Citation De Machiavel

principes philosophiques tels les despotes éclairés du XVIIIe siècle[22]. Enfin, la philosophie peut considérer qu'elle doit développer théoriquement un projet politique que soit les philosophes (comme chez Platon), soit le chef d'un État (selon Machiavel[23]), soit les masses elles-mêmes (Marx[24]) devraient mettre en place. L’exemple le plus classique des ambitions politiques de la philosophie reste naturellement Platon et sa célèbre République, dans laquelle il esquisse une véritable utopie politique

« attendre a presque toujours signifié jamais », et il affirme que la désobéissance civile est non seulement justifiée face à une loi injuste, mais aussi que « chacun a la responsabilité morale de désobéir aux lois injustes ». La lettre inclut la célèbre citation « Une injustice où qu'elle soit est une menace pour la justice partout » mais aussi les paroles de Thurgood Marshall qu'il répète : « Une justice trop longtemps retardée est une justice refusée »[75]. Jusqu'à la fin de sa vie, Martin Luther King

Bellay et bien d’autres déclarent que les modernes peuvent et doivent faire mieux que les Anciens. L’Italie L’influence italienne s’exerce aussi sans passer par les modèles anciens. Non seulement dans le domaine politique on trouve l’influence de Machiavel (1469-1527), mais aussi dans le domaine esthétique et littéraire : les écrivains français, avant même la Pléiade, lisent les italiens : Sannazar (1458-1530), églogue champêtre à l’image de Virgile, le satirique Berni (1497-1535), dont l’exemple inspirera

Elle se donne pour objectif de mettre en lumière le théâtre dans le théâtre « pour analyser l’effet obtenu et le message que les auteurs entendent faire passer ». Pour ce faire, elle étudie notamment certaines comédies de l’Arétin, La Mandragore de Machiavel, I Suppositi de l’Arioste, La Calandria de Bibbiena, Il Vecchio Amoroso de Donato Giannotti, La Flora de Luigi Alamanni, La Pellegrina de Girolamo Bargagli et La Spiritata du Lasca. Les drames, précise-t-elle, « ne sont pas joués, mais évoqués »

s'écrivait avec un e minuscule et désignait la situation juridique d'une personne. Ce n'est qu'à partir du 16eme siècle qu'on utilise le terme Etat, lui donnant ainsi un sens nouveau. 2 auteurs ont joué un rôle important dans cette évolution : - Machiavel qui publia "Le prince" en 1515 ou il explique que le roi est à la tête d'un état - Jean Bodin qui publia "Les 6 livres de la république" dans lequel il explique que l'Etat se distingue des autres organisations dans la mesure où lui seul est souverain

du pouvoir Nicolas Machiavel va rester dans nos mentalités comme le méchant mais n’a pas vraiment mérité cela car s’il avait été machiavélique, il aurait eu une meilleure carrière politique. Son ouvrage le Prince a été envoyé en vain au Prince. Il ne sera pas le gourou du prince. Dans ce livre, il va s’interroger sur la manière avec laquelle on prend le pouvoir. La république de Florence où les luttes pour prendre le pouvoir sont sanguinaires. Au moment où Machiavel grandit à Florence, Alexandre

le Petit[5]. Pour l'auteur, dans ses pamphlets, Victor Hugo fait le portrait d'une souillure et je cite : "dés les premières pages de Napoléon le petit, Hugo campe ce malade qui traverse sans la voir sa propre cérémonie d'investiture". Suit la citation d'Hugo qui fait la preuve : "Toutes les têtes se tournèrent vers cet homme. Un visage blême dont les lampes à abat-jour faisaient saillir les angles osseux et amaigris, un nez gros et long, des moustaches trop épaisses, une mèche frisée sur un

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République » de Platon => définir la cité idéale et parfaite. Aristote, lui étudie les régimes politiques et les comparent et cherche le meilleur régime. Pas la même vision, mais même démarche normative (atteindre un idéal) pour ces 2 auteurs. Avec Machiavel dans « Le Prince » => réalise distinction entre la politique et la morale avec un lien entre les deux. Réflexion sur les régimes politiques affranchie de considérations éthiques ou religieuses : « ensemble des moyens qu’il faut utiliser pour obtenir

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