Citation Description Physique Description Morale

PROCÉDÉS CITATIONS INTERPRÉTATIONS I- Représentation de la femme : un portrait surprenant Prolepse Ronsard procède à une projection de l’avenir (une prolepse) Verbes au futur « serez,direz,aurez » Étrangement, alors que ce sonnet est une tentative de séduction, Ronsard s’attarde bien plus sur la description de l’avenir d’Hélène et donc de sa vieillesse Adj +adverbe à l’hémistiche «bien vieille » On ne peut manquer de percevoir une cruauté volontaire de la part du poète : il la présente

privilégié le portrait physique pour présenter la baronne, dés la deuxième page, il s'attarde sur le portrait social et moral du baron Simon-Jacques le Perthuis de Vauds. Le baron est un père affectueux et un soutien moral pour Jeanne. En fait, il représente pour Jeanne la stabilité, la solidité, la bonté, ce qui accentue sa déception quand elle prend conscience que son mari est l'opposé de son père.  PAUL : D'abord enfant non désiré, avorton responsable des pires douleurs physiques endurées par Jeanne

Paul et de Virginie. Grâce à ceux-là, nous découvrons nos personnages. Premièrement, Bernardin de Saint Pierre use divers procédés littéraires pour accentuer la beauté de l’ile. Celui-ci nous donne l’illusion d’une ile paradisiaque à travers la description de la nature qu’il nous fait part. Son choix de mots est très raffiné et précis. Dans le roman, nous trouvons une pléthore d’adjectifs qualificatifs, tels que « paisible, bon, belles, doux », et des adjectifs de couleur, tels que « verts, brun,

placé tout entier sous l’éclairage des suites fatales de l’aventure. Questionnement : Nous verrons comment ce texte renouvelle le topos romanesque de la rencontre amoureuse. Mouvement 1 : Ligne 1 à 5 : Une rencontre guidée par le destin. Citations /Références Procédés littéraires Interprétation/effet produit « Hélas ! Que ne le marquais-je un jour plus tôt ! Interjection « Hélas » + phrase exclamative + tournure solennelle. Des Grieux commente son expérience avec un regard rétrospectif

Pierre et Jean, un roman naturaliste Introducton Pierre et Jean est un roman écrit par Guy de Maupassant et publié en 1888. Peut-on considérer Maupassant comme un auteur naturaliste ? Oui et non. Il a tout d’abord rencontré Flaubert (Mme Bovary, L’Education sentimentale, …), qui lui corrigea ses premiers écrits et auprès duquel il apprit à rechercher « la vérité choisie et expressive », puis il a plus tard entretenu des relations amicales avec Emile Zola (les Rougon-Macquart, L’œuvre, …), père

limitation par une enceinte : ce sont là des caractéristiques physiques). • Les caractéristiques sont-elles reprises dans la seconde définition ? (Réunion organique de constructions, notamment d’habitations). • Entre 1933 et 1977, quelle conception importante est ajoutée à la définition de la ville ? (La ville est considérée comme un milieu social — La définition évoque également des fonctions sociales, En plus des caractéristiques physiques la définition introduit des caractéristiques liées aux activités

Cyrano par divers personnages qui ne partagent pas le même point du vue de Cyrano. C'est aussi une scène d'exposition où on découvre les liens entre les personnages. Commentaire: Citation Analyse Interprétation Portrait de Cyrano -> physique (nez et portrait en pied (cape, chapeau, épée...) et moral Bleu Qualités morales et intellectuelles : courageux, culturelles, fier, joyeux et fidèle Portrait fait par plusieurs personnes de façon méliorative Un personnage multiple : « hétéroclite », sur lequel

Dès lors, l’un des enjeux principal de l’écriture, et de la littérature, devient la description et son utilisation rhétorique : une attention croissante est ainsi portée aux objets et gestes du quotidien, à la peinture fidèle, critique, et psychologique de la société.

singulier alors que toute sa vie, il a été traité de tout sauf d'une personne normal et aujourd'hui, il peut enfin faire entendre sa voix et parlé en son nom. Le lecteur comprend alors l'implication de F. Douglass. Frederick Douglass utilise aussi les descriptions pour montrer qu'il a vécu ce qu'il dit et prouver son point de vue interne. Frederick Douglass nous raconte son premier, horrible spectacle sanglant, celui de sa tante Hester: « une nuit tante Hester sorti- je ne sais ni où ni pourquoi- et se trouvait

par plusieurs réseaux d’antithèses convergentes : on passe de la gorge étroite à la largeur du cirque naturel, d’une terre brûlée par un soleil de plomb à en endroit parfaitement ombragé etc. Don José en lui-même ne fait pas l’objet d’une longue description : trois courtes phrases y suffisent, Le narrateur n’insiste que sur son allure générale (don José est jeune, d’une taille moyenne, assez musclé), puis évoque simplement le regard « fier et farouche » du personnage, et son halage, « plus foncé que