages différents en fonction des considérations politico-administratives ou des régimes politiques en place.1 Cependant, l’Etat-nation « paraît en effet se situer à un niveau, à une échelle, qui lui permettent de capitaliser une très forte légitimité, difficilement transférable semble-t-il aux institutions infra-étatiques